Les Manufactures françaises
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Les Manufactures françaises
MAT
Yves Cayre est remarquablement peu disert sur la fin de la production du Chassepot et sur tout ce qui concerne le Gras. Il faut attendre l'année 1885 pour qu'il nous donne à nouveau quelques détails :
En 1885 :
Commande de 5 000 fusils modèle 1885
Janvier 1886 : 10 000 fusils à transformer (de 1874 en 1885 ?)
Mars 1886 : 1 000 carabines de Gendarmerie livrées (du modèle 1874, évidemment)
Production du 1er janvier au 1er avril 1887 :
11 000 fusils modèle 1885 (7000 transformés et 4000 neufs ?)
7 500 fusils Lebel modèle 1886
Production d’avril à fin décembre 1887 :
41 500 armes sans précision de modèle (30 000 fusils Lebel modèle 1886 et 11 500 fusils 1885 ? : 213 817 - 100 000 - 75 000 -7 500 = 31 317 ou 107 318 + 3780 - 75 000 - 7 500 = 28 598)
Commande pour 1888 : 75 000 fusils modèle 1886. Commande terminée dans les délais.
Le 15 décembre 1888, 107 318 fusils modèle 1886 ont été expédiés.
Décembre 1888 : 1 890 fusils modèle 1886 produits par semaine
Février 1889 : 1 980 fusils modèle 1886 produits par semaine
(probablement 100 000 fusils produits en 1889)
1890 : 120 000 à 135 000 fusils produits cette année là (plus probablement 135 000, le calcul 850 000 – 426 000 – 286 850 donnant 137 150)
Puis... plus rien... nous nous retrouvons donc pendant la première guerre mondiale.
La guerre 14-18 :
Pas grand chose là non plus à se mettre sous la dent.
Au début de la guerre, la production des boîtes de culasse est de 300 par jour et passe à 600 par jour en juin 1915 et 750 armes sont réparées par jour.
63 000 montures de Gras sont récupérées et sur ce total, 50 000 sont utilisées pour remplacer des crosses cassées de Lebel.
Août 1916 : On lance l’usinage des pièces du fusil AG tirant des balles de 7mm. Entre 1 500 et 1 600 fabriqués (Il s’agit de toute évidence du fusil Meunier A6 dont en fait 1 013 exemplaires ont été fabriqués).
Réparation des fusils Remington par décision de Septembre 1916.
Yves Cayre nous précise que par ailleurs, en 1916, les Etablissements Delaunay-Belleville ont fourni 120 000 canon, la MAP 300 000 canons et les industriels parisiens (MPA ?) 100 000 canons de 07-15 (Ce ne sont donc pas uniquement les fournitures faites à la MAT).
L'entre deux guerres :
Réparation des mitrailleuses Hotchkiss, fabrication de canons neufs pour Lebel 1886, boîtes de culasse pour mousquetons. Fabrication de pièces pour les mitrailleuses Lewis.
A partir de 1924, 60 collections de pièces par jour (canon, piston, culasse mobile) sont fournies à la MAC pour son FM.
Transformation de Lebel en M27.
A partir de 1931, de 30 à 60 collections de pièces par jour (canon, piston, culasse mobile, bloc arrière) fournies à la MAC pour la mitrailleuse modèle 1931.
Plus tard, fourniture de canons pour les fusils 07-15 M34 et MAS 36 montés à la MAS. Canons et blocs arrières pour la MAC 34 d’aviation.
Fabrication de pièces pour le canon HS 404 etc…
(le R35 n’est pas cité et pourtant…)
Production du mois d’Août 1939 :
Canons de fusils modèle 36 : 650
Fusils R35 : 1 500
Mitrailleuse Hotchkiss réparées : 50
De septembre 1939 à Mai 1940 (productions mensuelles) :
sept 39 nov 39 Janv 40 mars 40 mai 40
FM 24-29
Culasses 3000 3400 4150 3500 5850
Pistons 1300 2500 4650 3900 4600
Canons 2900 2839 5786 6100 4051
Mit. 31
culasses 800 1000 900 1200 1700
Pistons 920 700 1700 2000 2800
Canons 1400 1109 1104 1500 2500
Mit. 34
Canon 1700 3191 4535 6000 11 150
Bloc arr. 1250 1500 1300 3000 5000
Canons MAS36 3100 5600 10 500 10 500 12 000
1886 R 35 4400 4000 3000
Tubes 25 CA 144 150 300 700
Vous noterez que la production du R 35 s'est terminée en Janvier ou Février 1940 (il est donc possible qu'il aient été produits avec des canons de 1939).
