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Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Winchester 1866 Jeu 05 Déc 2013, 10:19
Cet article n’est qu’un petit aperçu de l’artillerie Française lors de la grande guerre. C'est un article que j'avais commencé sur ce sujet, il demande à être affiné 
Si vous voulez voir de beaux canons : http://canonspgmww1guns.canalblog.com/
La défaite de Napoléon III, face à la Prusse, a conduit la France, le 10 mai 1871, au Traité de Francfort qui lui a fait perdre l’Alsace et une partie de la Loraine.
Depuis cette date, l’Etat-major, qui a « les yeux rivés sur la ligne Bleue des Vosges » selon l’expression populaire de l’époque, veut se donner les moyens de prendre sa revanche. Le Commandement en Chef des armées, après avoir analysé les causes de cette défaite, met en évidence des déficiences graves dans le matériel de l'artillerie française. Cela se traduira par des études poussées pour doter l'armée de nouvelles pièces d'artillerie pour un usage de campagne et non plus de place forte. Il faut apporter des améliorations considérables aux canons. L’idée est d’avoir des matériels plus légers, plus puissants, plus maniables et avec une cadence de tir plus rapide. Mais pour réussir une arme à tir rapide il faut résoudre le problème du recul. Le canon qui est actuellement monté directement sur l’affut, bouge énormément à chaque tir. Il faut obligatoirement, reprendre le pointage en direction et en angle pour effectuer le tir suivant. C’est ce que l’on appelle : « remettre le canon en batterie ». Il serait possible de supprimer cette opération, ou du moins en réduire sa durée, en élaborant un système qui puisse permettre au canon de revenir à sa position initiale de tir après chaque coup. L’Allemagne à cette époque se posait les mêmes questions techniques. Cette recherche sera, menée par les deux pays avec tout ce que cela comporte d’espionnage de part et d’autre et ce sera le point de départ de l’affaire Dreyfus.
Faut-il un frein mécanique, pneumatique, hydraulique ou hydropneumatique ? Doit-on faire un recul court ou long du canon ?...
Le 17 décembre 1892, le Directeur des ateliers de Puteaux, le Commandant Deport polytechnicien et officier d'artillerie, fait savoir qu’il lui est possible de réaliser un canon employant un frein amortisseur de recul à longue course qui sera plus stable et plus puissant que le 52 mm du Capitaine Sainte-Claire Deville. Le principe du canon de 75 sans recul était né, il portera pour l’étude, la désignation 75 C. Par la suite on étudiera deux autres modèles le 75 A et 75 B pour faire diversion auprès des allemands. Il fut difficile de résoudre le problème d’étanchéité du frein amortisseur hydropneumatique. Le Commandant Deport qui était devenu entre temps Lieutenant-colonel demandera à partir à la retraite le 16 novembre 1894 et ne sera donc pas présent pour voir aboutir son projet. C’est au Capitaine Sainte-Claire Deville, assisté du Capitaine Rimailho, qu’il appartiendra de poursuivre l’étude du 75 C. Ensemble, Ils amélioreront le frein du 75 C et étudieront aussi tout son environnement et sa logistique. C’est ainsi qu’ils proposeront dès 1895, entre autres les freins de roues pour garantir une parfaite immobilité lors des tirs et un appareil de pointage qui fera de ce canon : le canon le plus performant et novateur de l'époque.
Suite à des essais de tir de 10 000 coups sans incident à une cadence de vingt coups par minute le canon sera officiellement adopté en 1897 sous le nom de "75 modèle 1897".
Ce canon allait bouleverser les concepts militaires de l’artillerie. Grâce à lui le canon léger de campagne à tir rapide était né. Mis en dotation en 1898 il sera de tous les combats y compris ceux de 1940 et terminera son service à la fin de la guerre d’Algérie.
