Nos braves de dix huit cent septante.
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LaPatience
Baccardi
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STMIHIEL1918
ANDY34
DEUXCROIX
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DEUXCROIX- Membre confirmé
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Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Hello. ..
Retraite à 50, 55, 60 ou plus...
Ces pauvres gars avaient quels âges pour être encore en
activité....en 1870...La classe 20 (1820) ????
Retraite à 50, 55, 60 ou plus...
Ces pauvres gars avaient quels âges pour être encore en
activité....en 1870...La classe 20 (1820) ????
ANDY34- Pilier du forum
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Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Ils auraient même pu être tambours à Waterloo !
(Allusion à dix huit cent septante )
(Allusion à dix huit cent septante )
STMIHIEL1918- Pilier du forum
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EKAERGOS- Pilier du forum
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Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Bonjour,
Eh oui comme le signal EKAERGOS cette photo a été prise à mon avis juste avant la Mob de 14. Ils s'agit bien de ceux ayant été mobilisés en 1870 pour la défense des frontières. Il existe un superbe tableau de A.Bachelin "Infanterie fédérale en route pour le frontière" reproduit dans le livre Cent ans d'Armée Suisse de Hans Rudolf Kurz Edition Troislangues 1980 et qu'il n'est pas possible de reproduire à cause des droits.
Eh oui comme le signal EKAERGOS cette photo a été prise à mon avis juste avant la Mob de 14. Ils s'agit bien de ceux ayant été mobilisés en 1870 pour la défense des frontières. Il existe un superbe tableau de A.Bachelin "Infanterie fédérale en route pour le frontière" reproduit dans le livre Cent ans d'Armée Suisse de Hans Rudolf Kurz Edition Troislangues 1980 et qu'il n'est pas possible de reproduire à cause des droits.
DEUXCROIX- Membre confirmé
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Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Hier, commémoration de l'entrée des Bourbakis en Suisse, aux Verrières, en présence du Président de la Confédération !
https://www.arcinfo.ch/neuchatel-canton/val-de-travers-region/les-verrieres/les-verrieres-ignazio-cassis-a-traverse-la-frontiere-franco-suisse-pour-celebrer-les-bourbakis-1150753
https://www.arcinfo.ch/neuchatel-canton/val-de-travers-region/les-verrieres/les-verrieres-ignazio-cassis-a-traverse-la-frontiere-franco-suisse-pour-celebrer-les-bourbakis-1150753
"Laudamus veteres sed nostris utimur annis "
Baccardi- Administrateur
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Quelqu'un a dis bourbakis ?
Je pose la question car ma famille est originaire de ce village en Algerie lorsqu'elle etait encore un département Français , il y a un lien ou c'est purement fortuit ?
LaPatience- Membre
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Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Pas la moindre idée !
Mais je dirais, au hasard, que le malheureux Bourbaki s'était peut-être distingué dans sa jeunesse en Algérie, près d'un village nommé "Bourbaki", ce qui lui avait valu un titre de noblesse ainsi dénommé. C'était la mode, à l'époque.
Comme on avait aussi un "comte de Palikao", dont le nom fait penser à un combat extrême-oriental...
Le maréchal Le Boeuf aurait-il brillé dans quelque gardiennage de troupeau ?
Ainsi donc, Bourbaki est en Suisse ?
Il est donc inutile que les belfortains continuent à regarder s'ils le voient déboucher d'Héricourt ; on se disait bien, que depuis le temps il ne viendrait plus...
Mais je dirais, au hasard, que le malheureux Bourbaki s'était peut-être distingué dans sa jeunesse en Algérie, près d'un village nommé "Bourbaki", ce qui lui avait valu un titre de noblesse ainsi dénommé. C'était la mode, à l'époque.
Comme on avait aussi un "comte de Palikao", dont le nom fait penser à un combat extrême-oriental...
Le maréchal Le Boeuf aurait-il brillé dans quelque gardiennage de troupeau ?
Ainsi donc, Bourbaki est en Suisse ?
Il est donc inutile que les belfortains continuent à regarder s'ils le voient déboucher d'Héricourt ; on se disait bien, que depuis le temps il ne viendrait plus...
Petite collection de documents anciens et récents : http://p.lacour.malvaux.free.fr/Arquebuses.htm
Ah tiens !
