la vie d'un 1822
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la vie d'un 1822
il en est des armes comme des hommes certaines ont une vie cool et tres vite se retrouvent à prendre la retraite en ratelier et d'autre ....elles en ont bavé mais bon au moins elles ont beaucoup de chose à raconter et , je vais vous les faire partager
je suis né à silex sous Louis XVIII comme l'atteste le reste de marquage ( identifiable ) man...roy ...euge
donc dans le nord
sous Louis philippe j'ai subi à Tulle la transformation à percussion comme l'atteste le marquage de crosse , et le rest du"T" et l'emplacement de la hausse
j'ai ensuite été le fidele serviteur de différents soldats jusqu'à ce que l'arrivée du chassepot me supplante et on me relegue au fond d'un arsenal ,la grande majorité de mes freres ont ainsi terminé leur vie "active " , pour moi il n'en a pas été de meme ; racheté à l'armée par des marchands j'ai eté échangé sur les cote d'Afrique conte ivoires et peaux précieuses ....une autre vie commençait
j'ai été personnalisé avec nombre clous (qui ont protégé mon bois d'une usure excessive ) et entre deux combats contre les tribus voisinnes je sevais à ameliorer l'ordinaire de mes proprietaires en tuant antilopes et gazelles abondantes sur les rives du fleuve Sénegal .Bien entendu l'usure se fait sentir ; le forgeron du village me refait une cheminée , recharge le chien ....et la vie continue l'extrémité du canon devient tres fine , on le raccourci...mes dernieres années je les ai passées avec un berger Peuhl , un grand nomade qui m'a promené dans tout l'ouest africain au gré de ses migration je ne faisais plus que le coup de feu occasionnel sur une outarde ou une compagnie de francolains ou de pintades ....mais je lui conferais toujours une certaine autorité .....
et puis un jour , dans les années 1980 un chasseur européens passait par la ; mon propriétaire a accompagné le chasseur traquer le phacochere ils sont devennu amis , tres amis , et contre quelques billets et surtout des cartouches du douze bien sur pour le Simplex à font de cale qui m'avait un peu supplanté,j'ai définitivement pris ma retraite; j'ai quitté la savanne,l'Afrique et je suis retourné plus de 150 ans apres sur la terre qui m'a vu naitre .........aller les jeunes quand vous aurez une usure comme ça vous pourrez dire moi aussi j'ai roulé ma bosse
je suis né à silex sous Louis XVIII comme l'atteste le reste de marquage ( identifiable ) man...roy ...euge
donc dans le nord
sous Louis philippe j'ai subi à Tulle la transformation à percussion comme l'atteste le marquage de crosse , et le rest du"T" et l'emplacement de la hausse
j'ai ensuite été le fidele serviteur de différents soldats jusqu'à ce que l'arrivée du chassepot me supplante et on me relegue au fond d'un arsenal ,la grande majorité de mes freres ont ainsi terminé leur vie "active " , pour moi il n'en a pas été de meme ; racheté à l'armée par des marchands j'ai eté échangé sur les cote d'Afrique conte ivoires et peaux précieuses ....une autre vie commençait
j'ai été personnalisé avec nombre clous (qui ont protégé mon bois d'une usure excessive ) et entre deux combats contre les tribus voisinnes je sevais à ameliorer l'ordinaire de mes proprietaires en tuant antilopes et gazelles abondantes sur les rives du fleuve Sénegal .Bien entendu l'usure se fait sentir ; le forgeron du village me refait une cheminée , recharge le chien ....et la vie continue l'extrémité du canon devient tres fine , on le raccourci...mes dernieres années je les ai passées avec un berger Peuhl , un grand nomade qui m'a promené dans tout l'ouest africain au gré de ses migration je ne faisais plus que le coup de feu occasionnel sur une outarde ou une compagnie de francolains ou de pintades ....mais je lui conferais toujours une certaine autorité .....