Pour ceux qui souhaitent plus d’informations et de détail sur ce canon, je les invite à consulter ce site qui lui est dédié. http://www.canonde75.fr.st/
Au début de la Grande Guerre, en attendant la production en nombre suffisant de canons de 75 modèle 1897, on utilisa toutes les pièces anciennes disponibles dont les canons de place retirés en hâte des forts qui bordaient nos frontières de l’est. C’était des canon du Système Lahitolle ou Bange en calibres 80 ; 90 et 95. Il y eut aussi des canons de 75 Saint-Chamnod.
Une petite anecdote concernant le canon Bange de 90 : ce canon avait un fort recul et pour revenir plus rapidement en batterie, on plaçait des coins en bois derrière leurs roues pour que celles-ci puissent monter dessus pendant le recul. La pente les faisait redescendre vers l'avant et cela facilitait la remise en batterie.
L’armée française manquait aussi cruellement d’artillerie lourde de campagne, nous n’avions que 308 pièces alors que l’Allemagne pouvait en aligner le double. Il fallait équiper les nouvelles divisions d’artillerie fraîchement créées ainsi que les nouveaux corps d’armés. Le 23 septembre 1914 le haut commandement militaire demanda à Alexandre Millerand ministre de la guerre de prélever, dans l’urgence, sur les places fortes 108 pièces de 155 court Modèle 1881-1882 et 120 pièces de 220 Modèle 1891 afin de les affecter aux divisions d’artillerie lourde de campagne.
Il faudra attendre le 30 mai 1916 pour que soit définitivement adoptée la charte structurant cette nouvelle armée qui sera composée de 20 régiments d’artillerie lourde (A.L.) attelée et 10 régiments d’A.L. à tracteurs. La mise en place de ces 30 régiments et de la réserve se fit progressivement, au rythme des fabrications et c’est ainsi qu’il n’y eut que 109 canons d’A.L. pour l’offensive de champagne. Au printemps 1915 pour l’offensive d’Artois il y aura 361 pièces puis en septembre 1915 pour celle d’Artois-Champagne se sera 1 140. Pour la bataille de la Somme, 1200 et pour l’offensive de l’Aisne en 1917 nous seront en mesure d’aligner 2 000 pièces d’artillerie lourde.
Nous avions également de l’artillerie lourde à grande puissance (A.L.G.P.) composée de mortiers et de canons peu mobiles dont leur poids avoisinait les 30 à 50 tonnes.
Il y avait :
Le mortier G de 270 de Côte. (‘G’ pour Guerre). Avant la guerre c’était une batterie de défense côtière capable de tirer des obus de 150 à 230 Kg à plus de 10 000 mètres. La cadence est de 1 à 2 coups minute.
Le mortier Flloux de 370 Réalisé avec des canons de récupération de 240 ou 270 coupés et réalésés. Il pouvait tirer des obus de 400 à 500 Kg à plus de 10 000 mètre avec une cadence 1 coup toutes les trois minutes
Le canon de 240 modèle 1884 capable de propulser un obus de 160 Kg sur 16 800 mètres. La vitesse de tir est de un coup toutes les trois minutes.
Le canon de 240 sur affût Saint-Chamond, il se déplace généralement en deux partie sur deux camions. Sa portée est de 18 800 mètre avec le canon modèle 1917 pour une cadence d’un coup en deux minutes.
Le canon de 240 TR modèle 1904 d’un poids en batterie de 48 tonne on ne pouvait le déplacer que par chemin de fer sur deux plateformes (truc), son obus était de 160 Kg et sa portée de 17 000 mètres. Vitesse de tir 1 coup toutes les deux minutes. Son mode de transport en deux éléments par voie ferrée sera un lourd handicape.
Pour finir cette série d’A.L.G.P je vous présenterais le mortier de 293 Schneider tout comme le 240 TR il utilise le même moyen de déplacement peu pratique. Il était initialement destiné à l’exportation d’où le calibre 293. Son obus fait 225 à 300 Kg pour une portée de 12 500 mètres. Sa vitesse de tir est de un coup en deux minutes.
