Lebel de grenier ...je n'ai jamais oublié ...

ZOUAVE9 a écrit:

Il n'y a pas manière de voir la gravure sur la boîte de culasse identifiant la manufacture coté gauche?

amicalement RV

J'en suis toujours à commencer à le nettoyer (prudemment) et je viens de faire une drôle de découverte ....
Si le canon ,la culasse et le fût porte (d'une manière plus ou moins lisible sur le fût ...) Le numéro F 3896 et l'inscription MAS 1887 ,
Les initiales du fournisseur d'acier étant J H (le J sous réserve ,il y a un gnon peut être ) les initiales cerclées étant r et c ,le boitier lui est marqué Manufacture d'Armes de .....Châtellerault ????
La crosse ne pourra plus "parler" car elle a déjà été "récurée " ....  
La plaque de fond de mécanisme fait trempette dans le gas-oil comme tout le mécanisme ,mais elle est elle aussi assez fortement "piquée" et peinte pour pouvoir y lire quelque chose ....
Sous le canon la lettre E et le mois d’épreuve 4 plus le chiffre 137 que l'on retrouve aussi sous la "queue" du boitier et dans le fût .(le 137) 

Quelqu'un aurait il une piste pour expliquer cette "chose "???
Je met des photos pour montrer tout ça DQP 

@+

PS, la plaque de couche porte un numéro 21 sans aucune lettre ??? 21° RI ????

Effectivement, on est en présence d'une arme de Saint-Étienne, le R est pour le Colonel Robert qui était bien à la MAS à cette époque. Pour le C, je n'ai pas de suggestion, cela peut correspondre à plusieurs personnes et, contrairement à la MAC, on ne sait pas qui était affecté aux armes à feu.
JH correspond à la maison Jacob Holtzer à Unieux. Il n'y a pas de code proche avec lequel le confondre.
Si tant est que le boîtier soit bien de Châtellerault, l'explication d'un montage sur un des premiers Lebel de la MAS est toute trouvée. Lors de la première année de production, MAC a fourni 18 000 boîtiers de culasse à la MAS (Cf. Claude Lombard).
Le 12 sur la plaque de couche, c'est un peu curieux, car l'usage était passé de frapper les numéros de régiments sur les armes à l'époque des Lebel.

Je n'osais espérer une intervention aussi rapide et aussi claire de ta part   !!!!!

Je ferais des photos demain je pense ,mais il est vrai que j'étais un peu désorienté devant ce "panachage " .....

Mille merci Arnaud cette arme n'est donc pas un "mouton à 5 pattes "  .

Je vais peut être continuer tout simplement ce post avec "lui" ,puisque dans l'esprit de départ ,c' étais à "lui" que je pensais .

@+

Bonjour,

j'ai hâte de voir la suite en photos,

amicalement RV

Quelques photos de l'ancêtre au démontage ,les deux seules vis auxquelles je n'ai pas touché sont celles de la plaque de couche ,c'est le tournevis qui a cédé .....Je n'ai pas réessayé de peur que ce soit la tête de vis qui casse cette fois là ......



Premier constat ,l'arme est sale intérieurement , il y a même de la terre .....mais j'y reviendrais ...




La culasse est peinte ,sur la rouille .....






Le fût est en mauvais état , trés sec , un simple ponçage avec du papier grain 100 suffit à effacer les coups et éraflures ...
Je n'irais pas plus loin ....
Une entaille propre au niveau de l'anneau de bretelle (qui est par ailleurs manquant ) ,est ce une enture qui ce serait décollée ?
A noter le ressort de magasin ,tel que je l'ai sorti (réparation d'époque ????)


Une autre réparation coté droit .....Assez grossière .... 



La crosse est elle aussi très marquée ,elle a été poncé très grossièrement avant d'être barbouillé avec une peinture qui pique les yeux lorsqu'on la ponce ....Au regard de la plaque de couche ,elle a déjà bien maigrie ,je ne la poncerai donc certainement pas , juste continuer à chasser cette peinture marron dans toutes les anfractuosités avec un décapant de bonne qualité  .

En ce qui concerne les parties métalliques ,après quelques essais divers et variés pour enlever délicatement cette peinture noire ,le constat est à chaque fois le même ,la peinture a été appliqué sur une corrosion bien présente .
J'ai donc opté pour la solution brosse métallique sur touret pour le débarrasser de cette couleur noire .
Il me faudra trouver une solution pour faire re bronzer tout cela ....