et puis un jour , dans les années 1980 un chasseur européens passait par la ; mon propriétaire a accompagné le chasseur traquer le phacochere ils sont devennu amis , tres amis , et contre quelques billets et surtout des cartouches du douze bien sur pour le Simplex à font de cale qui m'avait un peu supplanté,j'ai définitivement pris ma retraite; j'ai quitté la savanne,l'Afrique et je suis retourné plus de 150 ans apres sur la terre qui m'a vu naitre .........aller les jeunes quand vous aurez une usure comme ça vous pourrez dire moi aussi j'ai roulé ma bosse
marlain- Pilier du forum
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Re: la vie d'un 1822
Histoire sympa
Pour les photos, si tu permets, c'est moins difficile à l'intérieur et sans ombre
Pour les photos, si tu permets, c'est moins difficile à l'intérieur et sans ombre
"Laudamus veteres sed nostris utimur annis "
Baccardi- Administrateur
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Re: la vie d'un 1822
Oui....sympa et émouvante.....
Non nobis Domine, non nobis, sed Nomini Tuo da Gloriam.
http://winchester-lsg.forumotion.com/
http://prehistoire-xixeme.forumactif.org/
CLOSDELIF- Pilier du forum
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Re: la vie d'un 1822
oais , je suis bien concient que pour les photos , je suis pas bon , faudrais que je m'equipe mieux mais quand il faut tranchzr entre une arme et un appareil ....devineBaccardi a écrit:Histoire sympa
Pour les photos, si tu permets, c'est moins difficile à l'intérieur et sans ombre
marlain- Pilier du forum
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Age : 78
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Re: la vie d'un 1822
Histoire sympa, arme sympa et... paysage sympa!
Mezigot- Pilier du forum
- Nombre de messages : 2072
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Date d'inscription : 02/09/2011
Re: la vie d'un 1822
si je puis me permettre
tu as oublié aussi le passage en arsenal pour être rayé
en gros:
modéle 1822 fabriqué jusqu'en 1833 / 35 (fin de la manufacture Royale de Maubeuge)
puis, vers les années 1855 / 60 transformation de la platine et ajoute d'un chien déporté et d'une masselotte pour acceuillir la cheminée
puis vers les années 1865 (avant le chassepot) passage en arsenal pour la mise en rayures
donc, sur la queue de culasse tu trouvera
Mle 1822 pour le modéle "T" pour transformation à percussion "Bis" pour la mise en rayures
ensuite, tu as aussi ce modèle aprés toutes ses transformations qui en a encore eu une (un peut plus rare sur ce modèle, mais qui a son importance)
c'est la transformation à tabatière
si non, belle petite histoire que tu as raconté
tu as oublié aussi le passage en arsenal pour être rayé
en gros:
modéle 1822 fabriqué jusqu'en 1833 / 35 (fin de la manufacture Royale de Maubeuge)
puis, vers les années 1855 / 60 transformation de la platine et ajoute d'un chien déporté et d'une masselotte pour acceuillir la cheminée
puis vers les années 1865 (avant le chassepot) passage en arsenal pour la mise en rayures
donc, sur la queue de culasse tu trouvera
Mle 1822 pour le modéle "T" pour transformation à percussion "Bis" pour la mise en rayures
ensuite, tu as aussi ce modèle aprés toutes ses transformations qui en a encore eu une (un peut plus rare sur ce modèle, mais qui a son importance)
c'est la transformation à tabatière
si non, belle petite histoire que tu as raconté
principe de M.de Vallière, créateur de l'artillerie en France: Uniformité, Solidité, Simplicité.
Re: la vie d'un 1822
pour le "bis" je ne suis pas sur, seuls ceux qui avaient le canon suffisamment étoffé étaient rayé et le reste de marquage n'est pas évident .