De 1915 à 1918, la France mis également en œuvre des canons et obusiers classés dans la catégorie de l’artillerie lourde sur voie ferrée (A.L.V.F.). Ces pièces d’artillerie alliaient la puissance de feu et la vitesse de déplacement grâce au chemin de fer. On pouvait trouver entre autres : les canons de 305 ; 340 ; … et aussi l’obusier de 400 est surtout le monstrueux obusier sur rail de 520 modèle 1916. Son projectile de 1654Kg contenait 190 Kg d’explosif et était propulsé à 17 000 mètres. C’était un obusier d’une longueur de 8,35 mètre intégrée à une plateforme de chemin de fer à deux boggies de quatre essieux pour un poids total de 250 tonnes. L’ensemble était commandé électriquement pour le pointage et la mise à feu grâce à une centrale électrique embarquée. Il n’y eut, semble-t-il, que deux obusiers de ce type de fabriqué par les établissements Schneider et compagnie.
A suivre :
Le char de combat
Les canonnières fluviales en projet ...
Si vous voulez voir de beaux canons : http://canonspgmww1guns.canalblog.com/
La défaite de Napoléon III, face à la Prusse, a conduit la France, le 10 mai 1871, au Traité de Francfort qui lui a fait perdre l’Alsace et une partie de la Loraine.
Depuis cette date, l’Etat-major, qui a « les yeux rivés sur la ligne Bleue des Vosges » selon l’expression populaire de l’époque, veut se donner les moyens de prendre sa revanche. Le Commandement en Chef des armées, après avoir analysé les causes de cette défaite, met en évidence des déficiences graves dans le matériel de l'artillerie française. Cela se traduira par des études poussées pour doter l'armée de nouvelles pièces d'artillerie pour un usage de campagne et non plus de place forte. Il faut apporter des améliorations considérables aux canons. L’idée est d’avoir des matériels plus légers, plus puissants, plus maniables et avec une cadence de tir plus rapide. Mais pour réussir une arme à tir rapide il faut résoudre le problème du recul. Le canon qui est actuellement monté directement sur l’affut, bouge énormément à chaque tir. Il faut obligatoirement, reprendre le pointage en direction et en angle pour effectuer le tir suivant. C’est ce que l’on appelle : « remettre le canon en batterie ». Il serait possible de supprimer cette opération, ou du moins en réduire sa durée, en élaborant un système qui puisse permettre au canon de revenir à sa position initiale de tir après chaque coup. L’Allemagne à cette époque se posait les mêmes questions techniques. Cette recherche sera, menée par les deux pays avec tout ce que cela comporte d’espionnage de part et d’autre et ce sera le point de départ de l’affaire Dreyfus.
Faut-il un frein mécanique, pneumatique, hydraulique ou hydropneumatique ? Doit-on faire un recul court ou long du canon ?...
Le 17 décembre 1892, le Directeur des ateliers de Puteaux, le Commandant Deport polytechnicien et officier d'artillerie, fait savoir qu’il lui est possible de réaliser un canon employant un frein amortisseur de recul à longue course qui sera plus stable et plus puissant que le 52 mm du Capitaine Sainte-Claire Deville. Le principe du canon de 75 sans recul était né, il portera pour l’étude, la désignation 75 C. Par la suite on étudiera deux autres modèles le 75 A et 75 B pour faire diversion auprès des allemands. Il fut difficile de résoudre le problème d’étanchéité du frein amortisseur hydropneumatique. Le Commandant Deport qui était devenu entre temps Lieutenant-colonel demandera à partir à la retraite le 16 novembre 1894 et ne sera donc pas présent pour voir aboutir son projet. C’est au Capitaine Sainte-Claire Deville, assisté du Capitaine Rimailho, qu’il appartiendra de poursuivre l’étude du 75 C. Ensemble, Ils amélioreront le frein du 75 C et étudieront aussi tout son environnement et sa logistique. C’est ainsi qu’ils proposeront dès 1895, entre autres les freins de roues pour garantir une parfaite immobilité lors des tirs et un appareil de pointage qui fera de ce canon : le canon le plus performant et novateur de l'époque.