 






Alamas ayant déjà déchiffré très précisément les différents marquages rien de plus à dire sur son acte de naissance 

le 4 du mois d'épreuve est à l'horizontal sous le 7 du 137 ....



137 que l'on retrouve aussi là ....




Et dans le fût .....Poinçon de contrôle ????



La culasse a déjà retrouvé une autre allure ,même si elle restera marqué par la corrosion ....

J'allais oublier ce fameux boitier de la MAC ...






et le 21 sur la plaque de couche ...

J'en arrives maintenant à la question qui me trottes dans la tête depuis un petit moment ... depuis que je taraude mon père de questions
pour raviver ses souvenirs de son grand père .... (né en 1883 )

Mon arrière grand père n'a pas finie la grande guerre dans les tranchées puisque étant ouvrier tourneur ,il fut retiré du service actif courant 16 ou 17 pour tourner des obus en région Parisienne .... 
L'ancien étais récupérateur mais sans plus , et n'aurais à priori certainement pas ramassé en guise de souvenir ,une arme en aussi mauvais état ,qui plus est une arme réglementaire de l'armée Française .Je pense que déjà à l'époque cela aurais pu être assimilé à un vol pur et simple alors qu'il était si simple et glorifiant de ramasser un G 98 ou tout autre souvenirs d'outre Rhin .
La présence de terre dans le boitier culasse et même la chambre ,le mauvais état général de l'arme m'incites à penser que ce fusil a séjourné un certain temps en terre ...La période est assez simple à retrouver ,puisque mon père se souvient d'avoir subit l'exode avec ses parents et ses grands parents ...Et avant de partir (et de revenir quelques mois plus tard ) les anciens avaient pris la précaution d'enterrer un certain nombre de chose ,mon grand père entre autre avait enterrer ....son vin !!! Donc pourquoi pas une arme strictement interdite à la détention et qui aurais pu être découverte dans la maison durant son absence . A leur retour ,force fut de constater que les habitations vides avaient eu des "locataires" (certainement germains) ,et des visiteurs puisque mon aïeul retrouva une de ses vestes du dimanche sur le dos d'un voisin :twisted:  ...... 

Ma question est donc la suivante ,un soldat de l'armée Française en permission ,ou en transit entre deux affections conservait il son arme avec lui ? L'arme étant ensuite "perdue" dans les méandres de l'administration .....entre reversement ,sortie des comptes etc ...
Il y a pour ma part d'ailleurs un peu de vécu à ce niveau là ...(pas sur de l'armement mais presque ,j'ai été honnête ,j'ai rendu ...)

Toutes idées sur la remise en état de l'arme proprement dites ou sur son éventuelle provenance sont les bienvenues 

Merci d'avance 

@+

En 1918, un certain nombre de démobilisés auraient racheté leur fusil.
Il serait d'ailleurs intéressant d'en savoir le nombre, et le tarif ; autrement dit, combien de semaines de solde ça faisait-il économiser à l'armée ?
Après, ça a pu être vendu, donné, échangé...

S'il avait été transformé N, ça aurait été une récup de juin 40 (il en a traîné des milliers et des milliers au bord des routes, durant quelques jours voire semaines).

Pour le re-bronzage, tu ferais mieux d'oublier : il est trop bouffé, ça ne servira à rien et l'aspect sera encore pire. Piqué comme ça, ça ne rouille pas trop, car les aspérités gardent l'huile. Le cas de la crosse est plus grave...
Les ressorts de magasin, on les trouve souvent comme ça (ils ne supportent pas la rouille et cassent). Les rafistolages de ressorts avec des attelles ne fonctionnent généralement pas, et parfois coincent tout le bazar ; va falloir que je m'y mette, aux ressorts de Lebel...

Merci pour cet élément de réponse ,même si ,sans chercher à être offensant ,je trouves ce "payement " en arme à feu réglementaire assez incongrue dans la mentalité de la "grande muette " . J'ai déjà lu que chaque vétéran avait gardé ou reçu après guerre son casque mle 15 avec la fameuse plaque à riveter sur la visière mais conserver son arme de dotation . Une piste à fouiller ,si quelqu'un d'autre à des infos allant dans cette voie .  