Yves Cayre est remarquablement peu disert sur la fin de la production du Chassepot et sur tout ce qui concerne le Gras. Il faut attendre l'année 1885 pour qu'il nous donne à nouveau quelques détails :
En 1885 :
Commande de 5 000 fusils modèle 1885
Janvier 1886 : 10 000 fusils à transformer (de 1874 en 1885 ?)
Mars 1886 : 1 000 carabines de Gendarmerie livrées (du modèle 1874, évidemment)
Production du 1er janvier au 1er avril 1887 :
11 000 fusils modèle 1885 (7000 transformés et 4000 neufs ?)
7 500 fusils Lebel modèle 1886
Production d’avril à fin décembre 1887 :
41 500 armes sans précision de modèle (30 000 fusils Lebel modèle 1886 et 11 500 fusils 1885 ? : 213 817 - 100 000 - 75 000 -7 500 = 31 317 ou 107 318 + 3780 - 75 000 - 7 500 = 28 598)
Commande pour 1888 : 75 000 fusils modèle 1886. Commande terminée dans les délais.
Le 15 décembre 1888, 107 318 fusils modèle 1886 ont été expédiés.
Décembre 1888 : 1 890 fusils modèle 1886 produits par semaine
Février 1889 : 1 980 fusils modèle 1886 produits par semaine
(probablement 100 000 fusils produits en 1889)
1890 : 120 000 à 135 000 fusils produits cette année là (plus probablement 135 000, le calcul 850 000 – 426 000 – 286 850 donnant 137 150)
Puis... plus rien... nous nous retrouvons donc pendant la première guerre mondiale.
La guerre 14-18 :
Pas grand chose là non plus à se mettre sous la dent.
Au début de la guerre, la production des boîtes de culasse est de 300 par jour et passe à 600 par jour en juin 1915 et 750 armes sont réparées par jour.
63 000 montures de Gras sont récupérées et sur ce total, 50 000 sont utilisées pour remplacer des crosses cassées de Lebel.
Août 1916 : On lance l’usinage des pièces du fusil AG tirant des balles de 7mm. Entre 1 500 et 1 600 fabriqués (Il s’agit de toute évidence du fusil Meunier A6 dont en fait 1 013 exemplaires ont été fabriqués).
Réparation des fusils Remington par décision de Septembre 1916.
Yves Cayre nous précise que par ailleurs, en 1916, les Etablissements Delaunay-Belleville ont fourni 120 000 canon, la MAP 300 000 canons et les industriels parisiens (MPA ?) 100 000 canons de 07-15 (Ce ne sont donc pas uniquement les fournitures faites à la MAT).
L'entre deux guerres :
Réparation des mitrailleuses Hotchkiss, fabrication de canons neufs pour Lebel 1886, boîtes de culasse pour mousquetons. Fabrication de pièces pour les mitrailleuses Lewis.
A partir de 1924, 60 collections de pièces par jour (canon, piston, culasse mobile) sont fournies à la MAC pour son FM.
Transformation de Lebel en M27.
A partir de 1931, de 30 à 60 collections de pièces par jour (canon, piston, culasse mobile, bloc arrière) fournies à la MAC pour la mitrailleuse modèle 1931.
Plus tard, fourniture de canons pour les fusils 07-15 M34 et MAS 36 montés à la MAS. Canons et blocs arrières pour la MAC 34 d’aviation.
Fabrication de pièces pour le canon HS 404 etc…
(le R35 n’est pas cité et pourtant…)
Production du mois d’Août 1939 :
Canons de fusils modèle 36 : 650
Fusils R35 : 1 500
Mitrailleuse Hotchkiss réparées : 50
De septembre 1939 à Mai 1940 (productions mensuelles) :
sept 39 nov 39 Janv 40 mars 40 mai 40
FM 24-29
Culasses 3000 3400 4150 3500 5850
Pistons 1300 2500 4650 3900 4600
Canons 2900 2839 5786 6100 4051
Mit. 31
culasses 800 1000 900 1200 1700
Pistons 920 700 1700 2000 2800
Canons 1400 1109 1104 1500 2500
Mit. 34
Canon 1700 3191 4535 6000 11 150
Bloc arr. 1250 1500 1300 3000 5000
Canons MAS36 3100 5600 10 500 10 500 12 000
1886 R 35 4400 4000 3000
Tubes 25 CA 144 150 300 700
Vous noterez que la production du R 35 s'est terminée en Janvier ou Février 1940 (il est donc possible qu'il aient été produits avec des canons de 1939).
HELIX- Administrateur
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Re: Les Manufactures françaises
DIRECTEURS DE LA MAT
J'ai pu consulter le livre d'Yves CAYRE sur la MAT à la BNF. Cela m'a permis de compléter ( et de corriger) la liste des Directeurs (au sens large) de la MAT (là aussi au sens large). Comme ça, vous allez pouvoir coller un nom sur certains poinçons de vos armes et/ou les dater...