Suite à des essais de tir de 10 000 coups sans incident à une cadence de vingt coups par minute le canon sera officiellement adopté en 1897 sous le nom de "75 modèle 1897".
Ce canon allait bouleverser les concepts militaires de l’artillerie. Grâce à lui le canon léger de campagne à tir rapide était né. Mis en dotation en 1898 il sera de tous les combats y compris ceux de 1940 et terminera son service à la fin de la guerre d’Algérie.
Pour ceux qui souhaitent plus d’informations et de détail sur ce canon, je les invite à consulter ce site qui lui est dédié. http://www.canonde75.fr.st/
Au début de la Grande Guerre, en attendant la production en nombre suffisant de canons de 75 modèle 1897, on utilisa toutes les pièces anciennes disponibles dont les canons de place retirés en hâte des forts qui bordaient nos frontières de l’est. C’était des canon du Système Lahitolle ou Bange en calibres 80 ; 90 et 95. Il y eut aussi des canons de 75 Saint-Chamnod.
Une petite anecdote concernant le canon Bange de 90 : ce canon avait un fort recul et pour revenir plus rapidement en batterie, on plaçait des coins en bois derrière leurs roues pour que celles-ci puissent monter dessus pendant le recul. La pente les faisait redescendre vers l'avant et cela facilitait la remise en batterie.
L’armée française manquait aussi cruellement d’artillerie lourde de campagne, nous n’avions que 308 pièces alors que l’Allemagne pouvait en aligner le double. Il fallait équiper les nouvelles divisions d’artillerie fraîchement créées ainsi que les nouveaux corps d’armés. Le 23 septembre 1914 le haut commandement militaire demanda à Alexandre Millerand ministre de la guerre de prélever, dans l’urgence, sur les places fortes 108 pièces de 155 court Modèle 1881-1882 et 120 pièces de 220 Modèle 1891 afin de les affecter aux divisions d’artillerie lourde de campagne.
Il faudra attendre le 30 mai 1916 pour que soit définitivement adoptée la charte structurant cette nouvelle armée qui sera composée de 20 régiments d’artillerie lourde (A.L.) attelée et 10 régiments d’A.L. à tracteurs. La mise en place de ces 30 régiments et de la réserve se fit progressivement, au rythme des fabrications et c’est ainsi qu’il n’y eut que 109 canons d’A.L. pour l’offensive de champagne. Au printemps 1915 pour l’offensive d’Artois il y aura 361 pièces puis en septembre 1915 pour celle d’Artois-Champagne se sera 1 140. Pour la bataille de la Somme, 1200 et pour l’offensive de l’Aisne en 1917 nous seront en mesure d’aligner 2 000 pièces d’artillerie lourde.
Nous avions également de l’artillerie lourde à grande puissance (A.L.G.P.) composée de mortiers et de canons peu mobiles dont leur poids avoisinait les 30 à 50 tonnes.
Il y avait :
Le mortier G de 270 de Côte. (‘G’ pour Guerre). Avant la guerre c’était une batterie de défense côtière capable de tirer des obus de 150 à 230 Kg à plus de 10 000 mètres. La cadence est de 1 à 2 coups minute.
Le mortier Flloux de 370 Réalisé avec des canons de récupération de 240 ou 270 coupés et réalésés. Il pouvait tirer des obus de 400 à 500 Kg à plus de 10 000 mètre avec une cadence 1 coup toutes les trois minutes
Le canon de 240 modèle 1884 capable de propulser un obus de 160 Kg sur 16 800 mètres. La vitesse de tir est de un coup toutes les trois minutes.
Le canon de 240 sur affût Saint-Chamond, il se déplace généralement en deux partie sur deux camions. Sa portée est de 18 800 mètre avec le canon modèle 1917 pour une cadence d’un coup en deux minutes.
