tumbler maison
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TIR et COLLECTION Armes Règlementaires :: Le rechargement :: Poudres, presses, outils, composants et techniques de rechargement
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Re: tumbler maison
yaya1er a écrit:Bon,
Vous m'avez donné envie de me lancer!
Voici ma bidouille:
Ca ne tourne qu'à 6 tours / mn et je n'ai pas encore essayé sur une paire de douilles...
Et puis les roulettes de 50 mm, c'est vraiment limite....
6 tours minute c'est trop juste, il faud que le melange de riz et de douilles soit bien brassé et trop vite c'est pas bon non plus car cela fait force centrifuge
yan11- Membre confirmé
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Re: tumbler maison
ajoutons notre pierre a ce début de concours Lepine
mon premier tonneau a polir je l'avais fait avec un bidon 5/1 c'est normal je les vendais (vides a l 'époque) un tuyau de cuivre le transperçait.Ce tuyau reposait et tournait sur deux tasseaux en bois (légèrement graisses).Un petit trappillon sur le flan pour mettre les douilles. l'axe était entraine par un moteur d'essuie glace dont l'embout fileté se vissait dans le tube .
20 a 25 mn suffisaient.J'avais aussi soude du fer blanc a l’intérieur pour rendre le bidon octogonale.Ainsi le brassage s'effectuait impeccable.
pour le produit de nettoyage, de la cendre et de la sciure, plus de sciure que de cendre.Je precise que les douilles étaient préalablement nettoyées a l'eau chaude enrichie a l’ammoniaque.Sechées une par une a l'air comprimé.Je reconnais que c’était minimaliste, genre" into the wild", mais ça m'a dépanné pendant des années
depuis j'en ai refais un autre, avec un moteur en 220v qui va bien, c'est un moteur de sorbetière SEB dont la sortie est un 6 pans
mon premier tonneau a polir je l'avais fait avec un bidon 5/1 c'est normal je les vendais (vides a l 'époque) un tuyau de cuivre le transperçait.Ce tuyau reposait et tournait sur deux tasseaux en bois (légèrement graisses).Un petit trappillon sur le flan pour mettre les douilles. l'axe était entraine par un moteur d'essuie glace dont l'embout fileté se vissait dans le tube .
20 a 25 mn suffisaient.J'avais aussi soude du fer blanc a l’intérieur pour rendre le bidon octogonale.Ainsi le brassage s'effectuait impeccable.
pour le produit de nettoyage, de la cendre et de la sciure, plus de sciure que de cendre.Je precise que les douilles étaient préalablement nettoyées a l'eau chaude enrichie a l’ammoniaque.Sechées une par une a l'air comprimé.Je reconnais que c’était minimaliste, genre" into the wild", mais ça m'a dépanné pendant des années
depuis j'en ai refais un autre, avec un moteur en 220v qui va bien, c'est un moteur de sorbetière SEB dont la sortie est un 6 pans
La vraie liberté, ce n'est pas faire ce que l'on veut, mais devenir ce que l'on est.
BOUZOU- Futur pilier
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Re: tumbler maison
Il faut des photos!
yaya1er- Pilier du forum
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Re: tumbler maison
yan11 a écrit:le boulgour c'est du blé style ébly mais concassé
Certains utilisent aussi du riz, concassé également. Dopé au Mirror ça le fait bien.
mercure- Membre confirmé
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Re: tumbler maison
Mais concassé pour ma part de chez gamm vert.... Ca va impeccable !
15 kg...acheté il y a 5 ans....a vu de nez j'en ai pour les 20 ans a venir !!!
ZR
15 kg...acheté il y a 5 ans....a vu de nez j'en ai pour les 20 ans a venir !!!
ZR
Invité- Invité
Re: tumbler maison
Merci pour l'info
yaya1er- Pilier du forum
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Re: tumbler maison
Je suis déçu par le résultat, mes douilles ne sont pas aussi bien astiquées que celles de Yan11...
Bon, faut dire que j'ai mis du riz entier, et pas en grande quantité.... à refaire sur les 1000 suivantes.
