Testeur de dureté LEE
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Re: Testeur de dureté LEE
C'est vrai que j'ai oublié le fameux plomb Lyman #2 :
https://www.buffaloarms.com/lyman-2-pure-certified-bullet-casting-alloy-9-lb-chop-block-90-lead-5-tin-5-antimony15bn-priced-per-pound-2alloy
J'en ai jamais vu....
Faut dire qu'avec la densité du plomb (donc, le poids du colis...) et le prix du transport, ça deviendrait vraiment très cher pour un alliage qui est facilement reproduit par quelqu'un qui est un peu habitué à couler.
https://www.buffaloarms.com/lyman-2-pure-certified-bullet-casting-alloy-9-lb-chop-block-90-lead-5-tin-5-antimony15bn-priced-per-pound-2alloy
J'en ai jamais vu....
Faut dire qu'avec la densité du plomb (donc, le poids du colis...) et le prix du transport, ça deviendrait vraiment très cher pour un alliage qui est facilement reproduit par quelqu'un qui est un peu habitué à couler.
Lone Rider- Membre confirmé
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Re: Testeur de dureté LEE
Verchère a écrit:L'ogive c'est simplement la partie ogivale de la balle (ou de la voûte "gothique").Truite a écrit:... Mais j'aurais bien aimé qu'on m'explique la différence Balle/Ogive.. !
Sur une balle il n'y a pas toujours d'ogive : dans une balle ronde rien n'est ogival, dans une wad-cutter ou une balle à nez conique non plus, mais une balle dite "à nez rond" (Round-Nose) a le plus souvent une courte ogive terminée en rond.
L'ogive est la forme de révolution générée par un cercle dont le centre n'est pas placé sur l'axe de la pièce (s'il est placé sur l'axe c'est un nez rond - ou une voûte "romane").
L'ogive ne forme généralement que la partie avant du projectile ; derrière se trouve un corps plus ou moins long et plus ou moins cylindrique. Si le centre du rayon d'ogive se trouve exactement à la hauteur du raccordement corps-ogive, ce sera une ogive tangente (p.ex. TPM327D, TPM311ME).
Si le centre du rayon est en arrière de ce point de raccordement, ce sera une ogive sécante (moins fréquent, p.ex. TPM308S).
On peut comme dit plus haut dessiner une ogive se terminant en nez rond (comme presque toutes les anciennes balles à bout rond, méplatées ou non, de l'époque 1900),
Ou une ogive qui commence tangente (elle se centre mieux dans la prise de rayures) et qui après quelques millimètres est raccordée avec une ogive sécante (terminée en méplat, elle peut améliorer le coefficient balistique), p.ex. TPMsérieP.
Plus tordu, une ogive qui change continuellement de rayon et de point de centre : très sécante à la pointe, pour progressivement devenir tangente au raccordement avec le corps, selon une formule mathématique à coucher dehors. Théoriquement excellente, en pratique peu utilisée car difficile à tracer ; par exemple l'ogive "Sears-Haack" des TPMsériesTLD... que c'est moi que j'en ai écrit le programme de calcul !
Sinon, les alliages de plomb durci tout faits, garantis en dureté, étaient cités dans les manuels de rechargement ; Lyman en proposait, entre autres. Mais je ne connais personne qui en ait acheté...
Ok ! Merci pour l'explication ! Je comprend mieux
Truite- Membre
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Re: Testeur de dureté LEE
Dans "Notes & Formules de l'Ingénieur, 21e édition, Albin Michel 1923", page 699, il est indiqué que << les tuyaux de plomb pur ne conviennent pas aux échappements de vapeur car à 100° il se ramollit déjà beaucoup ; quand il est nécessaire de l'utiliser au dessus de 100° il faut l'allier de 1 à 2 % d'antimoine. >>
On peut penser qu'au contact de la poudre enflammée, ou par frottement contre le canon, la balle atteint superficiellement une température assez élevée ; les mesures de dureté à froid ne seraient donc pas forcément significatives...