J'ai acheté pas mal de ces fusils "de traite"et, ils ont tous un point commun ce sont des traits de lime en croix sous le canon que je n'ai jamais vu sur des armes n'ayant pas eu ce parcours (présent aussi sur un 1853) une hypothese toute personnelle serait un repere pour des canons "dérayés" avant leur commercialisation , de toute façon il est illusoire de penser retrouver des restes de rayures vu l'état , de plus ils sont exclusivement utilisés à grenaille
dans les choses vues : un pistolet 1822 T porté en bandouliere par ajout d'un anneau grenadier ....le proprietaire , encore un peulh pas vendeur ..
J'ai acheté pas mal de ces fusils "de traite"et, ils ont tous un point commun ce sont des traits de lime en croix sous le canon que je n'ai jamais vu sur des armes n'ayant pas eu ce parcours (présent aussi sur un 1853) une hypothese toute personnelle serait un repere pour des canons "dérayés" avant leur commercialisation , de toute façon il est illusoire de penser retrouver des restes de rayures vu l'état , de plus ils sont exclusivement utilisés à grenaille
dans les choses vues : un pistolet 1822 T porté en bandouliere par ajout d'un anneau grenadier ....le proprietaire , encore un peulh pas vendeur ..
marlain- Pilier du forum
- Nombre de messages : 1195
Age : 78
Localisation : Savoie
Date d'inscription : 07/04/2012
Re: la vie d'un 1822
c'est vrai qu'il a eu bien des transformation sur ce modéle
le mieux, c'est d'avoir la collection complète
j'ai eu le 1822 T, le 1822 T Bis, le tabatière (d'aprés la date de fabrication)
malheureusement, je n'ai jamais trouvé le 1822 d'origine alors que j'avais trouvé le 77 pur et le dragon AN IX
puis, j'en ai trouvé un de superbe mais aprés avoir vendu le reste
le mieux, c'est d'avoir la collection complète
j'ai eu le 1822 T, le 1822 T Bis, le tabatière (d'aprés la date de fabrication)
malheureusement, je n'ai jamais trouvé le 1822 d'origine alors que j'avais trouvé le 77 pur et le dragon AN IX
puis, j'en ai trouvé un de superbe mais aprés avoir vendu le reste
principe de M.de Vallière, créateur de l'artillerie en France: Uniformité, Solidité, Simplicité.
Re: la vie d'un 1822
Bonsoir,
très sympas cette histoire, un fusil chargé de souvenir !
très sympas cette histoire, un fusil chargé de souvenir !
Gras83- Membre
- Nombre de messages : 16
Age : 27
Localisation : 83
Date d'inscription : 24/09/2013
Re: la vie d'un 1822
Transformé ( raccourcie ) en mousqueton ?
nous sommes poussières et nous retourneront poussières
dédé- Pilier du forum
- Nombre de messages : 3578
Age : 34
Date d'inscription : 05/01/2011
Re: la vie d'un 1822
tres surement raccourci car l'usage usait les extrémités du canon , de plus je jense que pour des raisons de sécurité tous les fusils destinés à ce marché etaient dérayés (ils ont (pour ous ceux que j'ai ou que j'ai pu observé) des marques sous le canon que l'on ne retrouve jamais sous les autres ,j'ai aussi un 1853 qui a les memes
en les derayant le bout du canon devenait fin et de ce fait fragile ; il y en a une paire dans leur longueur à la maison des esclaves à Goré
peu de document existe la dessus donc ...hypotheses
en les derayant le bout du canon devenait fin et de ce fait fragile ; il y en a une paire dans leur longueur à la maison des esclaves à Goré
peu de document existe la dessus donc ...hypotheses
marlain- Pilier du forum
- Nombre de messages : 1195
Age : 78
Localisation : Savoie
Date d'inscription : 07/04/2012
Re: la vie d'un 1822
Très sympa, Marlain, ce conte africain !
Les fusils modèle 1822 ont duré très très longtemps et ont connu toutes les transformations de l'armement du 19e siècle.
Né royal à silex, certains, comme le dit l'ami Rem, ont fini à tabatière sous le drapeau rouge de la Commune. Et pour d'autres, ca a été les colonies, comme le tien qui a duré bien davantage que son temps. Je suppose que ses propriétaires l'ont fait durer et ont su l'entretenir.