Il y a certes des imprécisions, mais j'ai fait au mieux.
Martial FENIS DE LA COMBE crée la « MAT » en 1690 et en sera directeur jusqu’en 1721.
Jean-Martial FENIS DE LA COMBE : 1721-1729
Abbé Joseph FENIS DE LA COMBE : Directeur à partir de 1729
Les FENIS DE SAINT VICTOUR qui prennent la suite sont dits « propriétaires » sans trace d’un Directeur avant Martial PAUPHILE en 1777.
Inspecteurs Directeurs de la MAT
1er janvier 1784 - 1785 : Lieutenant de Vaisseau DULAC (poinçon D sous couronne?)
1785 : FOURGEROUX DU HAMEL DE SERVAL
1786 – 1790 : Officier d’artillerie de marine Nicolas François Marie DUBOIS D’ESCORDEL
1792 : DE CHAPUIS
Septembre 1792 – Mars 1793 Officier d’artillerie de marine DE LACIPIERE
Mars 1793 : Capitaine LORMANUC (ne vint jamais)
Béral fait office d’inspecteur, puis en décembre 1793, Compas, jusqu’en l’an V (1796-97).
1804 : Capitaine d’artillerie de marine Clouet (depuis quand?)
Juillet 1804 – août 1806 : Chef d’escadron SIRODOT
Aout 1806 – juillet 1808 : Chef d’Escadron Albert LAURENT
Juillet 1808 – Août 1811 : Chef d’Escadron Alexis BECQUET, poinçon sur le canon : B sous couronne
Octobre-novembre 1811 : Commandant d’artillerie LAIR
1812-1815 : Capitaine Charles Julien BRIANCHON
(néanmoins selon l'almanach impérial, jusqu'en 1813 au moins, c'est toujours BECQUET)
1815 – Janvier 1818 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Jean-Baptiste AYMARD
Janvier-septembre 1818 : Commandant ALPHAND
Septembre 1818 – mars 1820 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Charles LUCIO
Mars 1820- 22 novembre 1830 : Lieutenant-Colonel Jean-François LUNEL, poinçon sur le canon : L dans un cercle
Novembre 1830- Octobre 1836 : Chef d’Escadron Frédéric Jacques CULMANN
Janvier 1837 – Mars 1838 : Lieutenant-Colonel Charles Emmanuel DE MAINVILLE
20 mars 1838 – 11 avril 1841 : Colonel Jean-Louis CAUSSADE
Avril 1841 – Septembre 1842 : Chef d'escadron Joseph Antoine COLLINET
1842-1849 : Lieutenant-Colonel Charles Elie ARCELIN
Juillet-décembre 1849 : Chef d’Escadron Jacques Honoré FERAUDIE ou SERAUDIE
21 décembre 1849-1853 : Lieutenant-Colonel François Antoine Aimé GAUDIN
14 Aout 1853- 11 avril 1855 : Lieutenant Colonel Gustave Adolphe MAILLIAR, poinçon sur le canon : M dans un cercle (ou un double cercle?)
11 Avril 1855- 14 septembre 1855 : Alex JEUFFROY
15 Septembre 1855-Août 1859 : Chef d’Escadron Ambroise LE CARUYER DE LANSECQ, poinçon sur le canon : CL dans deux cercles accolés
Août 1859 – 25 juillet 1867 (1868?) : Chef d’escadron Edouard SERRAND, poinçon sur le canon : ES dans deux cercles accolés.
2 Juillet 1867 (28 octobre 1868?)- février 1881 (1882?) : Chef d’escadron Antoine LESTOURGIE, poinçon sur le canon : L dans un cercle
26 janvier 1881 – 19 décembre 1883 : Pierre DUBAN, poinçon sur le canon : D dans un cercle
19 décembre 1883 – 28 mars 1889 : Commandant Jules BOURDON, poinçon sur le canon : B dans un double cercle
29 mars 1889 – 20 avril 1892 : Colonel Frédéric Léon Paul Jean-Baptiste LUSSON, poinçon sur le canon : L dans un double cercle
20 avril 1892 – 8 mai 1896 : Jean DELSOL, poinçon sur le canon : D dans un cercle
8 mai 1896 - 1897 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Michel Arthur ABAULT (ou ABAUT)
1897 - 1899 : Michel AUBRON
15 décembre 1899 – 24 janvier 1906 : Colonel d’artillerie Victor Alexandre BONAMY, poinçon sur le canon : B dans un cercle
25 janvier 1906 – 23 décembre 1909 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Maurice Paul Amédée HAUVETTE (ou NAUVETTE)
24 décembre 1909 – 19 mai 1911 : Lieutenant-Colonel d’artillerie David BLOCH
20 mai 1911 – 19 mars 1914 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Gustave PAYEUR
20 mars 1914 – 6 juin 1917 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Louis Ernest Charles JOURDAN, poinçon sur le canon : J dans un cercle
6 juin 1917 – 19 mars ou avril 1923 : Colonel d’artillerie François Léon BARES, poinçon sur le canon : B dans un cercle (également des poinçons J, R et L assez peu explicables à cette époque).