Par exemple, si on connaît les effets de l'ajout d'antimoine, étain ou arsenic du point de vue dureté à froid et température de fusion, que sait-on de la dureté à chaud ?
En d'autres termes, on pourrait éventuellement trouver des alliages différents et présentant cependant des duretés voisines à froid, mais seulement à froid...
On peut penser qu'au contact de la poudre enflammée, ou par frottement contre le canon, la balle atteint superficiellement une température assez élevée ; les mesures de dureté à froid ne seraient donc pas forcément significatives...
Par exemple, si on connaît les effets de l'ajout d'antimoine, étain ou arsenic du point de vue dureté à froid et température de fusion, que sait-on de la dureté à chaud ?
En d'autres termes, on pourrait éventuellement trouver des alliages différents et présentant cependant des duretés voisines à froid, mais seulement à froid...
Petite collection de documents anciens et récents : http://p.lacour.malvaux.free.fr/Arquebuses.htm
coulage des balles
attention l'ogive dans sa forme est reliée au coefficient ballistique, souvent on dit une balle car elle est ronde et ogive pour les autres,par contre on dit trou de balles pour un orifices circulaire, plissé ou pas dont on ne peut déterminer en le contemplant la forme exact qui la crée.
lespaulfus- Membre averti
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Re: Testeur de dureté LEE
Les trolls sont de sortie ; consternant .
Encore un qui se met une ogive Wad Cutter dans le pied ; en parlant de pied , il y en a qui se perdent , des coups de pied au cul .
Un pas de plus et TCAR ira rejoindre le fond du trou en compagnie de TirMailly .
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deGuers- Pilier du forum
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Helipat13- Membre
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Re: Testeur de dureté LEE
Chouettes photos , je dois avouer que je réalise mon mélange de coulée au pifomètre , me faudrait investir ....
Cordialement...Patrice.... lu1900@gmail.com
lu1900- Pilier du forum
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Re: Testeur de dureté LEE
Superbes photos prises à travers la loupe ! ce n'est déjà pas si facile avec les yeux...
J'ai un copain qui travaille dans la haute technologie et qui dispose d'un testeur de haute précision au boulot.
Il a vérifié pour moi des relevés que j'avais faits avec le testeur LEE et qui se sont avérés globalement exacts, suffisamment en tous cas pour faire des alliages de plomb avec une bonne précision.
Autre avantage du testeur LEE par rapport à d'autres, le SAECO par exemple, on peut tester un lingot et pas seulement une balle.
J'ai un copain qui travaille dans la haute technologie et qui dispose d'un testeur de haute précision au boulot.
Il a vérifié pour moi des relevés que j'avais faits avec le testeur LEE et qui se sont avérés globalement exacts, suffisamment en tous cas pour faire des alliages de plomb avec une bonne précision.
Autre avantage du testeur LEE par rapport à d'autres, le SAECO par exemple, on peut tester un lingot et pas seulement une balle.
Lone Rider- Membre confirmé
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moblot70- Membre confirmé
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Re: Testeur de dureté LEE
Réactivation de ce post.
Parmi les radins masos du forum, quelqu'un a t’il envisagé un testeur à base d'une potence , d'un système de levier démultiplicateur et comparateur, ça doit fonctionner sans aller chercher le micron. Pour finir, une abaque, merci excel et wikiblabla. Normalement ils ont le nécessaire en magasin.
J'ai tiré pendant plusieurs années en rechargeant avec une balance à fléau maison qui valait bien celles du commerce, venues par avion des US.
Après, chacun a son ratio temps/argent, comme disait Gheerbrant : "pour chacun son pain et son hareng !" (expression qui viendrai du plat pays, où il y a des harengs, selon lui).
Bonne journée.
Parmi les radins masos du forum, quelqu'un a t’il envisagé un testeur à base d'une potence , d'un système de levier démultiplicateur et comparateur, ça doit fonctionner sans aller chercher le micron. Pour finir, une abaque, merci excel et wikiblabla. Normalement ils ont le nécessaire en magasin.