Bon, faut dire que j'ai mis du riz entier, et pas en grande quantité.... à refaire sur les 1000 suivantes.
yaya1er- Pilier du forum
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Re: tumbler maison
Yaya,
faut pas le cuire le riz avant
faut pas le cuire le riz avant
manitou- Pilier du forum
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En avant enfants
Bonsoir a tous.
La les amis j'ai comme une forme de colère qui me bouffe les entrailles, avec de soupers bricoleurs comme vous tous, nous sommes incapables d'avoir une production M.In.F.
Nous avons les idées.
Par la suite il faut, l'argent, l'approbation, l'acceptation, le brevet, la licence, les taxes, la taxe, le conseil de région, celui de l'agglo, de région, le Pourlich.
Bon, il me reste le French made, le mirror de nos grand-mere. Celui des doigts salles.
Jean louis
La les amis j'ai comme une forme de colère qui me bouffe les entrailles, avec de soupers bricoleurs comme vous tous, nous sommes incapables d'avoir une production M.In.F.
Nous avons les idées.
Par la suite il faut, l'argent, l'approbation, l'acceptation, le brevet, la licence, les taxes, la taxe, le conseil de région, celui de l'agglo, de région, le Pourlich.
Bon, il me reste le French made, le mirror de nos grand-mere. Celui des doigts salles.
Jean louis
Jean Louis- Futur pilier
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Localisation : La plus belle ville du Gard
Date d'inscription : 25/07/2010
Re: tumbler maison
salut yaya 1eryaya1er a écrit:Bon,
Vous m'avez donné envie de me lancer!
Voici ma bidouille:
Ca ne tourne qu'à 6 tours / mn et je n'ai pas encore essayé sur une paire de douilles...
Et puis les roulettes de 50 mm, c'est vraiment limite....
mon tumbler tourne a +/- 60 tours minutes a titre d'info
yan11- Membre confirmé
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Date d'inscription : 18/11/2010
Re: tumbler maison
Bon, vue la faible vitesse de rotation, en insistant, j'obtiens ça:
Il y a des petites rayures.
Comme le dit Manitoba, peut-être aurais-je dû cuire le riz d'abord?
Il y a des petites rayures.
Comme le dit Manitoba, peut-être aurais-je dû cuire le riz d'abord?
yaya1er- Pilier du forum
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Localisation : Grenoble
Date d'inscription : 28/01/2013
Re: tumbler maison
Tes douilles sortent relativement propres quand même.
Cri83- Membre confirmé
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Re: tumbler maison
Mais j'enlève le miror au chiffon
Il doit y avoir plus rapide....
Il doit y avoir plus rapide....
yaya1er- Pilier du forum
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Date d'inscription : 28/01/2013
nettoyage du miror
Bonjour,
Bon bricolage qui donne envie de faire pareil.Une question, pour enlever le miror avec chiffon ne reste t il pas de trace nuisible a la poudre pour sa combustion ou conservation de la cartouche. comment enlever toute trace de miror si nuisible.
Merci
Bon bricolage qui donne envie de faire pareil.Une question, pour enlever le miror avec chiffon ne reste t il pas de trace nuisible a la poudre pour sa combustion ou conservation de la cartouche. comment enlever toute trace de miror si nuisible.
Merci
Mag357- Membre
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Age : 73
Date d'inscription : 30/12/2013
Idées pour bricoler un tumbler humide (ou sec)
Il m'a paru plus approprié de placer ici ces suggestions pour "Iamgui"...
Simplement des idées, que je ne mettrai sans doute pas en pratique, car j'en ai déjà fabriqué un, il y a très longtemps ! Et que j'utilise très peu car je n'ai rien à f... que mes ...ouilles brillent ; je leur demande juste de fonctionner. Mais en version "humide" ce vieux tumbler est bien utile pour ébavurer les balles de plomb matricées.
L'idée est de partir d'une vieille imprimante de réforme, par exemple une HP Deskjet séries 6xx à 8xx (5xx, 9xx ?? je ne sais plus). D'autres types peuvent aussi bien convenir, bien sûr, mais les Epson ont souvent des galets à papier bien petits, il me semble. Alors que ceux des HP font un Ø proche de 4 cm, ce qui donnerait des appuis plus stables.
Ces galets se trouvent sur les axes d'alimentation du papier, et peuvent être déplacés en force. 2 axes, portant 2 galets chacun, on a vu ça dans plusieurs montages déjà présentés ici...