Ca me rappelle une anecdote , lorsque j'étais encore ado , j'avais obtenu la particule "Florent de Montalembert" , et impossible de m'en détacher , en effet , lorsque j'étais au lycée , j'allais tous les mercredis faire du bénévolat chez les sœurs ( les petites sœur des pauvres , une maison de retraite ) et comme mon lycée s'appelais Montalembert ... ça m'a collé a la peau durant tout le temps de mon bénévolat , au bout de quelques mois tu arrête de rectifier ...
LaPatience- Membre
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Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Non, Bourbaki était bien son nom et celui de son père...
Charles Denis Sauter Bourbaki est né à Pau le 22 avril 1816 et mort à Bayonne le 22 septembre 1897, et était le fils du colonel franco-grec Constantin Denis Bourbaki (1787–1827), qui avait combattu dans la Grande Armée et trouvé la mort pendant la guerre d'indépendance grecque.
C'est l'inverse : il a participé à la conquête de l'Algérie de 1838 à 1854, passant de lieutenant à général, et un village de colons créé en 1894 a pris son nom...
Charles Denis Sauter Bourbaki est né à Pau le 22 avril 1816 et mort à Bayonne le 22 septembre 1897, et était le fils du colonel franco-grec Constantin Denis Bourbaki (1787–1827), qui avait combattu dans la Grande Armée et trouvé la mort pendant la guerre d'indépendance grecque.
C'est l'inverse : il a participé à la conquête de l'Algérie de 1838 à 1854, passant de lieutenant à général, et un village de colons créé en 1894 a pris son nom...
Fra78- Pilier du forum
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Re: Nos braves de dix huit cent septante.
En Suisse, dans l’armée, est née de cet événement une « expression », si on peut dire… Quand une troupe se présente mal habillée, sale, fatiguée, on dit « tiens les bourbakis » référence évidemment à l’allure que devaient avoir ces pauvres diables quand ils sont entrés en Suisse…
N’y voir aucune moquerie à l’égard des soldats français, peu de jeunes connaissent cet épisode tragique.
N’y voir aucune moquerie à l’égard des soldats français, peu de jeunes connaissent cet épisode tragique.
"Laudamus veteres sed nostris utimur annis "
Baccardi- Administrateur
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Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Dans mes activités de réserviste (rallyes, concours de tir, conférences etc.) l’expression armée de Bourbaki était liée à ce qu’a dit Baccardi. Or, les réservistes que nous étions (une armée mexicaine, avec bien plus d’officiers que de sous-officiers et quelques rares caporaux-chefs), sans aller jusqu’à dire que nous étions déguenillés, nous portions des treillis éclaircis par d’innombrables lavages…
L’expression désignait aussi une agglomérat hétéroclite de toutes les origines possibles : tringlots, biffins purs et durs, paras, gonfleurs d’hélice, cavalos, alpins, Génie, Matériel, trans… ce que nous étions en réalité.
Merci de nous avoir fait connaître cet épisode de la guerre de ´70 ; je ne suis probablement pas le seul à l’avoir appris. Et bien après coup, merci à la Confédération Helvétique d’avoir accueilli cette troupe disparate (je n’ai pas dit famélique et nulle). Merci aussi à Fra78 de son éclairage sur Bourbaki père et fils et l’appellation de ce village algérien qui n’est pas sans rappeler l’origine de la bourgade US Winchester.
L’expression désignait aussi une agglomérat hétéroclite de toutes les origines possibles : tringlots, biffins purs et durs, paras, gonfleurs d’hélice, cavalos, alpins, Génie, Matériel, trans… ce que nous étions en réalité.
Merci de nous avoir fait connaître cet épisode de la guerre de ´70 ; je ne suis probablement pas le seul à l’avoir appris. Et bien après coup, merci à la Confédération Helvétique d’avoir accueilli cette troupe disparate (je n’ai pas dit famélique et nulle). Merci aussi à Fra78 de son éclairage sur Bourbaki père et fils et l’appellation de ce village algérien qui n’est pas sans rappeler l’origine de la bourgade US Winchester.
obaneck- Pilier du forum
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Date d'inscription : 20/05/2021
Re: Nos braves de dix huit cent septante.
C'est vrai que dans les réserves on avait une tenue assez hétéroclite ! Des treillis lamentables dont se débarrassait le régiment qui nous soutenait (les treillis neufs qu'on avait "oubliés" au fond du sac à la démobilisation, c'était pour les prises d'armes). Et des bérets parfois multicolores (sauf en raid-commando, où la couleur du béret désignait le parti), ou de dimensions variées (certains officiers d'infanterie n'hésitant pas à se coiffer d'une tarte de chasseur alpin, le grade autorisant bien des choses), avec une diversité incroyable d'insignes (y compris ceux d'unités d'AFN dissoutes).