19 avril 1923 – 23 novembre 1929 : Général de Brigade Louis CLAUDOT, poinçon sur le canon : L dans un cercle
24 novembre 1929 – 11 juillet 1934 : Colonel d’artillerie Charles Eugène KARCHER (ou HARCHER), poinçon sur le canon : C dans un cercle
12 juillet 1934 – 30 septembre 1939 : Ingénieur Militaire en Chef Charles Eugène Léon BRION, poinçon sur le canon : B dans un cercle
1er octobre 1939 – 14 octobre 1941 : Ingénieur Militaire en Chef Germain Firmin Antoine PIC
15 octobre 1941 – 31 mai 1942 : Ingénieur Militaire en Chef Georges MONTLAUR
1er juin 1942 – 31 octobre 1943 : Ingénieur Militaire en Chef BERTRAND
1er novembre 1943 – 31 juillet 1944 : Ingénieur Militaire en Chef Fernand MAGDALENA
1er septembre 1944 – 31 décembre 1945 : Ingénieur en Chef des travaux d’armement Pierre MONTEIL
1er janvier 1945 – 28 février 1950 : Ingénieur Militaire en Chef François DELAMAIRE
1er mars 1950 – 30 septembre 1953 : Ingénieur Militaire en Chef Louis CARRE
1er octobre 1953 – 30 septembre 1956 : Ingénieur Militaire en Chef Maurice FRANCILLON
1er octobre 1956 – 30 juin 1964 : Ingénieur Militaire en Chef Lucien DERUELLE
1er juillet 1964 – 30 septembre 1971 : Ingénieur Général de l’Armement Pierre LEVIEUX
1er octobre 1971 : Albert BONNOTTE
.
J'ai pu consulter le livre d'Yves CAYRE sur la MAT à la BNF. Cela m'a permis de compléter ( et de corriger) la liste des Directeurs (au sens large) de la MAT (là aussi au sens large). Comme ça, vous allez pouvoir coller un nom sur certains poinçons de vos armes et/ou les dater...
Il y a certes des imprécisions, mais j'ai fait au mieux.
Martial FENIS DE LA COMBE crée la « MAT » en 1690 et en sera directeur jusqu’en 1721.
Jean-Martial FENIS DE LA COMBE : 1721-1729
Abbé Joseph FENIS DE LA COMBE : Directeur à partir de 1729
Les FENIS DE SAINT VICTOUR qui prennent la suite sont dits « propriétaires » sans trace d’un Directeur avant Martial PAUPHILE en 1777.
Inspecteurs Directeurs de la MAT
1er janvier 1784 - 1785 : Lieutenant de Vaisseau DULAC (poinçon D sous couronne?)
1785 : FOURGEROUX DU HAMEL DE SERVAL
1786 – 1790 : Officier d’artillerie de marine Nicolas François Marie DUBOIS D’ESCORDEL
1792 : DE CHAPUIS
Septembre 1792 – Mars 1793 Officier d’artillerie de marine DE LACIPIERE
Mars 1793 : Capitaine LORMANUC (ne vint jamais)
Béral fait office d’inspecteur, puis en décembre 1793, Compas, jusqu’en l’an V (1796-97).
1804 : Capitaine d’artillerie de marine Clouet (depuis quand?)
Juillet 1804 – août 1806 : Chef d’escadron SIRODOT
Aout 1806 – juillet 1808 : Chef d’Escadron Albert LAURENT
Juillet 1808 – Août 1811 : Chef d’Escadron Alexis BECQUET, poinçon sur le canon : B sous couronne
Octobre-novembre 1811 : Commandant d’artillerie LAIR
1812-1815 : Capitaine Charles Julien BRIANCHON
(néanmoins selon l'almanach impérial, jusqu'en 1813 au moins, c'est toujours BECQUET)
1815 – Janvier 1818 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Jean-Baptiste AYMARD
Janvier-septembre 1818 : Commandant ALPHAND
Septembre 1818 – mars 1820 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Charles LUCIO
Mars 1820- 22 novembre 1830 : Lieutenant-Colonel Jean-François LUNEL, poinçon sur le canon : L dans un cercle
Novembre 1830- Octobre 1836 : Chef d’Escadron Frédéric Jacques CULMANN
Janvier 1837 – Mars 1838 : Lieutenant-Colonel Charles Emmanuel DE MAINVILLE
20 mars 1838 – 11 avril 1841 : Colonel Jean-Louis CAUSSADE
Avril 1841 – Septembre 1842 : Chef d'escadron Joseph Antoine COLLINET
1842-1849 : Lieutenant-Colonel Charles Elie ARCELIN
Juillet-décembre 1849 : Chef d’Escadron Jacques Honoré FERAUDIE ou SERAUDIE
21 décembre 1849-1853 : Lieutenant-Colonel François Antoine Aimé GAUDIN
14 Aout 1853- 11 avril 1855 : Lieutenant Colonel Gustave Adolphe MAILLIAR, poinçon sur le canon : M dans un cercle (ou un double cercle?)