Pour ce qui est de l'absence de rayures, on peut faire deux hypothèses.
1. Il n'a jamais été rayé et il a fini son existence "européenne" en tant que brave Mle 1822 T tout court.
Entre 1843 et 1850, ayant probablement été affecté à une Garde Nationale provinciale, il est resté stocké, puis oublié. De sorte qu'il n'a pas été transformé bis en 1860.
Il a fini par être revendu dans les colonies.
A l'appui de cette hypothèse, la baguette "tête de poire".
2. Il a été rayé, donc c'était un 1822 Tbis.
Mais tellement usé par des charges ... "ethniques" (débris de fonte concassés, bouts de clous, ferrailles diverses, graviers, etc...) que les rayures probablement déjà bien râpées, ont fini par disparaître. Puis on a coupé la partie du canon devenue trop fine.
A l'appui de cette hypothèse ... pas grand chose.
Ce sera sa part de mystère.
Voici un 1822Tbis sur mon blog :
http://graphistoire.eklablog.com/un-beau-fusil-modele-1822-tbis-a83193648
A bientôt
Les fusils modèle 1822 ont duré très très longtemps et ont connu toutes les transformations de l'armement du 19e siècle.
Né royal à silex, certains, comme le dit l'ami Rem, ont fini à tabatière sous le drapeau rouge de la Commune. Et pour d'autres, ca a été les colonies, comme le tien qui a duré bien davantage que son temps. Je suppose que ses propriétaires l'ont fait durer et ont su l'entretenir.
Pour ce qui est de l'absence de rayures, on peut faire deux hypothèses.
1. Il n'a jamais été rayé et il a fini son existence "européenne" en tant que brave Mle 1822 T tout court.
Entre 1843 et 1850, ayant probablement été affecté à une Garde Nationale provinciale, il est resté stocké, puis oublié. De sorte qu'il n'a pas été transformé bis en 1860.
Il a fini par être revendu dans les colonies.
A l'appui de cette hypothèse, la baguette "tête de poire".
2. Il a été rayé, donc c'était un 1822 Tbis.
Mais tellement usé par des charges ... "ethniques" (débris de fonte concassés, bouts de clous, ferrailles diverses, graviers, etc...) que les rayures probablement déjà bien râpées, ont fini par disparaître. Puis on a coupé la partie du canon devenue trop fine.
A l'appui de cette hypothèse ... pas grand chose.
Ce sera sa part de mystère.
Voici un 1822Tbis sur mon blog :
http://graphistoire.eklablog.com/un-beau-fusil-modele-1822-tbis-a83193648
A bientôt
Re: la vie d'un 1822
bonjour
un bon historique ton blog
pour revenir sur les 1822 "de traite"je n'en ai jamais rencontré ou le "bis" etait lisiblele "T" souvent limite ,leurs dure conditions de vie et l'entretien de brousse (on frotte avec du sable pour benlever la rouille..)ont eu raison de la plupart des marquages
je recconais qu'il a eu beaucoup de chance d'arriver sans dommages à nos jour , il est vrai qu'il a du faire la fierté des proprietaires successifs et de ce fait a été "chouchouté"tout en permettant d'améliorer l'ordinaire
dans la série des fusils de traite j'ai aussi un harpers ferry (derniere année de fafrication...) et aussi un que je soumettrais bientot à la sagacité des forumistes ,mes connaissaces et ma doc ont calé
à bientot
un bon historique ton blog
pour revenir sur les 1822 "de traite"je n'en ai jamais rencontré ou le "bis" etait lisiblele "T" souvent limite ,leurs dure conditions de vie et l'entretien de brousse (on frotte avec du sable pour benlever la rouille..)ont eu raison de la plupart des marquages
je recconais qu'il a eu beaucoup de chance d'arriver sans dommages à nos jour , il est vrai qu'il a du faire la fierté des proprietaires successifs et de ce fait a été "chouchouté"tout en permettant d'améliorer l'ordinaire
dans la série des fusils de traite j'ai aussi un harpers ferry (derniere année de fafrication...) et aussi un que je soumettrais bientot à la sagacité des forumistes ,mes connaissaces et ma doc ont calé
à bientot
marlain- Pilier du forum
- Nombre de messages : 1195
Age : 78
Localisation : Savoie
Date d'inscription : 07/04/2012
Re: la vie d'un 1822
une photo de ces coups de burin, sur d'autres canons ce sont des traits de lime-scie je pense bien que c'est un marquage de "déclassement"...si quelqu'un a deja vu quelque chose de semblale?