Après ,reste aussi effectivement l’hypothèse de l'échange ou du don ... L'ancien n'étais à priori ni très causant ,ni très intéressé par cette arme,mon père n'ayant quasi aucun souvenirs de l'avoir vu avec dans les mains ...Difficile de pouvoir être affirmatif .... 
Pour ce qui est du bronzage , il était plus question pour moi de se rapprocher de la couleur originelle ,mais je pense que tu as peut être raison et qu'un gris ferraille propre peut effectivement suffire .

Dommage effectivement pour les bois ,mais les changer serait peut être un peu changer "l'esprit " de l'objet ...
Je viens de récupérer une chute de noyer pour espérer recréer l'enture manquante sous le fût et je pense reconstituer l'extrémité du fût sous le quillon avec du synto bois . 

Je l'avais oublié dans la série de photos ,mais ....



"Il " n'est effectivement pas modifié N 

Personne par contre pour le 21 sur la plaque de couche ,ou le 137 à trois endroits différents ?

@ suivre 

Bin au vu de la der photo , le grenier devait être très près de la cave !

En 1918 il y avait à l'évidence un excès d'armes, peut-être pas plusieurs millions (quoique), mais des centaines et des centaines de milliers... Il aurait fallu les reconditionner, stocker, entretenir...
Les débouchés des "marchands de canons" était sans doute saturés, comme après chaque guerre importante.
Et surtout, les Lebel étaient en vente libre sur le catalogue de la Manu, alors pourquoi l'armée s'en serait-elle privé ? Je doute fort que ça ait eu plus que l'intérêt d'un souvenir, car à cette époque en France on ne chassait presque pas à balle (encore dans les années 1960 - 70, seuls les notables possédaient une carabine de chasse, pour la plupart des autres c'était 12 lisse à 2 coups).
D'ailleurs, il n'y a encore pas si longtemps les réservistes suisses atteints par la limite d'age pouvaient garder leur arme de dotation, moyennant un prix assez faible. C'est pour ça qu'on en trouve tant sur le marché...


Pour ta réparation, une enture en bois neuf se verra beaucoup ; en vieux bois tout foutu elle sera difficile à réussir. Mais pour réparer le bout du fût, le syntho-merde a toutes les chances d'être ignoble ; si c'est nécessaire pour faire tenir la grenadière, une enture s'impose (ne crois pas que ce serait plus difficile que le remplacement d'une petite plaquette manquante : l'ajustage de celles-ci tient presque de la marqueterie).

lu1900 a écrit:Bin au vu de la der photo , le grenier devait être très près de la cave !

Non non ,dans le faux plafond d'une chambre mansardée ,la ou mon père l'avait découvert étant gamin en 1950 ... Avant ça ,nul ne sait   







Le synto bois serait employé juste en bout du fût ,tout cela restant sous le quillon ,le fusil finissant ensuite au mur ou sur râtelier ...

Je procéderais de toute manière à un ou deux essais préalables ,mais je ne me sens pas capable pour l'instant de faire une enture à cet endroit là .

Pour l'enture sous le fût ,je me doute bien que les choses ne sont pas aussi simples qu'un simple collage et que ce sera visible mais ,ais je une autre solution ? (Le synto bois là aussi ?)

J'ai posé la question à un menuisier pro qui fait de la restauration de meubles ,il l'utilise parfois pour combler des manques ,mais m'a prévenu que la résistance aux chocs n'étais pas terrible et qu'il risquait fort d'y avoir une différence de "prise de teinte" (il m'a par ailleurs aussi parlé d'une enture en bout ,pour le fût ...) Réflexion ,réflexion donc 

Bien pris ,pour la vente d'armes réglementaires ,l'ancien n'étais pas chasseur de toutes façons ,peut être c'est il laissé tenter par le "souvenir" ,celui ci tombant ensuite en désintérêt total ...C'est plausible aussi après tout .  

@ suivre 

Bonjour,

la terre dans le mécanisme et l'état du bois plaident plus en faveur d'une arme enterrée pendant la seconde guerre pour éviter les ennuis avec la force teutonne. A l'époque le fait de se faire prendre en possession d'une arme à feu était punis de mort.