11 Avril 1855- 14 septembre 1855 : Alex JEUFFROY
15 Septembre 1855-Août 1859 : Chef d’Escadron Ambroise LE CARUYER DE LANSECQ, poinçon sur le canon : CL dans deux cercles accolés
Août 1859 – 25 juillet 1867 (1868?) : Chef d’escadron Edouard SERRAND, poinçon sur le canon : ES dans deux cercles accolés.
2 Juillet 1867 (28 octobre 1868?)- février 1881 (1882?) : Chef d’escadron Antoine LESTOURGIE, poinçon sur le canon : L dans un cercle
26 janvier 1881 – 19 décembre 1883 : Pierre DUBAN, poinçon sur le canon : D dans un cercle
19 décembre 1883 – 28 mars 1889 : Commandant Jules BOURDON, poinçon sur le canon : B dans un double cercle
29 mars 1889 – 20 avril 1892 : Colonel Frédéric Léon Paul Jean-Baptiste LUSSON, poinçon sur le canon : L dans un double cercle
20 avril 1892 – 8 mai 1896 : Jean DELSOL, poinçon sur le canon : D dans un cercle
8 mai 1896 - 1897 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Michel Arthur ABAULT (ou ABAUT)
1897 - 1899 : Michel AUBRON
15 décembre 1899 – 24 janvier 1906 : Colonel d’artillerie Victor Alexandre BONAMY, poinçon sur le canon : B dans un cercle
25 janvier 1906 – 23 décembre 1909 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Maurice Paul Amédée HAUVETTE (ou NAUVETTE)
24 décembre 1909 – 19 mai 1911 : Lieutenant-Colonel d’artillerie David BLOCH
20 mai 1911 – 19 mars 1914 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Gustave PAYEUR
20 mars 1914 – 6 juin 1917 : Lieutenant-Colonel d’artillerie Louis Ernest Charles JOURDAN, poinçon sur le canon : J dans un cercle
6 juin 1917 – 19 mars ou avril 1923 : Colonel d’artillerie François Léon BARES, poinçon sur le canon : B dans un cercle (également des poinçons J, R et L assez peu explicables à cette époque).
19 avril 1923 – 23 novembre 1929 : Général de Brigade Louis CLAUDOT, poinçon sur le canon : L dans un cercle
24 novembre 1929 – 11 juillet 1934 : Colonel d’artillerie Charles Eugène KARCHER (ou HARCHER), poinçon sur le canon : C dans un cercle
12 juillet 1934 – 30 septembre 1939 : Ingénieur Militaire en Chef Charles Eugène Léon BRION, poinçon sur le canon : B dans un cercle
1er octobre 1939 – 14 octobre 1941 : Ingénieur Militaire en Chef Germain Firmin Antoine PIC
15 octobre 1941 – 31 mai 1942 : Ingénieur Militaire en Chef Georges MONTLAUR
1er juin 1942 – 31 octobre 1943 : Ingénieur Militaire en Chef BERTRAND
1er novembre 1943 – 31 juillet 1944 : Ingénieur Militaire en Chef Fernand MAGDALENA
1er septembre 1944 – 31 décembre 1945 : Ingénieur en Chef des travaux d’armement Pierre MONTEIL
1er janvier 1945 – 28 février 1950 : Ingénieur Militaire en Chef François DELAMAIRE
1er mars 1950 – 30 septembre 1953 : Ingénieur Militaire en Chef Louis CARRE
1er octobre 1953 – 30 septembre 1956 : Ingénieur Militaire en Chef Maurice FRANCILLON
1er octobre 1956 – 30 juin 1964 : Ingénieur Militaire en Chef Lucien DERUELLE
1er juillet 1964 – 30 septembre 1971 : Ingénieur Général de l’Armement Pierre LEVIEUX
1er octobre 1971 : Albert BONNOTTE
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Re: Les Manufactures françaises
MUTZIG
En 1802 ou 1803, Jacques COULAUX, qui contrôlait déjà avec son frère Julien le site de Klingenthal, crée la Manufacture Nationale de Mutzig. Pendant quinze mois, on s'affaire sans que beaucoup d'armes à feu ne sortent et il faut attendre 1804, alors que la Manufacture est devenue Impériale, pour que la production démarre vraiment et finisse par atteindre 1000 armes par mois. Cette production sera maintenue jusqu'en 1806, puis elle va peu à peu être augmentée pour atteindre les 2000 armes par mois en 1810.