J'ai tiré pendant plusieurs années en rechargeant avec une balance à fléau maison qui valait bien celles du commerce, venues par avion des US.
Après, chacun a son ratio temps/argent, comme disait Gheerbrant : "pour chacun son pain et son hareng !" (expression qui viendrai du plat pays, où il y a des harengs, selon lui).
Bonne journée.
Gé Tibla- Membre expert
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Age : 71
Localisation : Alpes de Haute Provence
Date d'inscription : 12/11/2017
Re: Testeur de dureté LEE
J'ai bien sûr étudié la question !
Dans un système de tringlerie avec levier et contrepoids, les pivots nécessaires diminuaient la précision et imposaient d'augmenter la force d'appui pour obtenir des résultats reproductibles, ce qui au final s'avérait bien encombrant !
J'ai donc longtemps utilisé un système très simple, constitué d'une grosse fléchette à bout conique (un court rond de 20 usiné en cône et emmanché dans un tube électrique PVC de 30 ou 40 cm de long servant d'empennage), que je tenais au contact de mon nez, bien à l'aplomb du lingot. Poids constant, lâché d'une hauteur constante, il en résultait une empreinte d'impact de diamètre mesurable.
Etalonnage en comparaison d'alliages Lyman #2 et #4, à partir desquels j'avais arbitrairement fixé une échelle de 0 à 9, avec 8 pour le plomb pur.
Mes petites lingotières (en alu, coulées maison) présentant un petit lamage circulaire dans lequel je poinçonnais ce numéro donné par la fléchette. Ce système ne permettant bien sûr de tester que des lingots, viser une balle coulée étant trop hasardeux.
J'avais ensuite imaginé un poinçon à 9 pointes juxtaposées (carré 3 x 3), de longueurs inégales, qu'il aurait suffi de presser d'une force constante pour ensuite compter les pointes qui avaient marqué. Mais c'était compliqué à réaliser, et à la même époque j'ai réduit mes exigences à 3 sortes de plomb (pur, un peu durci, et linotype) donc ça ne valait pas la peine de m'embêter.
Pour éviter une tendance au basculement du poinçon, sans doute aurait-il fallu répartir les longueurs d'une façon analogue aux percuteurs du Canon à Balles ; ou à l'ordre de serrage d'une culasse de bagnole...
Et dernièrement j'ai simplement extrapolé entre d'une part mon testeur de raideur de ressort à lame (poids et comparateur à cadran) et le testeur de dureté Brinell (bille Ø 10 et vérin hydraulique à manomètre).
Il suffit de poser une bille sur le plomb, un comparateur zéroté sur le dessus de la bille, et un poids tirant la bille vers le bas par l'intermédiaire d'une plaque perforée d'un trou laissant passer la pointe de touche du comparateur. Il faut donc une bille nettement plus grosse que la pointe du comparateur, mais l'appareil étant très sensible il n'y a pas besoin d'exercer une grande force. On mesure alors l'enfoncement de la bille plutôt que le diamètre de son empreinte, mais ça revient au même.
Montage uniquement réalisé en provisoire (pour mettre en évidence l'élasticité des divers alliages de plomb), vu que je n'en ai pas l'usage courant...
J'ai pris l'habitude de mettre les comparateurs à cadran à toutes les sauces, car il suffit que l'appareil comporte un trou de 8 avec vis d'arrêt (ou simplement fendu pour serrer avec souplesse), et il n'y a alors pas besoin de s'occuper du système de mesure lui-même.
Il est ainsi très facile de fabriquer par exemple un alésomètre ; plus exactement un comparateur d'alésages (il faut tout de même avoir une bague de référence de diamètre aussi proche que possible).