Le canon de 240 TR modèle 1904 d’un poids en batterie de 48 tonne on ne pouvait le déplacer que par chemin de fer sur deux plateformes (truc), son obus était de 160 Kg et sa portée de 17 000 mètres. Vitesse de tir 1 coup toutes les deux minutes. Son mode de transport en deux éléments par voie ferrée sera un lourd handicape.
Pour finir cette série d’A.L.G.P je vous présenterais le mortier de 293 Schneider tout comme le 240 TR il utilise le même moyen de déplacement peu pratique. Il était initialement destiné à l’exportation d’où le calibre 293. Son obus fait 225 à 300 Kg pour une portée de 12 500 mètres. Sa vitesse de tir est de un coup en deux minutes.
De 1915 à 1918, la France mis également en œuvre des canons et obusiers classés dans la catégorie de l’artillerie lourde sur voie ferrée (A.L.V.F.). Ces pièces d’artillerie alliaient la puissance de feu et la vitesse de déplacement grâce au chemin de fer. On pouvait trouver entre autres : les canons de 305 ; 340 ; … et aussi l’obusier de 400 est surtout le monstrueux obusier sur rail de 520 modèle 1916. Son projectile de 1654Kg contenait 190 Kg d’explosif et était propulsé à 17 000 mètres. C’était un obusier d’une longueur de 8,35 mètre intégrée à une plateforme de chemin de fer à deux boggies de quatre essieux pour un poids total de 250 tonnes. L’ensemble était commandé électriquement pour le pointage et la mise à feu grâce à une centrale électrique embarquée. Il n’y eut, semble-t-il, que deux obusiers de ce type de fabriqué par les établissements Schneider et compagnie.
A suivre :
Le char de combat
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
CLOSDELIF Jeu 05 Déc 2013, 10:36
Super et merci à deux titres !
-Pour le soutien dans ma campagne vis à vis des autres membres du Staff....
-Pour ce très bel article et sa suite probable ....
Je suis un gros nul en artillerie, mais le sujet me passionne !
Grâce à vous tous , et à TCAR, j'en apprends de plus en plus à chacune des interventions des spécialistes !
Concernant les chars, je suis un "aficionado" du FT 17 dont il me reste une belle maquette actuelle et le manuel d'utilisation d'origine.....ainsi qu'un exemplaire de l'Automobiliste traitant du sujet !
Non nobis Domine, non nobis, sed Nomini Tuo da Gloriam.
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Winchester 1866 Jeu 05 Déc 2013, 10:55
Pour des raisons mercantiles liées à l'économie de guerre :koenfeu: et à un honneur national qui n'avaient plus de mise face aux besoins urgents de chars de combat en 14-18 ;
l'utilisation du FT 17 n'a pu se faire qu'en fin de guerre. A cela on peut rajouter certaines incompétences comme par exemple oublier de commander les canons pour équiper le nouveau char. 
Il faudra attendre le 21 mars 1918, pour voir engager les 182 premiers chars FT 17 livrés.
Si c'est possible,c'est déjà fait. Si c'est impossible ça se fera
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Invité Jeu 05 Déc 2013, 10:59
Je soutiens ce plaidoyer !
Pour toi Marc, il est urgent de t'abonner à GBM (Guerre, blindés et matériel) où les articles sur l'artillerie abondent et bien sur notre FT17 national !
un aperçu:
http://blindes-materiel.histoireetcollections.com/
https://www.facebook.com/GBM.Magazine
ce magazine bi-mensuel est en vente dans toutes les bonnes librairies !
ZR
Pour toi Marc, il est urgent de t'abonner à GBM (Guerre, blindés et matériel) où les articles sur l'artillerie abondent et bien sur notre FT17 national !
un aperçu:
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
CLOSDELIF Jeu 05 Déc 2013, 11:14
Merci à toi......
Je connais cette excellente revue, et j'en prends un exemplaire de temps en temps....
