briquet à noir de fumée
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JIEME41
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Re: briquet à noir de fumée
Un tour de scotch a 5 mm du souffre d une alumette ne ferait il pas l affaire
C est l heure
C est l heure
Les armes ont torturé mais aussi façonné le monde. Elles ont accompli le meilleur et le pire, enfanté l’infâme aussi bien que le plus grand, tour à tour rampé dans l’horreur ou rayonné dans la gloire. Honteuse et magnifique, leur histoire est celle des hommes.
Charles de Gaulle
manitou- Pilier du forum
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Re: briquet à noir de fumée
Celui-là peut-êtreJIEME41 a écrit:Je n’arrive pas à ouvrir le lienjp223 a écrit:
Dur à trouver effectivement, je n’ai pas trouvé de site de vente pour ce Gunsmoke sight lighter.
Il faut dire que ça doit faire plus de 20ans que je l’ai acheté.
http://www.champchoice.com/store/main.aspx?p=ItemDetailOptions&item=CL20
les libertés s'envolent, le jour où cela vous deviendra insupportable, il sera trop tard!
jp223- Membre expert
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Date d'inscription : 14/01/2013
Re: briquet à noir de fumée
M'faites pleurer, là...
Z'allez pas me dire que vous avez pas tous un ou deux vieux briquets à essence qui traînent au fond d'un tiroir ; ou sur une étagère à bibelots (le fameux soit-disant "art de tranchée").
Certes les pierres coûtent cher ; mais souvent les briquets à gaz sont vides alors qu'il reste de la pierre (parfois un gros bout). Donc avant de les jeter on les désosse, on collecte les reliquats de pierre et en prime on gagne un petit ressort (la molette y-a pas grand chose à en faire).
Y-a 2 ou 3 tailles de pierre, donc on trouve vite celles dont on a besoin ; pour les autres, y-a peut-être moyen de bricoler un pistolet à rouet (histoire de pas les jeter)...
Autrefois (ça fait pas loin de 50 ans), Esso distribuait des briquets amusants : un bloc rectangulaire de plastique dans lequel se rangeait une tige en "je sais pas quoi" entourée d'une mèche. Le bloc étant creux et rempli de coton imbibé d'essence, la mèche s'imprégnait. On sortait la tige et on en frottait le bout contre une baguette de "je sais pas quoi" sertie sur un côté du bloc : la mèche s'enflammait presque à tout coup.
PS : y-a plus de soufre à la base du phosphore, sur les allumettes : plutôt de la cire (ou de la paraffine, c'est peut-être pour ça que maintenant, elles s'éteignent si souvent dès que le bout rouge a fini de brûler).
Et ce bout rouge c'est plus le mélange "phosphore, chlorate de potassium, sable fin et colle" des allumettes qu'on pouvait frotter n'importe-où ; dans les allumettes "de sûreté" le phosphore est sur le grattoir et le bout de l'allumette c'est "chlorate de potassium, sulfure d'antimoine et colle".
(source : cours élémentaire de chimie, H. Debray, Dunod éditeur, libraire des corps impériaux des ponts et chaussées et de mines, Paris, 1864).
Z'allez pas me dire que vous avez pas tous un ou deux vieux briquets à essence qui traînent au fond d'un tiroir ; ou sur une étagère à bibelots (le fameux soit-disant "art de tranchée").
Certes les pierres coûtent cher ; mais souvent les briquets à gaz sont vides alors qu'il reste de la pierre (parfois un gros bout). Donc avant de les jeter on les désosse, on collecte les reliquats de pierre et en prime on gagne un petit ressort (la molette y-a pas grand chose à en faire).
Y-a 2 ou 3 tailles de pierre, donc on trouve vite celles dont on a besoin ; pour les autres, y-a peut-être moyen de bricoler un pistolet à rouet (histoire de pas les jeter)...
Autrefois (ça fait pas loin de 50 ans), Esso distribuait des briquets amusants : un bloc rectangulaire de plastique dans lequel se rangeait une tige en "je sais pas quoi" entourée d'une mèche. Le bloc étant creux et rempli de coton imbibé d'essence, la mèche s'imprégnait. On sortait la tige et on en frottait le bout contre une baguette de "je sais pas quoi" sertie sur un côté du bloc : la mèche s'enflammait presque à tout coup.
PS : y-a plus de soufre à la base du phosphore, sur les allumettes : plutôt de la cire (ou de la paraffine, c'est peut-être pour ça que maintenant, elles s'éteignent si souvent dès que le bout rouge a fini de brûler).
Et ce bout rouge c'est plus le mélange "phosphore, chlorate de potassium, sable fin et colle" des allumettes qu'on pouvait frotter n'importe-où ; dans les allumettes "de sûreté" le phosphore est sur le grattoir et le bout de l'allumette c'est "chlorate de potassium, sulfure d'antimoine et colle".
(source : cours élémentaire de chimie, H. Debray, Dunod éditeur, libraire des corps impériaux des ponts et chaussées et de mines, Paris, 1864).
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