Avec des cheveux d'une longueur à faire pâlir de jalousie un aspirant du service de santé...
Mais on leur foutait tout de même souvent la pâtée, aux "active" ! Qui n'étaient pas très forts en embuscades (ils avaient chroniquement un GV mal drillé, qui armait bruyamment sa pétoire quand on approchait).
Pour revenir à Bourbaki, je n'avais fait qu'une supposition ; puis j'ai regardé sur Wikipédia. Mais je n'ai pas corrigé, parce-que si on n'écrit jamais de conneries, c'est pas marrant ; l'essentiel est de bien baliser les suppositions hasardeuses, car une connerie bien répétée deviendrait vite une vérité.
Alors la pauvre armée Bourbaki, risée de toutes les armées françaises et helvétiques (ça je viens de l'apprendre), faut tout de même voir ce qu'elle a enduré !
Le 15 janvier ils n'ont presque rien bouffé depuis un moment, mais à Belfort il y a des approvisionnements à profusion (pour 20 000 hommes ... et ils sont 140 000). Equipés à la hâte, ils n'ont pas de vêtement bien chauds et il fait - 20° (pas seulement la nuit, le jour aussi).
Ils attaquent sur le sud et le centre de la Trouée de Belfort, au sud l'ennemi plie, mais au centre il résiste ; ils n'essaient pas assez au nord et c'est bien dommage, les lignes prussiennes y étaient beaucoup moins fortes !
Mais aucune liaison n'a pu être établie avec Belfort, où l'on entend bien leur canon, et qui répond en tirant à blanc pour les encourager (de la poudre y-en a plein, mais des obus tout juste assez, et ceux qu'on fabrique en ville avec des éclats d'obus prussiens, ne sont pas très bons).
Le plus surprenant est qu'au bout de trois jours de combat par - 20°, ils ont encore la force de décrocher sans partir en débandade. Mais d'Héricourt à Besançon il reste un long chemin, toujours sans approvisionnements. Ceux-ci ne manquent pas à l'ennemi, qui arrive à les contourner et les rabat sur le Jura ; et Pontarlier c'est encore loin ; et toujours très froid, alors cette année là pensez donc.
Essayez un peu de tirer au Chassepot, ou toute arme de cette époque, par -20°, sans rien bouffer, pendant 3 jours !
Vous m'en direz des nouvelles...
Avec des cheveux d'une longueur à faire pâlir de jalousie un aspirant du service de santé...
Mais on leur foutait tout de même souvent la pâtée, aux "active" ! Qui n'étaient pas très forts en embuscades (ils avaient chroniquement un GV mal drillé, qui armait bruyamment sa pétoire quand on approchait).
Pour revenir à Bourbaki, je n'avais fait qu'une supposition ; puis j'ai regardé sur Wikipédia. Mais je n'ai pas corrigé, parce-que si on n'écrit jamais de conneries, c'est pas marrant ; l'essentiel est de bien baliser les suppositions hasardeuses, car une connerie bien répétée deviendrait vite une vérité.
Alors la pauvre armée Bourbaki, risée de toutes les armées françaises et helvétiques (ça je viens de l'apprendre), faut tout de même voir ce qu'elle a enduré !
Le 15 janvier ils n'ont presque rien bouffé depuis un moment, mais à Belfort il y a des approvisionnements à profusion (pour 20 000 hommes ... et ils sont 140 000). Equipés à la hâte, ils n'ont pas de vêtement bien chauds et il fait - 20° (pas seulement la nuit, le jour aussi).
Ils attaquent sur le sud et le centre de la Trouée de Belfort, au sud l'ennemi plie, mais au centre il résiste ; ils n'essaient pas assez au nord et c'est bien dommage, les lignes prussiennes y étaient beaucoup moins fortes !
Mais aucune liaison n'a pu être établie avec Belfort, où l'on entend bien leur canon, et qui répond en tirant à blanc pour les encourager (de la poudre y-en a plein, mais des obus tout juste assez, et ceux qu'on fabrique en ville avec des éclats d'obus prussiens, ne sont pas très bons).
Le plus surprenant est qu'au bout de trois jours de combat par - 20°, ils ont encore la force de décrocher sans partir en débandade. Mais d'Héricourt à Besançon il reste un long chemin, toujours sans approvisionnements. Ceux-ci ne manquent pas à l'ennemi, qui arrive à les contourner et les rabat sur le Jura ; et Pontarlier c'est encore loin ; et toujours très froid, alors cette année là pensez donc.