Peut être déterré après guerre et cachée pour éviter un accident avec les enfants...ou trouvé enterré par l'arrière grand père lors de fouille fortuite et gardé après peinture de sauvegarde comme souvenir lui rappelant la grande guerre...

amicalement RV

Bonsoir Zouave 9 , merci de t intéresser à mon "ancêtre" de famille 

Difficile de pouvoir remonter la piste de cette arme , si j'ai un peu connu mon arrière grand mère , Aristide lui a fermé les yeux un an après ma naissance ... Mon père étant le dernier vivant a l'avoir connu ... Et l'aspect prédominant du caractère de l'ancien qui lui vient à la mémoire c'est  "il n’étais pas très causant ..." , entre autre sur son passé militaire (Vaux et Verdun sont les seuls souvenirs de guerre évoqués épisodiquement ....) 
Tout ce que je peux te dire ,c'est que nous sommes de père en fils TRÈS conservateur   ça vient bien de quelque part ....

Si nous arrivions à savoir si le 21 sur la plaque de couche est un marquage régimentaire ,cela pourrait être un début de piste ,et encore ...
L hypothèse de Verchère ,comme la tienne  sont également plausibles .
Je le saurais peut être un jour d'ou "il" sort ,mais je ne serais plus là pour vous le dire   .

En attendant ,cette arme m'a fait "cogiter" pendant des années ,miraculeusement "il" m'est revenu   ,maintenant je voudrais le remettre un peu sur patte sans pour autant dénaturer son passé familial ,même si je suis visiblement le premier depuis 100 ans à m'en soucier 

Je pense faire des essais de synto bois ce weekend  ,et aussi demander à "mon" menuisier s'il n'aurait pas un peu de temps à lui consacrer avant d'en faire plus moi même (sur le fût ) 

@ suivre 

Bonjour,

tu as aussi la possibilité de garder les bois précieusement et remettre des bois copie menuisier, ceci est réversible et au vu de l'état des originaux tu devrais lui rendre après nettoyage de la ferraille une seconde jeunesse et surtout un visuel plus que convenable,

amicalement RV

.

J'y ais bien sûr pensé ,et ce n'est pas une question de budget ,mais si je change le fût ,il faudra aussi que je change la crosse ...
Je n'ai pas forcément entendu que du bien des crosses "fabrications actuelles " ,quelqu'un l'a t il déjà fait ? Je serais curieux de voir côte à côte un Lebel monture originale et un avec une monture actuelle    si quelqu'un a une photo ???? je serais fortement intéressé .

L'idéal bien sûr serait une monture d'époque ,la dernière crosse que j'ai vu sur NB est partie à 184 euros .....(et juste la crosse ...)
Réflexion ,réflexion ....Toujours et encore ...

@ suivre

Bonjour,

tu as le site Polonais qui fait des copies de qualité, peut être un peu chère! La ferraille n'a pas l'air si vilaine que ça une fois nettoyée, une remise en boiserie devrait franchement lui redorer le blason. De toutes façons, au vue de l'état tu ne risque que de l'embellir, surtout si tu veux le garder comme souvenir en panoplie,

amicalement RV

en voila une belle histoire!, j'ai lu les 4 PAGES,d'une traite!
mon pere avais retrouvé un fusil comme celui la ,mais il en etait pas sur , c'etait  tellement bouffé par la rouille qu'il a pas su me dire!, tout a fini a la benne rien de rattrapable ..
perso  soit je le laisserai en etat!, apres juste un nettoyage, je suppose que le canon n'a plus de rayures en etat!? si par contre la mecanique est bonne ,la par contre je chercherais une crosse et un fut!, tout en gardant les bois originaux de coté..

Effectivement,  un sujet Sympa......et puisque c est remonter, j en ai vu un hier avec un beau jus et tout an No...ce qui est très   rare,,, le blême  est que le gars en voulait 1600....je pense qu après  nego'......il aurait baisser à 1300...mais je trouve que ça  reste haut.?...

gégé2b a écrit:en voila une belle histoire!, j'ai lu les 4 PAGES,d'une traite!
mon pere avais retrouvé un fusil comme celui la ,mais il en etait pas sur , c'etait  tellement bouffé par la rouille qu'il a pas su me dire!, tout a fini a la benne rien de rattrapable ..
perso  soit je le laisserai en etat!, apres juste un nettoyage, je suppose que le canon n'a plus de rayures en etat!? si par contre la mecanique est bonne ,la par contre je chercherais une crosse et un fut!, tout en gardant les bois originaux de coté..