L'hiver dernier j'ai pourtant bricolé un comparateur à simple levier (prolongé en longue aiguille pour augmenter la précision) pour un usage particulier : comparer les longueurs des dents gauches et droites des chaînes de tronçonneuse (si elles ont exactement la même longueur ça coupe super-vachement mieux, mais comme elles sont obliques c'est une vraie plaie à mesurer au pied à coulisse).
_ _ _ _ _ _ _
J'ai aussi très longtemps rechargé avec un trébuchet à fléau (le même que celui des catalogues Manu des années 1900), récupéré dans une poubelle lors du déménagement du collège. Assez récemment, j'ai nettement amélioré sa stabilité en posant des aimants de disque-dur sur le coffret, un sous chaque plateau : ils n'attirent pas les plateaux en laiton, et les courants de Foucault fonctionnent quel que soit le métal. Avec ces aimants le trébuchet se stabilise nettement plus vite que la balance LEE (qui est une plaie de ce point de vue).
Sinon, des petites balances électroniques "apacher" ramenées d'Allemagne valent largement certains modèles équivalents commandés aux USA ... dont elles ne diffèrent que par les indications sérigraphiées et éventuellement la couleur de certains bouts de plastique. Pourquoi ramenées d'Allemagne ? Parce-que le dépositaire allemand ne veut pas s'emmerder à expédier à l'étranger.
Dans un système de tringlerie avec levier et contrepoids, les pivots nécessaires diminuaient la précision et imposaient d'augmenter la force d'appui pour obtenir des résultats reproductibles, ce qui au final s'avérait bien encombrant !
J'ai donc longtemps utilisé un système très simple, constitué d'une grosse fléchette à bout conique (un court rond de 20 usiné en cône et emmanché dans un tube électrique PVC de 30 ou 40 cm de long servant d'empennage), que je tenais au contact de mon nez, bien à l'aplomb du lingot. Poids constant, lâché d'une hauteur constante, il en résultait une empreinte d'impact de diamètre mesurable.
Etalonnage en comparaison d'alliages Lyman #2 et #4, à partir desquels j'avais arbitrairement fixé une échelle de 0 à 9, avec 8 pour le plomb pur.
Mes petites lingotières (en alu, coulées maison) présentant un petit lamage circulaire dans lequel je poinçonnais ce numéro donné par la fléchette. Ce système ne permettant bien sûr de tester que des lingots, viser une balle coulée étant trop hasardeux.
J'avais ensuite imaginé un poinçon à 9 pointes juxtaposées (carré 3 x 3), de longueurs inégales, qu'il aurait suffi de presser d'une force constante pour ensuite compter les pointes qui avaient marqué. Mais c'était compliqué à réaliser, et à la même époque j'ai réduit mes exigences à 3 sortes de plomb (pur, un peu durci, et linotype) donc ça ne valait pas la peine de m'embêter.
Pour éviter une tendance au basculement du poinçon, sans doute aurait-il fallu répartir les longueurs d'une façon analogue aux percuteurs du Canon à Balles ; ou à l'ordre de serrage d'une culasse de bagnole...
Et dernièrement j'ai simplement extrapolé entre d'une part mon testeur de raideur de ressort à lame (poids et comparateur à cadran) et le testeur de dureté Brinell (bille Ø 10 et vérin hydraulique à manomètre).
Il suffit de poser une bille sur le plomb, un comparateur zéroté sur le dessus de la bille, et un poids tirant la bille vers le bas par l'intermédiaire d'une plaque perforée d'un trou laissant passer la pointe de touche du comparateur. Il faut donc une bille nettement plus grosse que la pointe du comparateur, mais l'appareil étant très sensible il n'y a pas besoin d'exercer une grande force. On mesure alors l'enfoncement de la bille plutôt que le diamètre de son empreinte, mais ça revient au même.
Montage uniquement réalisé en provisoire (pour mettre en évidence l'élasticité des divers alliages de plomb), vu que je n'en ai pas l'usage courant...
J'ai pris l'habitude de mettre les comparateurs à cadran à toutes les sauces, car il suffit que l'appareil comporte un trou de 8 avec vis d'arrêt (ou simplement fendu pour serrer avec souplesse), et il n'y a alors pas besoin de s'occuper du système de mesure lui-même.