Mais mon attrait pour l'artillerie est surtout, sauf exceptions comme de bien entendu, pour les pièces anciennes, voire haute époque.....
Mais je ne suis qu'un petit vermisseau artilleur d'opérette avec mes mortiers en cal 69 (
)
:chinese:
Je connais cette excellente revue, et j'en prends un exemplaire de temps en temps....
Mais mon attrait pour l'artillerie est surtout, sauf exceptions comme de bien entendu, pour les pièces anciennes, voire haute époque.....
Mais je ne suis qu'un petit vermisseau artilleur d'opérette avec mes mortiers en cal 69 (
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Invité Jeu 05 Déc 2013, 11:36
J'ai pour ma part une faiblesse pour l'artillerie embarquée sur de beaux navires en bois !
Ardesa cal 69
mon coté rêveur et Breton sans doute...
ZR
Ardesa cal 69
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ZR
Dernière édition par zouaverifle le Jeu 05 Déc 2013, 12:03, édité 1 fois
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
BOUZOU Jeu 05 Déc 2013, 11:37
puisqu'on parle de notre gloire nationale, un site sympa, un peu dans le meme esprit que le canon de 75.technique differente, mais sympa
http://rc-panzer.xooit.com/t5673-FtT-17-1-15-scale.htm?start=80
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La vraie liberté, ce n'est pas faire ce que l'on veut, mais devenir ce que l'on est.
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
CLOSDELIF Jeu 05 Déc 2013, 11:39
Super....Merci les amis....Encore, encore
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Invité Jeu 05 Déc 2013, 12:03
Sublime le FT !
ca me fait penser que mon SDKFZ 222 au 1/16 et RC attends que je m'occupe de lui...
ZR
ca me fait penser que mon SDKFZ 222 au 1/16 et RC attends que je m'occupe de lui...
ZR
Invité- Invité
Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
CLOSDELIF Jeu 05 Déc 2013, 12:09
Cela doit être génial à piloter.....zouaverifle a écrit:Sublime le FT !
ca me fait penser que mon SDKFZ 222 au 1/16 et RC attends que je m'occupe de lui...
ZR
Je me plais à imaginer un FT 17 radiocommandé et avec tourelle opérationnelle....
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Invité Jeu 05 Déc 2013, 12:18
Des rumeurs sur le marché de la maquette RC pourraient bientôt devenir une réalité !!!
le FT existe déjà au 1/16 mais non RC...
http://www.modellbau-koenig.de/Militaermodellbau__124/Fahrzeuge/Renault_FT-17_Char_Canon_Girod_turret_116__i96_37339_0.htm
ZR
le FT existe déjà au 1/16 mais non RC...
http://www.modellbau-koenig.de/Militaermodellbau__124/Fahrzeuge/Renault_FT-17_Char_Canon_Girod_turret_116__i96_37339_0.htm
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Invité- Invité
Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
CLOSDELIF Jeu 05 Déc 2013, 12:26
En RC , je craquerais probablement....
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Baccardi Jeu 05 Déc 2013, 12:53
Il paraît que les EM des régiments d'artillerie avaient un officier spécialiste appelé "OJ" pour officier journal 
Savez-vous pourquoi ?
Savez-vous pourquoi ?
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Richelieu ✝ Jeu 05 Déc 2013, 15:13
Dans mes vitrines,il y a une bonne cinquantaine de canons-jouets des deux guerres,de tous pays,certains plus vrais que nature,je peux en poster quelques uns.
Cdt
Cdt
En voulant respecter la lettre de la Loi
Tu trahis le coeur de la Loi
Jesus Christ
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Invité Jeu 05 Déc 2013, 15:19
Baccardi a écrit:Il paraît que les EM des régiments d'artillerie avaient un officier spécialiste appelé "OJ" pour officier journal
Savez-vous pourquoi ?
oui, pour retrouver les obus perdu pendant les tirs dans le journal du lendemain :twisted:
Invité- Invité
Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Winchester 1866 Jeu 05 Déc 2013, 15:28
Dans quelle armée Française ou Belge ou ... ? OJ peut vouloir dire Ordre journalier ... Donc peut être un officier de liaison ???Baccardi a écrit:Il paraît que les EM des régiments d'artillerie avaient un officier spécialiste appelé "OJ" pour officier journal
Savez-vous pourquoi ?