Et l'histoire est intégralement vrai mais n'est pas finie !!!  (mais chut .....)
Du point de vue canon ,le premier des deux est malheureusement "bagué" quasiment sous le guidon   ,celui de mon arrière grand père lui est potable ,mais certainement pas N et comme je ne recharge pas encore ....En plus j'aurais bien trop peur qu'"il" ne lui arrive quoi que ce soit .
Au niveau boiserie ,j'ai pris la décision de lui offrir une nouvelle monture complète (fabrication actuelle ) en cours de réalisation . 
Ceux d'origine ont vraiment beaucoup "maigris" ,plus aucuns marquages apparents .Je les conserverais simplement 
comme des reliques  

@ suivre 

Solitaire du 57 a écrit:... mais certainement pas N et comme je ne recharge pas encore ...

Les cartouches Partizan (quand disponibles) sont à priori compatibles "N" ET "non-N" ; et même sans doute plus performantes en "non-N".
En fait, pour recharger des cartouches assurément non compatibles "non-N", il faut utiliser des composants anciens de récup (balles 32N et douilles militaires épaisses). Dès qu'on prend des douilles PPU (très minces) il y a peu de risques de coincer au collet lors du tir, sauf arme "non-N" tout à fait en limite basse de tolérance.

Par contre, dans un vieux fusil, je m'inquiéterais plutôt de la charge que Partizan met dans ses cartouches, et de leur excès de feuillure chronique...

Verchère a écrit:

Solitaire du 57 a écrit:... mais certainement pas N et comme je ne recharge pas encore ...

Les cartouches Partizan (quand disponibles) sont à priori compatibles "N" ET "non-N" ; et même sans doute plus performantes en "non-N".
En fait, pour recharger des cartouches assurément non compatibles "non-N", il faut utiliser des composants anciens de récup (balles 32N et douilles militaires épaisses). Dès qu'on prend des douilles PPU (très minces) il y a peu de risques de coincer au collet lors du tir, sauf arme "non-N" tout à fait en limite basse de tolérance.

Par contre, dans un vieux fusil, je m'inquiéterais plutôt de la charge que Partizan met dans ses cartouches, et de leur excès de feuillure chronique...

En fait pour être franc ,je n'ai toujours pas trop compris la différence profonde N et non N et surtout à quel moment le risque est présent .Par contre j'ai bien retenu ta remarque dans un autre post ou tu disais que justement quand on a rien compris il vaut mieux s'abstenir de tout ...
Pour en avoir discuté ce week end au stand avec un tireur que j'avais vu mettre en oeuvre il y a un moment un Lebel ,il m'a répondu que lui rechargait des douilles achetées au Luxembourg et que l'armurier lui avais recommandé d'utiliser les mêmes ogives que pour recharger pour son 98a (8/60) ....N' étant pas rechargeur ,je ne fait que répéter ce qu'on m'a dit et à priori cela fonctionne .
Merci pour ta remarque sur les Partizans compatibles N et non N ,j'aurais cru qu'elles étaient uniquement N ....(preuve s'il en faut encore une fois que je n'ai trop rien compris ) .Comme dit je ne tenterais rien qui puisse mettre en péril l'un d'eux .Qui sait ,un jour j'en aurais peut être un en état concours   ....

@ suivre 

Petite question technique ,comment démonter la hausse d'un Lebel ?
Je vois d'un coté la rainure pour un tournevis ce qui laisserait penser qu'il s'agit d'une vis ... ou bien est ce une simple goupille ???

Merci d'avance 

@ suivre 

C est un axe a chasser...il n y a pas de filetage.

Et on chasse de la gauche vers la droite.

Mille merci à tous les deux ,je préférais poser la question avant 
Vais essayer ce soir !

@+

PS ; Michael je ne t'oublies pas !  à bientôt !

Verchère a écrit:E

Pour le re-bronzage, tu ferais mieux d'oublier :

Donc peinture  mais proprement cette fois-ci ???

( ne pas oublier que le pontet et la plaque de couche sont polit blanc )

ZOUAVE9 a écrit:Bonjour,

tu as le site Polonais qui fait des copies de qualité, peut être un peu chère!

Je ne  toucherai pas aux bois si possible