Question roulements ou paliers, il n'y a pas grand chose de bon dans les imprimantes. Mais à ces faibles vitesses et sous ces faibles charges, le palier en bois gras reste une bonne option : une fois imprégné d'huile, il est aussi auto-lubrifiant que du bronze fritté (en fait, ça y-en a, dans les imprimantes) et résiste mieux aux échauffements accidentels que le nylon (qui fond, alors que le bois noircit et se transforme progressivement en palier graphité). Application industrielle : le support intermédiaire de l'arbre de transmission de nombreux épandeurs à fumier (à mi-longueur du châssis).
Dans le contexte du tumbler, les deux arbres supportant le tonnelet peuvent simplement reposer sur des demi-paliers, ouverts au dessus... Le tonnelet s'appuyant dessus, aucune raison qu'ils sautent en l'air ; il faudra juste des butées longitudinales, et les galets peuvent en faire office.
Le tonnelet conditionnera les dimensions. Il faut en choisir un robuste, ou facilement remplaçable pour rien.
- Robuste, p.ex. en éléments de tuyauterie PVC collés, avec bouchon fileté à joint,
- Gratuits, comme certaines boîtes en fer-blanc à couvercle plastique clipsé (Ø ~ 10 cm pour Banania ou Capuccino..., Ø ~ 13 cm pour "lait bébé Candia", etc.)
Il serait bon de garnir l'intérieur de matériau mou (caoutchouc) collé ou fixé de toute autre façon, ne serait-ce que pour le bruit ; ça diminuera aussi l'entrechoquage des douilles et l'usure du tonnelet. De minces barettes (en bois ?) ou des crans longitudinaux éviteront que la charge ne glisse et favoriseront son brassage (cf certains tapis de sol auto, en caoutchouc strié).
Comme dans les messages plus haut, le tonnelet repose sur les 2 arbres à galets. Un galet transversal contre le fond peut-être doute utile pour caler en translation (pour que le tonnelet s'y appuie et ne parte pas de l'autre côté, pencher légèrement tout l'appareil).
Le mouvement de rotation, c'est toute l'astuce, est transmis par la courroie crantée de l'imprimante, directement enroulée autour du tonnelet : la surface de contact suffit largement, pas besoin de crans. Le moteur électrique de l'imprimante (celui du chariot) possède un petit pignon cranté, généralement pourvu de flasques anti-déraillement. La tension sera assurée par le poids du moteur (éventuellement lesté), placé dessous, sur un bras oscillant.
Prévoir l'entraxe des 2 arbres à galets, pour que la courroie passe entre sans les toucher ; pour remplir ou vider le tonnelet, il faudra détendre la courroie...
L'alimentation électrique de l'imprimante est difficile à réutiliser. Parfois intégrée au circuit principal, souvent mise en service par commande électrique, il faudrait soigneusement tester l'imprimante capot enlevé (avant tout démontage mécanique) si on voulait préparer sa réutilisation.
Les moteurs de cette génération d'imprimantes ne sont plus des "pas à pas" (qui nécessitent un circuit de commande spécial), mais de simples moteurs à courant continu, d'une tension variant selon les types (en général, entre 18 V et 30 V). C'est souvent la tension la plus élevée des diverses sorties de l'alim, mais ça n'a pas grande importance car on voudra de toutes façons sous-alimenter le moteur pour réduire sa vitesse de rotation.
Les 12 V d'une batterie, les 14 V d'un chargeur, ou un transfo de train électrique, ne risqueront guère de cramer le moteur. Il faudra peut-être même diminuer encore la tension (pas trop, sinon le moteur perd toute puissance et cale). Par contre, un chargeur de téléphone portable risque d'être bien insuffisant, tant en tension qu'en intensité maxi.
La régulation de vitesse par rhéostat semble plus simple ... si on trouve le rhéostat !