Entre 1804 et 1814, Mutzig va produire 242 739 armes, parmi lesquelles 9 275 carabines (?) et 614 pistolets.
En 1834, au décès de Jacques COULAUX, c'est Julien qui reprend les rênes, puis en 1842, le fils de ce dernier, Charles-Louis COULAUX.
En 1867, la dernière grosse commande militaire sera enregistrée avec 180 000 fusils Chassepot à fabriquer. En 1870, le parc des machines est transféré à St-Etienne et la plus grande partie des ouvriers doivent se retrouver une activité.
Les Inspecteurs :
1805 (1804?)-1811 : Chef d'Escadron Jean-Baptiste Charles BOUCHOTTE
1812-1813 (au moins) : Chef d'Escadron Alexis BECQUET
1827 (au moins) : Lieutenant-Colonel GORSSE
1831-1836 : Chef d'Escadron Charles Emanuel DE MAINVILLE
1837-1840 : Chef d'Escadron LABEAUNE
1841-1851 (au moins) : Chef d'Escadron puis Lieutenant-Colonel SCHNEIDER
1853-1854 (au moins) : Chef d'escadron DEVOLUET
1867-1870 : Colonel CLERC.
Les contrôleurs et réviseurs :
Jean-Baptiste Louis CAPIAUMONT : 1er contrôleur de 1802 à 1813 (poinçon CA entrelacé?).
Dieudonné MONTRIEUX : contrôleur en 1830, 1er contrôleur en 1844.
Charles PRUNIER : 1er contrôleur de 1814 à 1831 puis à nouveau de 1836 à 1848.
Jean-Baptiste CHASSEPOT : Contrôleur (père d'Antoine).
Nicaise COMPAS : Contrôleur de 1809 à 1812.
François DOMBRET : à partir de 1806, 2ème contrôleur (poinçon D en anglaise?)
Louis FAVARCQ : réviseur à Mutzig, période 1er Empire.
Jean-Louis HENON : réviseur de canons de 1835 à 1840, contrôleur de 1840 à 1853.
Guillaume KOENIG : réviseur 1804(?)-1834.
En 1802 ou 1803, Jacques COULAUX, qui contrôlait déjà avec son frère Julien le site de Klingenthal, crée la Manufacture Nationale de Mutzig. Pendant quinze mois, on s'affaire sans que beaucoup d'armes à feu ne sortent et il faut attendre 1804, alors que la Manufacture est devenue Impériale, pour que la production démarre vraiment et finisse par atteindre 1000 armes par mois. Cette production sera maintenue jusqu'en 1806, puis elle va peu à peu être augmentée pour atteindre les 2000 armes par mois en 1810.
Entre 1804 et 1814, Mutzig va produire 242 739 armes, parmi lesquelles 9 275 carabines (?) et 614 pistolets.
En 1834, au décès de Jacques COULAUX, c'est Julien qui reprend les rênes, puis en 1842, le fils de ce dernier, Charles-Louis COULAUX.
En 1867, la dernière grosse commande militaire sera enregistrée avec 180 000 fusils Chassepot à fabriquer. En 1870, le parc des machines est transféré à St-Etienne et la plus grande partie des ouvriers doivent se retrouver une activité.
Les Inspecteurs :
1805 (1804?)-1811 : Chef d'Escadron Jean-Baptiste Charles BOUCHOTTE
1812-1813 (au moins) : Chef d'Escadron Alexis BECQUET
1827 (au moins) : Lieutenant-Colonel GORSSE
1831-1836 : Chef d'Escadron Charles Emanuel DE MAINVILLE
1837-1840 : Chef d'Escadron LABEAUNE
1841-1851 (au moins) : Chef d'Escadron puis Lieutenant-Colonel SCHNEIDER
1853-1854 (au moins) : Chef d'escadron DEVOLUET
1867-1870 : Colonel CLERC.
Les contrôleurs et réviseurs :
Jean-Baptiste Louis CAPIAUMONT : 1er contrôleur de 1802 à 1813 (poinçon CA entrelacé?).
Dieudonné MONTRIEUX : contrôleur en 1830, 1er contrôleur en 1844.
Charles PRUNIER : 1er contrôleur de 1814 à 1831 puis à nouveau de 1836 à 1848.
Jean-Baptiste CHASSEPOT : Contrôleur (père d'Antoine).
Nicaise COMPAS : Contrôleur de 1809 à 1812.
François DOMBRET : à partir de 1806, 2ème contrôleur (poinçon D en anglaise?)