Il est ainsi très facile de fabriquer par exemple un alésomètre ; plus exactement un comparateur d'alésages (il faut tout de même avoir une bague de référence de diamètre aussi proche que possible).
L'hiver dernier j'ai pourtant bricolé un comparateur à simple levier (prolongé en longue aiguille pour augmenter la précision) pour un usage particulier : comparer les longueurs des dents gauches et droites des chaînes de tronçonneuse (si elles ont exactement la même longueur ça coupe super-vachement mieux, mais comme elles sont obliques c'est une vraie plaie à mesurer au pied à coulisse).
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J'ai aussi très longtemps rechargé avec un trébuchet à fléau (le même que celui des catalogues Manu des années 1900), récupéré dans une poubelle lors du déménagement du collège. Assez récemment, j'ai nettement amélioré sa stabilité en posant des aimants de disque-dur sur le coffret, un sous chaque plateau : ils n'attirent pas les plateaux en laiton, et les courants de Foucault fonctionnent quel que soit le métal. Avec ces aimants le trébuchet se stabilise nettement plus vite que la balance LEE (qui est une plaie de ce point de vue).
Sinon, des petites balances électroniques "apacher" ramenées d'Allemagne valent largement certains modèles équivalents commandés aux USA ... dont elles ne diffèrent que par les indications sérigraphiées et éventuellement la couleur de certains bouts de plastique. Pourquoi ramenées d'Allemagne ? Parce-que le dépositaire allemand ne veut pas s'emmerder à expédier à l'étranger.
Petite collection de documents anciens et récents : http://p.lacour.malvaux.free.fr/Arquebuses.htm
Re: Testeur de dureté LEE
Comme de toutes les façons on passe par la case lingot, la première méthode me plait bien. Si je me souviens bien des cours de métrologie, au chapitre RDM, le principe chute d'un poids était utilisé dans des machines de contrôle très "comme il faut", résilience peut être.
Les balances électronique que tu ramène d'outre Rhin ne viennent pas des US, mais sans doute de l'empire du Milieu, éventuellement "dessinées" en Allemagne, le cahiers des charges peut être. En France, certains sont plus égaux que d'autres, en Europe, remplacez égaux par ..... malins.
Bon, refermons la digression.
Les balances électronique que tu ramène d'outre Rhin ne viennent pas des US, mais sans doute de l'empire du Milieu, éventuellement "dessinées" en Allemagne, le cahiers des charges peut être. En France, certains sont plus égaux que d'autres, en Europe, remplacez égaux par ..... malins.
Bon, refermons la digression.
Gé Tibla- Membre expert
- Nombre de messages : 659
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute Provence
Date d'inscription : 12/11/2017
Re: Testeur de dureté LEE
Et les testeurs de dureté dans ce genre, quelqu'un a testé ?
romeo33- Membre expert
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Date d'inscription : 22/05/2018
Re: Testeur de dureté LEE
Bonjour, ce modèle ne convient par pour le plomb qui est trop dur par rapport à sa capacité de mesure (il est prévu pour des caoutchouc, mousse, cuir.....)romeo33 a écrit:Et les testeurs de dureté dans ce genre, quelqu'un a testé ?
dgil01- Pilier du forum
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Age : 51
Date d'inscription : 29/04/2021
Re: Testeur de dureté LEE
dgil01 a écrit:Bonjour, ce modèle ne convient par pour le plomb qui est trop dur par rapport à sa capacité de mesure (il est prévu pour des caoutchouc, mousse, cuir.....)romeo33 a écrit:Et les testeurs de dureté dans ce genre, quelqu'un a testé ?
Je dis dans ce genre mais il y en a pour des matières un peu plus dur il correspondent à peu près au plomb
romeo33- Membre expert
- Nombre de messages : 572
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Date d'inscription : 22/05/2018
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