Une régulation PWM (Modulation de la Largeur d'Impulsion) pourrait offrir un meilleur couple moteur à vitesse égale. Il s'agit d'alimenter le moteur, non pas avec une tension réduite, mais avec une tension normale (voire supérieure à la tension originelle) découpée en impulsions à fréquence constante (assez élevée, des KHz) mais de longueur réglable ; le moteur n'en "voit" que la tension moyenne. Ce genre d'alim économise le courant, ne chauffe pas, et se réalise autour d'un oscillateur astable (2 ou 3 transistors, condos et résistances) avec amplification par un transistor de puissance. Tout ça se récupère dans une vieille télé (ou moniteur d'ordi) à tube cathodique, le même régulateur pouvant commander divers appareils (moteurs divers, ventilateur de forge, visseuse à pile, fil à couper le polystyrène, etc.) jusqu'à une puissance notable (quelques dizaines d'ampères).
Celui qui ne jure que par le modernisme (et encore, c'est pas si nouveau que ça) pourra réaliser un oscillateur à plage de réglage plus étendue à l'aide de 2 circuits intégrés NE 555 (peu coûteux) ; voire un troisième qui ferait minuterie d'arrêt automatique (et bipper quand c'est fini ? A partir de là, le micro-contrôleur devient plus rentable).
Le bâti, il vaut mieux d'abord le faire en lattes de bois clouées, ou avec des chutes de cornières pour étagères métalliques, ce qui permet d'en mettre au point les dimensions . Ensuite, peut-être, une structure plus élégante en recopiant simplement les cotes...
Le "média" varie selon l'usage, car avec un "tonneau à polir" de ce genre on peut aussi bien faire du "tumbler sec" que du "tumbler humide" (en ce cas, les aiguilles d'inox sont une trouvaille récente qui paraît très performante).
Dans les deux cas, surtout en mode humide, prévoir que le couvercle puisse fuir ou même sauter accidentellement : protéger le moteur par un déflecteur, et placer une cuvette sous l'engin...
Simplement des idées, que je ne mettrai sans doute pas en pratique, car j'en ai déjà fabriqué un, il y a très longtemps ! Et que j'utilise très peu car je n'ai rien à f... que mes ...ouilles brillent ; je leur demande juste de fonctionner. Mais en version "humide" ce vieux tumbler est bien utile pour ébavurer les balles de plomb matricées.
L'idée est de partir d'une vieille imprimante de réforme, par exemple une HP Deskjet séries 6xx à 8xx (5xx, 9xx ?? je ne sais plus). D'autres types peuvent aussi bien convenir, bien sûr, mais les Epson ont souvent des galets à papier bien petits, il me semble. Alors que ceux des HP font un Ø proche de 4 cm, ce qui donnerait des appuis plus stables.
Ces galets se trouvent sur les axes d'alimentation du papier, et peuvent être déplacés en force. 2 axes, portant 2 galets chacun, on a vu ça dans plusieurs montages déjà présentés ici...
Question roulements ou paliers, il n'y a pas grand chose de bon dans les imprimantes. Mais à ces faibles vitesses et sous ces faibles charges, le palier en bois gras reste une bonne option : une fois imprégné d'huile, il est aussi auto-lubrifiant que du bronze fritté (en fait, ça y-en a, dans les imprimantes) et résiste mieux aux échauffements accidentels que le nylon (qui fond, alors que le bois noircit et se transforme progressivement en palier graphité). Application industrielle : le support intermédiaire de l'arbre de transmission de nombreux épandeurs à fumier (à mi-longueur du châssis).
Dans le contexte du tumbler, les deux arbres supportant le tonnelet peuvent simplement reposer sur des demi-paliers, ouverts au dessus... Le tonnelet s'appuyant dessus, aucune raison qu'ils sautent en l'air ; il faudra juste des butées longitudinales, et les galets peuvent en faire office.
Le tonnelet conditionnera les dimensions. Il faut en choisir un robuste, ou facilement remplaçable pour rien.
- Robuste, p.ex. en éléments de tuyauterie PVC collés, avec bouchon fileté à joint,
- Gratuits, comme certaines boîtes en fer-blanc à couvercle plastique clipsé (Ø ~ 10 cm pour Banania ou Capuccino..., Ø ~ 13 cm pour "lait bébé Candia", etc.)
Il serait bon de garnir l'intérieur de matériau mou (caoutchouc) collé ou fixé de toute autre façon, ne serait-ce que pour le bruit ; ça diminuera aussi l'entrechoquage des douilles et l'usure du tonnelet. De minces barettes (en bois ?) ou des crans longitudinaux éviteront que la charge ne glisse et favoriseront son brassage (cf certains tapis de sol auto, en caoutchouc strié).
