Les grenadiers de la police bernoise- ca rigolait pas

Autres temps autres mœurs….
https://youtu.be/tDTBeSScxEg

Commentaire en français - qui vaut le détour- après une tiers soit 1’12’’ ( le même film est en allemand, français, italien).

Le PM est le modèle Hispano Suiza.

Sauf erreur, personne n’a cherché militairement des histoires à la Suisse depuis bien longtemps.
Avec cette vidéo, on comprend mieux  
Cela dit, j’ai eu l’opportunité de m’intéresser à l’Histoire de la Suisse au cours de la seconde guerre mondiale et je n’ai pas regretté mes lectures : ça m’a passionné. J’ai retenu aussi que le général Guisan devrait voir sa statue trôner sur tous les buffets suisses !

obaneck a écrit:Sauf erreur, personne n’a cherché militairement des histoires à la Suisse depuis bien longtemps.
Avec cette vidéo, on comprend mieux  
Cela dit, j’ai eu l’opportunité de m’intéresser à l’Histoire de la Suisse au cours de la seconde guerre mondiale et je n’ai pas regretté mes lectures : ça m’a passionné. J’ai retenu aussi que le général Guisan devrait voir sa statue trôner sur tous les buffets suisses !

Enfant, je me souviens que son portrait était visible dans tous les bistrots et dans bien des foyers. J’ai le sien dans mon « atelier ».

Baccardi a écrit:

obaneck a écrit:Sauf erreur, personne n’a cherché militairement des histoires à la Suisse depuis bien longtemps.
Avec cette vidéo, on comprend mieux  
Cela dit, j’ai eu l’opportunité de m’intéresser à l’Histoire de la Suisse au cours de la seconde guerre mondiale et je n’ai pas regretté mes lectures : ça m’a passionné. J’ai retenu aussi que le général Guisan devrait voir sa statue trôner sur tous les buffets suisses !

Enfant, je me souviens que son portrait était visible dans tous les bistrots et dans bien des foyers. J’ai le sien dans mon « atelier ».

Mon grand père à eu l'occasion de le rencontrer durant sa mobilisation, il était Dragon dans l'armée Suisse

La façon de descendre en rappel nous était enseignée lors du stage commando à Montlouis ... rapide et efficace ...!

C'est sûr que si le reste de la troupe est à l'avenant, cela ne donne pas envie de s'y frotter !

Bonjour, 

Tout est ici. Et bien d'actualité! est ça rigole pas.

feder504 a écrit:La façon de descendre en rappel nous était enseignée lors du stage commando à Montlouis ... rapide et efficace ...!

avec le béret planqué sous le treillis pour pas que ça chauffe trop sur l'épaule.... ça se fait toujours ou les jeun's, ils ont du matos moderne ??

De nos jours, on imagine mal faire cette exercice sans un baudrier et un descendeur digne de ce nom. De plus, à part les unités spécialisées, qui utilise la descente en rappel ? Bien que celle ci soit encore enseignée lors de l'instruction initiale.

pascal p a écrit:De nos jours, on imagine mal faire cette exercice sans un baudrier et un descendeur digne de ce nom. De plus, à part les unités spécialisées, qui utilise la descente en rappel ? Bien que celle ci soit encore enseignée lors de l'instruction initiale.

je pense que cela doit toujours être enseigné, pas toujours une corde adaptée et baudrier porté en permanence s'il y a une "urgence".

Il me semble que le rappel "à l'ancienne", une fois les gestes bien assimilés, est plus rapide et parfois plus sûr que les appareillages actuels.
Le descendeur en 8, si la corde est raide et les doigts engourdis, il n'est pas toujours si facile à placer correctement (et on peut aisément le mettre tout faux). Et si pour une raison fortuite on lâche la corde, c'est comme la technique ancienne, descente à grande vitesse !
Pour assurer le coup il faut rajouter un zinzin, genre "splitter", encore moins facile à placer correctement et assez sujet aux fausses manoeuvres.

Je retarde peut-être un peu, car j'ai voulu récemment remplacer le lourd 8 que j'avais fabriqué en acier forgé par un 8 léger en alu (parce-que quand il pendouille il casse parfois des tuiles). Mais il paraît que ce 8 ne se fait plus, idem pour le piégeux splitter (que je continue toutefois à utiliser, parce-que pour une assurance fixe il est bien moins incommode que les trucs sophistiqués).

Par ailleurs, le harnais est une gêne considérable. Quand le chantier évolue et qu'on se voit contraint d'enfiler ce carcan, on constate immédiatement qu'il est par lui-même la source de bien des amorces de chute.
Dans un usage militaire il faudrait au moins qu'il soit confondu avec le brêlage porte-chargeurs (et même cousu sur la veste, tant qu'on y est).

Observation déjà faite autrefois sur le parcours du risque de Penthièvre : pour les obstacles peu dangereux, les passages discrètement effectués sans assurance étaient bien plus rapides et fluides qu'avec le bazar sécuritaire dont il fallait officiellement se surcharger.
Et je m'en suis tapé, des passages de démonstration : presque un par élève (plus un peu de rab, pour s'amuser).

Verchère nous dit que "Dans un usage militaire il faudrait au moins qu'il soit confondu avec le brêlage porte-chargeurs (et même cousu sur la veste, tant qu'on y est).

De mon temps, à savoir celui de l'ancienne méthode, les cordes et sangles étaient portées sur le brêlage.... le 49/56 en bandoulière.... et un instructeur qui assurait avec la corde de gauche, le béret sous le treillis sur l'épaule gauche pour protéger la base du cou de l'échauffement et hardi, garçon !!! les épaules bien en arrière et tu pousses sur tes jambes....
C'était juste pour rafraichir la mémoire des anciens et montrer aux autres comment qu'on faisait....
Nous étions jeunes et larges d'épaule, bandits joyeux, insolents et drôles....

Ah, Lavilliers, quand tu nous tiens…

Il m'a toujours semblé que pour le militaire lambda on ne s'embarrassait pas d'équipements spéciaux rendant ce genre d'opérations réellement efficaces...
J'espère juste que pour des troupes d'élite, qui doivent faire face à tous les imprévus inimaginables en conservant un maximum d'efficacité combattante, on étudie des équipements plus commodes et moins paralysants.

Car le matériel d'escalade n'est destiné qu'à escalader, sans rien foutre d'autre.
Et le matériel de chantier n'est visiblement destiné qu'à satisfaire les inspecteurs du travail, car pour bosser proprement en étant affublé de ces zinzins ... faut avoir une conception bien réductrice du travail soigné.

Put... même le trou dans le mur est carré