Essayez un peu de tirer au Chassepot, ou toute arme de cette époque, par -20°, sans rien bouffer, pendant 3 jours !
Vous m'en direz des nouvelles...
Petite collection de documents anciens et récents : http://p.lacour.malvaux.free.fr/Arquebuses.htm
Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Ouais , en effet ... une chance qu'a notre époque nous avons encore une jeunesse prête à réitérer la gloire de leurs ancêtres...
-20° et 3 jours sans bouffer tu disais ? A cet age là , un smoothie banane latte Starbucks et ça te refais le chemin des dames !
-20° et 3 jours sans bouffer tu disais ? A cet age là , un smoothie banane latte Starbucks et ça te refais le chemin des dames !
LaPatience- Membre
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Date d'inscription : 20/09/2023
Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Sa tombe est au cimetière Saint-Etienne à Bayonne...
Pour en savoir plus, un document édité par le Musée Neuchâtelois pour le centenaire de l'entrée de l'armée de Bourbaki en Suisse :
http://www.montmollin.ch/pub/Bourbakis-100.pdf
Pour en savoir plus, un document édité par le Musée Neuchâtelois pour le centenaire de l'entrée de l'armée de Bourbaki en Suisse :
http://www.montmollin.ch/pub/Bourbakis-100.pdf
Fra78- Pilier du forum
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Date d'inscription : 25/08/2009
Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Les origines étrangères de Bourbaki m’évoquent celles d’un chef de corps oublié, le Lt-Col Do-Huu-Chan dont il reste heureusement une trace par cette plaque murale.
Les armées françaises s’honorent d’avoir su intégrer des non-nationaux dans ses rangs, et ces exemples ne sont pas isolés.
Le fils de cet officier était un ami de mon père. Il est décédé accidentellement en montagne dans les années ´40.
Fin du HS
Les armées françaises s’honorent d’avoir su intégrer des non-nationaux dans ses rangs, et ces exemples ne sont pas isolés.
Le fils de cet officier était un ami de mon père. Il est décédé accidentellement en montagne dans les années ´40.
Fin du HS
obaneck- Pilier du forum
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Age : 70
Localisation : Près de la Grande Bleue
Date d'inscription : 20/05/2021
Re: Nos braves de dix huit cent septante.
Un détail : le cimetière Saint-Etienne à Bayonne est un petit cimetière ancien au pied de la citadelle (rive droite).
Il est situé avenue du 14 avril 1814.
Cette date correspond à la bataille de Bayonne, entre Anglais et Français, plus important combat du siège de Bayonne, avec plus de 1000 tués de chaque côté, dont le Général anglais Hay et le général Hope est capturé...
Il y a deux cimetières militaires anglais à Bayonne, celui des Coldstream Guards et celui des des Third Foot Guards ...
La place se rendra le 27 avril, la nouvelle de l'abdication de Napoléon le 06 avril et de la signature du traité de Fontainebleau le 11 avril étant enfin arrivée officiellement !
Pas d'Internet à l'époque !
La Reine Victoria, en vacances à Biarritz, a rendu visite aux cimetières le 20 mars 1889. Une autre plaque indique la venue du roi Édouard VII le 20 mars 1909.
Il est situé avenue du 14 avril 1814.
Cette date correspond à la bataille de Bayonne, entre Anglais et Français, plus important combat du siège de Bayonne, avec plus de 1000 tués de chaque côté, dont le Général anglais Hay et le général Hope est capturé...
Il y a deux cimetières militaires anglais à Bayonne, celui des Coldstream Guards et celui des des Third Foot Guards ...
La place se rendra le 27 avril, la nouvelle de l'abdication de Napoléon le 06 avril et de la signature du traité de Fontainebleau le 11 avril étant enfin arrivée officiellement !
Pas d'Internet à l'époque !
La Reine Victoria, en vacances à Biarritz, a rendu visite aux cimetières le 20 mars 1889. Une autre plaque indique la venue du roi Édouard VII le 20 mars 1909.
Fra78- Pilier du forum
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Age : 77
Localisation : Versailles / Biarritz
Date d'inscription : 25/08/2009
Re: Nos braves de dix huit cent septante.
L'armée de l'Est dépose ses armes à son entrée en Suisse
Rakamlerouge- Membre confirmé
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