Louis FAVARCQ : réviseur à Mutzig, période 1er Empire.
Jean-Louis HENON : réviseur de canons de 1835 à 1840, contrôleur de 1840 à 1853.
Guillaume KOENIG : réviseur 1804(?)-1834.
HELIX- Administrateur
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Re: Les Manufactures françaises
MAUBEUGE
Je vous compile ci-dessous un peu tout ce que j'ai pu réussir à rassembler comme information sur la Manufacture de Maubeuge. Pas grand-chose à vrai dire, mais cette manufacture a pleinement sa place dans le chapitre des armes à silex étant donné qu'elle a été fermée avant l'avènement de la percussion dans l'armée française. Pour l'essentiel, mes sources sont le "Stockel" (mon allemand est un peu rouillé, j'ai pas tout compris) et le "qui est qui de l'armurerie en France" de Buigné, ainsi que quelques vieux textes d'époque glanés ci et là.
Une manufacture d'armes est fondée à Maubeuge en 1701 (Stockel) ou 1716 (Buigné) par Robert DARETZ qui en est l'entrepreneur jusque vers 1745. De 1745 à 1781, son successeur est Albert Daretz. Puis, à la mort de ce dernier, la famille FELIX prend les rênes.
Parmi les personnes ayant pu laisser leur marque sur les armes de Maubeuge, il y eut :
Vers 1754, un nommé BONNECHAY ou BONNAY, contrôleur.
Entre 1754 et 1782, un certain COUSIN, contrôleur.
En 1763, BOILEAU, inspecteur
Entre 1772 et 1792, Etienne ALEXANDRE, inspecteur (poinçon A sous couronne)
En 1803, le chef de bataillon SAINT MARTIN TUFFET est inspecteur.
En 1805, le chef de bataillon ou d'escadron GALBAUD DUFORT est inspecteur.
EN 1806-1807, c'est au tour de DROUOT.
1808-1809 : JACQUESSON inspecteur.
En 1810, le chef de bataillon CHAPELLE du 6ème régiment d'artillerie à pieds est inspecteur.
En 1811, BEAUDREVILLE est inspecteur.
En 1812-1813, le chef de bataillon Jean Baptiste Nicolas SCHOULLER est inspecteur.
Entre 1790 et 1814, Daniel BOUYSSAVY fut, sur une période qui ne m'est pas exactement connue, contrôleur.
1814-1818 : Charles ALPHAND, inspecteur (Poinçon A)
Louis FAVARCQ fut réviseur (1803-1834? signalé aussi à Mutzig).
De 1827 à 1832, Charles Louis César DUPORT DE PONTCHARRA est inspecteur de Maubeuge (Poinçon P en anglaise)
Jean-Luis HENON a été réviseur de canons entre 1830 et 1833.
Le dernier inspecteur fut BOUSSON de 1833 à 1837.
Le dernier réviseur fut Antoine MERLEY qui fit la fermeture en 1837.
Jusqu'en 1814, Maubeuge a produit 349 986 armes dont 106 573 pistolets.
De 1701 (1716?) à 1755, la platine des armes est marquée :
A+R
M.B.G
(la croix figurant ici une fleur de lys, on fait ce qu'on peut)
De 1760 à 1775 :
Me de
Maubeuge
(en "anglaise")
Puis vers 1780, simplement Maubeuge, toujours en anglaise.
De 1792 à 1804 :
Maubeuge
Manufre Nle
De 1804 à 1814 :
Maubeuge
Manuf. Impl.
De 1814 à 1834 :
Manuf. Roy.
de Maubeuge
Les productions connues :
Fusil modèle 1763 :
Nombre inconnu.
Mousqueton de cavalerie modèle 1763-66 :
Nombre inconnu.
Pistolet de cavalerie modèle 1763-66 :
En 1778, 500 paires pour la marine.
Les quantités fabriquées sont cependant bien plus considérables, on parle en milliers de paires.
Mousqueton de Hussard modèle 1767 :
En 1773, moins de 8000 pour la cavalerie
En 1778, 500 pour la marine.
Mousqueton de Maréchaussée modèle 1770 :
En 1780, 632.
En 1792, au moins 305.
Pistolet de maréchaussée modèle 1770 :
En 1792, au moins 362 paires.
En 1802, 3000 paires.
Fusil d'infanterie modèle 1770-71 :
Nombre inconnu.
Fusil d'infanterie modèle 1773 (Vallière) :
Nombre inférieur à 24 000 exemplaires, produit en 1774.
Normalement, toutes les armes du système 1777 :
Quantités précises ignorées sauf pour l'arme suivante.
Pistolet d'officier modèle 1777 :
1784-1785 : 85 paires et demie.
Normalement, toutes les armes du système an IX:
Quantité précises ignorées sauf pour l'arme suivante.
