Quelqu’un habile en TIG

Avez vous dans vos connaissances,  contacts, quelqu'un de l’art qui pourrait  recharger  (par tig si je ne m’abuse)

Exemple 
Passer d’une détente de 1892 (facile à trouver)  à une de  1889/90 civil - le bourrelet repose doigt remonte jusqu'en haut

Il me semble que quelqu'un faisait de la micro soudure, il faudrait retrouver le post ou si quelqu'un se rappelle de qui il s'agissait   Ou peut-être Jean Santos?

Oui ,un lien?
J’ai cherché  ce nom mais  j’ai  rien trouvé,  
de plus n’ayant pas assez de message  je ne pourrais pas contacter  en mp

Son pseudo-TCAR est << jean santos >>, dernière visite sur le forum il y a 2 jours.
Attends encore un peu, et tu pourras lui expédier un MP.

L'intérêt avec Jean, c'est qu'il maîtrise à la fois la gravure, la soudure et les traitements thermiques ; donc il saura si c'est jouable, et jouable sans altérer la trempe des parties voisines où c'est important. Exécuter le boulot ... alors là je ne m'avancerais pas, mais un avis autorisé c'est déjà très bien !

Je me demande tout de même si c'est la seule différence, et si telle quelle la détente du Mle 92 est parfaitement fonctionnelle dans un 90 civil ?
Alors à l'époque un armurier l'aurait peut-être montée sans la modifier.
Ou brasé des arcs rapportés, si la trempe le supporte.
Ou, de même façon qu'on réparait réglementairement divers armes (fusil Gras, revolvers), en taillant dans la détente une rainure transversale à queue d'aronde, pour y encastrer une pièce rapportée ensuite limée à la forme requise. Il faut voir les travaux de ce genre décrits dans les Instructions de 1884 et 1905, c'est ahurissant !

Pour l’exemple en question 

A l'époque ils se sont inspiré  des dessins techniques du 2me modèle 87/89 ,    le bourrelet montait  jusqu’en haut . . . On fait pareil 
il ont suivi ensuite pour le 92- détente affinité 

Si on regarde bien le dessin du 87/89 On aurait  pu avoir 
la crête du chien ressemblant déjà au 92  ils ont préféré une crête plus galbée 
Le point de mire du 92 fixe avec le grain d’orge sur rivet  il on pris un point derivable 
La poignée  courte  - il ont  gardé celle du 87 1er dessin 


Dommage que ce dernier modèle  "MAS” ne soit jamais sortie , cela aurait  été le revolver le plus élégant  qu ’ ils aurait fait
A moins que il y en est eu un. . . Pour  la gloire ?une photo?

  Pour qui a déjà testé  en stand : le chargement/déchargement  par la portière Abadie.  . Quelle classe!

Je me demande tout de même si c'est la seule différence, et si telle quelle la détente du Mle 92 est parfaitement fonctionnelle dans un 90 civil ?
Alors à l'époque un armurier l'aurait peut-être montée sans la modifier.
Ou brasé des arcs rapportés, si la trempe le supporte.
Ou, de même façon qu'on réparait réglementairement divers armes (fusil Gras, revolvers), en taillant dans la détente une rainure transversale à queue d'aronde, pour y encastrer une pièce rapportée ensuite limée à la forme requise. Il faut voir les travaux de ce genre décrits dans les Instructions de 1884 et 1905, c'est ahurissant !

Pour avoir essayé,  les différences sont mineurs ,
Ajustage du diamètre d’axe , du cran de verrouillage 
Même le doigt élévateur  fonctionne  sur le barillet 

Le chien,  lui, est complètement  différent, chaînette pour le ressort et surtout moins haut

Alors pour les autres solutions,  j’e n’etais pas ajusteur /equipeur à St Étienne en 1895 , je bricole c’est pour cela que j’en appelle aux personnes de l’art

La détente était un exemple d’application 

Il y a aussi la retenue  de barillet  sur le 92 civil, histoire  d’avoir une forme plus conforme 
il y avait eu u e conversation la dessus , me rappelle pas que cela avait  déboucher sur quelquechose

Si je trouve  l’artisan  adéquat,  qui n'aura pas pour autant  la connaissance ”armureriere”

Quelle type/qualité  d’acier puis-je lui conseiller pour la baguette ?

Pas besoin de connaissances spéciales en armurerie, mais des connaissance en soudure de petites pièces en vrai acier, et je ne sais pas si c'est très courant.
Il ne demandera alors pas "quelle baguette utiliser", mais "sur quel type de métal il doit souder", et choisira la baguette en conséquence.

Et là c'est un peu embêtant, parce-que les informations disponibles sont réduites à "acier doux" ou "mi-dur", ce qui est bien vague (cf. Instruction de 1905).
Au mieux on trouve une catégorie de 1 à 3 (voire 4 à 5 pour les ressorts et les lames) qui ne définit que des résistances à la traction dans les états recuits ou trempé, sans aucune information de composition ; "Quentin1873" a récemment publié un tableau datant de 14-18.

Il faudra donc chercher dans les acier XC ou C, celui qui correspond (de toutes façons, à part les impuretés indésirables mais inévitables il ne devrait rien y avoir d'autre que fer, manganèse et carbone). Pour la carcasse du Mle 92 et la plaque de recouvrement, 3e catégorie, ça aurait des chances d'être vers les XC 38 à XC 42 (c'est pas très dur, il est prévu qu'une carcasse faussée puisse être redressée).