Si c'est possible,c'est déjà fait. Si c'est impossible ça se fera
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
HELIX Jeu 05 Déc 2013, 15:36
Beau travail de lobbying pour cette rubrique artillerie.
HELIX- Administrateur
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Invité Jeu 05 Déc 2013, 15:45
Un petit canon pour la route
https://www.tircollection.com/t12038-album-photo-d-un-poilu-de-100-photos-dans-ce-post
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Jipé 87 Jeu 05 Déc 2013, 16:47
Baccardi a écrit:Il paraît que les EM des régiments d'artillerie avaient un officier spécialiste appelé "OJ" pour officier journal
Savez-vous pourquoi ?
C'est peut-être lui qui était chargé de rédiger ou de collecter les "Journaux de marche" des régiments.
En temps de guerre, chaque unité tient (tenait ?) un "journal de marche" où étaient consignés chaque jour les événements de la journée (combats, liste des tués et des blessés, etc.)
On peut consulter, en particulier pour la Première Guerre Mondiale, de nombreux journaux de marche sur le site "Mémoire des Hommes" : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/article.php?laref=1
Par exemple pour le 43ème Régiment d'Artillerie Coloniale : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/arkotheque/inventaires/ead_ir_consult.php?ref=6&c=SHDGR__GR_26_N_1236__013
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
CLOSDELIF Jeu 05 Déc 2013, 17:02
Je te remercie pour ces encouragements qui viennent du fond du coeurHELIX a écrit:
Beau travail de lobbying pour cette rubrique artillerie.
Le Seigneur me le rappellera quand il s'agira de créer une rubrique "Baïonnettes"
(Çà, c'est du Jésuitisme par contre.....)
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
CLOSDELIF Jeu 05 Déc 2013, 17:04
Oui, oui....On avait d'ailleurs un peu commencé il fut un temps....Richelieu a écrit:Dans mes vitrines,il y a une bonne cinquantaine de canons-jouets des deux guerres,de tous pays,certains plus vrais que nature,je peux en poster quelques uns.
Cdt
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Winchester 1866 Jeu 05 Déc 2013, 19:12
Rubrique Baïonnettes, je suis partantCLOSDELIF a écrit:Je te remercie pour ces encouragements qui viennent du fond du coeurHELIX a écrit:
Beau travail de lobbying pour cette rubrique artillerie.
Le Seigneur me le rappellera quand il s'agira de créer une rubrique "Baïonnettes"
(Çà, c'est du Jésuitisme par contre.....)
je dois avoir quelques articles sur le sujet ...
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Richelieu ✝ Jeu 05 Déc 2013, 19:46
Le " 75 ",jouet de années 20,echelle 1/15,fonctionne et devait tirer des petite billes,aucunes marques sauf "Made in France "
url=https://servimg.com/view/12543451/1826]
[/url]
Canon de DCA anglais,marque MCL ?,pointage hauteur et dirrection,échelle ?,le servant est au 1/25,la hausse s'affiche sur un petit cadran..
url=https://servimg.com/view/12543451/1826]
[/url]Canon de DCA anglais,marque MCL ?,pointage hauteur et dirrection,échelle ?,le servant est au 1/25,la hausse s'affiche sur un petit cadran..
En voulant respecter la lettre de la Loi
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
Winchester 1866 Jeu 05 Déc 2013, 20:05
Merci ce sont de belles pièces avec un véritable soucis du détail
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Re: Plaidoyer de Closdelif pour une rubrique ARTILLERIE sur TCAR
CLOSDELIF Jeu 05 Déc 2013, 20:18
Ils sont vraiment magnifiques....Le 75 surtout peut être , j'adore
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