Pistolet de Gendarmerie modèle an IX :
Fabriqué uniquement à Maubeuge, 32 000 paires entre l'an X (1802) et 1819
Je vous compile ci-dessous un peu tout ce que j'ai pu réussir à rassembler comme information sur la Manufacture de Maubeuge. Pas grand-chose à vrai dire, mais cette manufacture a pleinement sa place dans le chapitre des armes à silex étant donné qu'elle a été fermée avant l'avènement de la percussion dans l'armée française. Pour l'essentiel, mes sources sont le "Stockel" (mon allemand est un peu rouillé, j'ai pas tout compris) et le "qui est qui de l'armurerie en France" de Buigné, ainsi que quelques vieux textes d'époque glanés ci et là.
Une manufacture d'armes est fondée à Maubeuge en 1701 (Stockel) ou 1716 (Buigné) par Robert DARETZ qui en est l'entrepreneur jusque vers 1745. De 1745 à 1781, son successeur est Albert Daretz. Puis, à la mort de ce dernier, la famille FELIX prend les rênes.
Parmi les personnes ayant pu laisser leur marque sur les armes de Maubeuge, il y eut :
Vers 1754, un nommé BONNECHAY ou BONNAY, contrôleur.
Entre 1754 et 1782, un certain COUSIN, contrôleur.
En 1763, BOILEAU, inspecteur
Entre 1772 et 1792, Etienne ALEXANDRE, inspecteur (poinçon A sous couronne)
En 1803, le chef de bataillon SAINT MARTIN TUFFET est inspecteur.
En 1805, le chef de bataillon ou d'escadron GALBAUD DUFORT est inspecteur.
EN 1806-1807, c'est au tour de DROUOT.
1808-1809 : JACQUESSON inspecteur.
En 1810, le chef de bataillon CHAPELLE du 6ème régiment d'artillerie à pieds est inspecteur.
En 1811, BEAUDREVILLE est inspecteur.
En 1812-1813, le chef de bataillon Jean Baptiste Nicolas SCHOULLER est inspecteur.
Entre 1790 et 1814, Daniel BOUYSSAVY fut, sur une période qui ne m'est pas exactement connue, contrôleur.
1814-1818 : Charles ALPHAND, inspecteur (Poinçon A)
Louis FAVARCQ fut réviseur (1803-1834? signalé aussi à Mutzig).
De 1827 à 1832, Charles Louis César DUPORT DE PONTCHARRA est inspecteur de Maubeuge (Poinçon P en anglaise)
Jean-Luis HENON a été réviseur de canons entre 1830 et 1833.
Le dernier inspecteur fut BOUSSON de 1833 à 1837.
Le dernier réviseur fut Antoine MERLEY qui fit la fermeture en 1837.
Jusqu'en 1814, Maubeuge a produit 349 986 armes dont 106 573 pistolets.
De 1701 (1716?) à 1755, la platine des armes est marquée :
A+R
M.B.G
(la croix figurant ici une fleur de lys, on fait ce qu'on peut)
De 1760 à 1775 :
Me de
Maubeuge
(en "anglaise")
Puis vers 1780, simplement Maubeuge, toujours en anglaise.
De 1792 à 1804 :
Maubeuge
Manufre Nle
De 1804 à 1814 :
Maubeuge
Manuf. Impl.
De 1814 à 1834 :
Manuf. Roy.
de Maubeuge
Les productions connues :
Fusil modèle 1763 :
Nombre inconnu.
Mousqueton de cavalerie modèle 1763-66 :
Nombre inconnu.
Pistolet de cavalerie modèle 1763-66 :
En 1778, 500 paires pour la marine.
Les quantités fabriquées sont cependant bien plus considérables, on parle en milliers de paires.
Mousqueton de Hussard modèle 1767 :
En 1773, moins de 8000 pour la cavalerie
En 1778, 500 pour la marine.
Mousqueton de Maréchaussée modèle 1770 :
En 1780, 632.
En 1792, au moins 305.
Pistolet de maréchaussée modèle 1770 :
En 1792, au moins 362 paires.
En 1802, 3000 paires.
Fusil d'infanterie modèle 1770-71 :
Nombre inconnu.
Fusil d'infanterie modèle 1773 (Vallière) :
Nombre inférieur à 24 000 exemplaires, produit en 1774.
Normalement, toutes les armes du système 1777 :
Quantités précises ignorées sauf pour l'arme suivante.
Pistolet d'officier modèle 1777 :
1784-1785 : 85 paires et demie.
Normalement, toutes les armes du système an IX:
Quantité précises ignorées sauf pour l'arme suivante.
Pistolet de Gendarmerie modèle an IX :
Fabriqué uniquement à Maubeuge, 32 000 paires entre l'an X (1802) et 1819
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