Comme dans les messages plus haut, le tonnelet repose sur les 2 arbres à galets. Un galet transversal contre le fond peut-être doute utile pour caler en translation (pour que le tonnelet s'y appuie et ne parte pas de l'autre côté, pencher légèrement tout l'appareil).
Le mouvement de rotation, c'est toute l'astuce, est transmis par la courroie crantée de l'imprimante, directement enroulée autour du tonnelet : la surface de contact suffit largement, pas besoin de crans. Le moteur électrique de l'imprimante (celui du chariot) possède un petit pignon cranté, généralement pourvu de flasques anti-déraillement. La tension sera assurée par le poids du moteur (éventuellement lesté), placé dessous, sur un bras oscillant.
Prévoir l'entraxe des 2 arbres à galets, pour que la courroie passe entre sans les toucher ; pour remplir ou vider le tonnelet, il faudra détendre la courroie...
L'alimentation électrique de l'imprimante est difficile à réutiliser. Parfois intégrée au circuit principal, souvent mise en service par commande électrique, il faudrait soigneusement tester l'imprimante capot enlevé (avant tout démontage mécanique) si on voulait préparer sa réutilisation.
Les moteurs de cette génération d'imprimantes ne sont plus des "pas à pas" (qui nécessitent un circuit de commande spécial), mais de simples moteurs à courant continu, d'une tension variant selon les types (en général, entre 18 V et 30 V). C'est souvent la tension la plus élevée des diverses sorties de l'alim, mais ça n'a pas grande importance car on voudra de toutes façons sous-alimenter le moteur pour réduire sa vitesse de rotation.
Les 12 V d'une batterie, les 14 V d'un chargeur, ou un transfo de train électrique, ne risqueront guère de cramer le moteur. Il faudra peut-être même diminuer encore la tension (pas trop, sinon le moteur perd toute puissance et cale). Par contre, un chargeur de téléphone portable risque d'être bien insuffisant, tant en tension qu'en intensité maxi.
La régulation de vitesse par rhéostat semble plus simple ... si on trouve le rhéostat !
Une régulation PWM (Modulation de la Largeur d'Impulsion) pourrait offrir un meilleur couple moteur à vitesse égale. Il s'agit d'alimenter le moteur, non pas avec une tension réduite, mais avec une tension normale (voire supérieure à la tension originelle) découpée en impulsions à fréquence constante (assez élevée, des KHz) mais de longueur réglable ; le moteur n'en "voit" que la tension moyenne. Ce genre d'alim économise le courant, ne chauffe pas, et se réalise autour d'un oscillateur astable (2 ou 3 transistors, condos et résistances) avec amplification par un transistor de puissance. Tout ça se récupère dans une vieille télé (ou moniteur d'ordi) à tube cathodique, le même régulateur pouvant commander divers appareils (moteurs divers, ventilateur de forge, visseuse à pile, fil à couper le polystyrène, etc.) jusqu'à une puissance notable (quelques dizaines d'ampères).
Celui qui ne jure que par le modernisme (et encore, c'est pas si nouveau que ça) pourra réaliser un oscillateur à plage de réglage plus étendue à l'aide de 2 circuits intégrés NE 555 (peu coûteux) ; voire un troisième qui ferait minuterie d'arrêt automatique (et bipper quand c'est fini ? A partir de là, le micro-contrôleur devient plus rentable).
Le bâti, il vaut mieux d'abord le faire en lattes de bois clouées, ou avec des chutes de cornières pour étagères métalliques, ce qui permet d'en mettre au point les dimensions . Ensuite, peut-être, une structure plus élégante en recopiant simplement les cotes...
Le "média" varie selon l'usage, car avec un "tonneau à polir" de ce genre on peut aussi bien faire du "tumbler sec" que du "tumbler humide" (en ce cas, les aiguilles d'inox sont une trouvaille récente qui paraît très performante).
Dans les deux cas, surtout en mode humide, prévoir que le couvercle puisse fuir ou même sauter accidentellement : protéger le moteur par un déflecteur, et placer une cuvette sous l'engin...
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