1822 de Gendarmerie

Qu'as-tu fait pour restaurer le bois ?
Une imprégnation pour le durcir, ou bien les vrillettes en avaient laissé suffisamment ?
Et pour leurs trous ?

Bonjour Verchère.
J'apprend toujours à ton contact et lors de tes messages
Je te lis toujours avec plaisir et aucune de tes interventions ne m'est étrangère.
Aussi ton aversion bien connue pour la pâte à bois était arrivée jusque dans les iles du Ponant.
Sans doute le climat d'une vallée reculée des Vosges est il différent de l'humidité bretonne ?
Bref ,pour faire court, j'ai bouché les trous des vrillettes à la pâte à bois !!!
En effet il n'y avait pas de problème de solidité et le bâtiment était très rigide.
de plus je ne me voyais pas transformer mon arme en porc-épic aves des cures dents.
Après j'ai appliqué de la popote des antiquaires en plusieurs passages .
Bien cordialement.

a ces correcteurs automatiques !
Bati bien sûr et non batiment.

kabourec a écrit:Quoique qu'il en soit voici l'arme nettoyée ,je n'ai pas voulue la polir, le bois a été restauré .



A comparer avec l'arme avant tout nettoyage.

Bonjour,
Restauration ou plutôt légère remise en forme
Le doigté de l'expérience
Bon week-end

kabourec a écrit:... Bref ,pour faire court, j'ai bouché les trous des vrillettes à la pâte à bois !!!
...
de plus je ne me voyais pas transformer mon arme en porc-épic aves des cures dents. ...

J'ai surtout à rafistoler des quasi-épaves de peu d'intérêt ; c'est là que j'y vais au cure-dents. Pour une pièce comme ton pistolet j'aurais essayé de soigner un peu plus, avec de la cire dure teintée...

La pâte à bois je la réserve aux pseudo-beddings internes, et n'oserais pas l'appliquer de façon visible sur quoi-que soit...
Sauf peut-être un Taktikal en aluminum coloré, couvert de verrues picatineuses, objet par nature si hideux que rien ne peut l'enlaidir !