quant'a la baguette bien que sa forme soit assez typique la tige a été forgée , suite à un accident?
noter aussi une brasure sur le dessous du canon....
quant'a la baguette bien que sa forme soit assez typique la tige a été forgée , suite à un accident?
noter aussi une brasure sur le dessous du canon....
marlain- Pilier du forum
- Nombre de messages : 1195
Age : 78
Localisation : Savoie
Date d'inscription : 07/04/2012
Re: la vie d'un 1822
Garder en tete que pour la tranfo Bis, le canon ne devait pas faire au dessus de 18,2 (de memoire, a verifier). J'en ai un , remis en bois, quasi neuf mais pas raye car a 18,25 mm a la bouche. J'ai son petit frere qui lui a ete raye a 18,1 sur les pleins.
Mezigot- Pilier du forum
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Age : 53
Date d'inscription : 02/09/2011
Re: la vie d'un 1822
salut marlain.
je retombe sur ton post dont j'avais zappé une photo...celle du matricule sous le canon .
je possède quelques fusils à silex modèles 1822 incontestablement de fabrication française et acquise par le canton de VAUD ce qui était d'usage pour les canton Suisses , comme pour les troupes du Piémont Sardaigne .
( de même que des armes Piémontaises ) en usage dans des cantons Suisse, et matriculées de ces mêmes cantons .
bref , sur les armes en service dans les cantons , on trouve le matricule : V 33 ou ...V 45 sur le canon , que je pense être l'année d'intégration de ces armes dans les différentes milices Suisses, et peut-être sous le canon du tien , un Num. de matricule du canton .
en attendant l'avis des érudits , je te dis bonsoir
je retombe sur ton post dont j'avais zappé une photo...celle du matricule sous le canon .
je possède quelques fusils à silex modèles 1822 incontestablement de fabrication française et acquise par le canton de VAUD ce qui était d'usage pour les canton Suisses , comme pour les troupes du Piémont Sardaigne .
( de même que des armes Piémontaises ) en usage dans des cantons Suisse, et matriculées de ces mêmes cantons .
bref , sur les armes en service dans les cantons , on trouve le matricule : V 33 ou ...V 45 sur le canon , que je pense être l'année d'intégration de ces armes dans les différentes milices Suisses, et peut-être sous le canon du tien , un Num. de matricule du canton .
en attendant l'avis des érudits , je te dis bonsoir
3008nato- Pilier du forum
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Age : 80
Date d'inscription : 28/12/2012
Re: la vie d'un 1822
superbe histoire et superbe arme !!!
christian-D- Membre
- Nombre de messages : 14
Age : 53
Date d'inscription : 11/10/2013
Re: la vie d'un 1822
bonjour
concernant les matricules sous les canons je n'ai jamais rien vu la dessus et admis que c'était des marquages d'usine sans trop d'intéret ; mais il y a peut'etre des gens passionnés qui se sont penché sur le probleme et , sinon .....il restera du boulot pour les générations futures
concernant les matricules sous les canons je n'ai jamais rien vu la dessus et admis que c'était des marquages d'usine sans trop d'intéret ; mais il y a peut'etre des gens passionnés qui se sont penché sur le probleme et , sinon .....il restera du boulot pour les générations futures
marlain- Pilier du forum
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Localisation : Savoie
Date d'inscription : 07/04/2012
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