Water Quenched Bullets .
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deGuers
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sciure de bois
alors j'ai tenté,........... hormis la fumée???;;;; je suis revenu à la cire d'abeille que je trouve facilement. Je garde ma vieille recette. Mon moule aussi est HS bon il était vieux! je vais voir pour en acheter un autre.
Benoit andre- Membre
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Jeppesen- Pilier du forum
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bougie ou cire d'abeille??
La bougie fonctionne certes... j'ai essayé... mais j'aime bien jeter quelques noisettes de cire d'abeille, elles fument, prennent feu parfois, irisent le dessus du mélange de façon superbe..... mais comme elles sentent bon! donc je reste à la cire d'abeille.
Benoit andre- Membre
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Re: Water Quenched Bullets .
J'avoue humblement faire le fluxing avec n'importe quelles dégoulinures de bougie, de vieux débris de paraffine ou de cire de babybel ; pas encore sombré dans la graisse consistante ou le suif, mais en période de pénurie j'y viendrais peut-être...
Le suif serait peut-être intéressant car on l'utilisait en bain de décapage avant l'étamage au trempé : un bac de suif fondu à côté du bac d'étain fondu, l'étain surmonté d'une épaisseur de suif fondu. On trempe dans le suif et on ressort presque immédiatement pour tremper dans l'étain ; il semble que le suif en surface de ce bain ait plusieurs fonctions, protéger le bain d'étain de l'oxydation, re-décaper la pièce entrante et essorer les excès d'étain à la sortie (j'ai utilisé ce procédé pour ré-étamer des éléments de fusée d'obus en vue de coupes didactiques, et le résultat fut excellent).
La sciure de bois j'ai essayé aussi, avec la plus grande satisfaction : une fois la fumée dégazée ça s'enflamme un peu, puis il reste une poudre de charbon de bois qui ne se consume pas réellement et qui protège efficacement le plomb de l'oxydation (on fait d'ailleurs ça sur le bronze, des petits morceaux de charbon de bois délibérément versés dans le creuset - mais à la température du bronze, le charbon de bois se consume bien sûr assez vite).
La fumée ou l'odeur du bois cramé, ça ne dérange pas un néanderthalien qui s'est presque toujours exclusivement chauffé au bois...
Par contre, étant donné que je coule à la cuiller, la couche de charbon pulvérulent n'est pas acceptable ; je n'utilise donc la couverte de sciure que pour le lingotage de première fusion, ou la coulée de grosses pièces (contrepoids, poulies **, etc.)
NB : "couverte", c'est le terme utilisé en fonderie. Pour le bronze on utilise aussi le verre fondu, une canette de bière (bien sèche) brisée et jetée dans le creuset, mais c'est assez désagréable, ça englue le ringard, ça fait des fils comme le gruyère de la fondue...
Je serais assez intéressé par les explications chimiques concernant les effets des cires de fluxing ou de la sciure, sur le bain de plomb.
** Poulies en plomb durci : par exemple, quand on récupère un gros moteur électrique triphasé (c'est facilement gratuit, vu que plus personne n'a le triphasé) il est généralement équipé d'une poulie trapézoïdale multigorges. Mais pour une bonne vieille machine-outil traditionnelle il faudrait une poulie plate : c'est chiant à usiner, avec un alésage bien calibré et une rainure de clavette, et il faut un gros bout de métal...
Il est alors plus simple de couler autour de la poulie trapézoïdale en fonte ou acier une gangue en métal plus fusible, par exemple alu (genre alpax ou AS13, c'est à dire débris de vieux carters de bagnole), gangue qu'on ré-usine extérieurement pour la mettre au rond (et même bombée, y-a des astuces simples).
Mais les jours de flemme c'est plus facile en plomb durci, ça fond infiniment plus vite et en guise de moule on se contente d'une boîte de conserve au milieu de laquelle est placée la poulie originelle (bien pressée au fond, sinon elle flottera sur le plomb). Une fois la boîte de conserve enlevée (en la déchirant), ça s'usine très bien (en donnant avant chaque passe un coup de pinceau trempé dans le gazoil) ; et le poids n'est généralement pas gênant, au contraire.
Le suif serait peut-être intéressant car on l'utilisait en bain de décapage avant l'étamage au trempé : un bac de suif fondu à côté du bac d'étain fondu, l'étain surmonté d'une épaisseur de suif fondu. On trempe dans le suif et on ressort presque immédiatement pour tremper dans l'étain ; il semble que le suif en surface de ce bain ait plusieurs fonctions, protéger le bain d'étain de l'oxydation, re-décaper la pièce entrante et essorer les excès d'étain à la sortie (j'ai utilisé ce procédé pour ré-étamer des éléments de fusée d'obus en vue de coupes didactiques, et le résultat fut excellent).
La sciure de bois j'ai essayé aussi, avec la plus grande satisfaction : une fois la fumée dégazée ça s'enflamme un peu, puis il reste une poudre de charbon de bois qui ne se consume pas réellement et qui protège efficacement le plomb de l'oxydation (on fait d'ailleurs ça sur le bronze, des petits morceaux de charbon de bois délibérément versés dans le creuset - mais à la température du bronze, le charbon de bois se consume bien sûr assez vite).
La fumée ou l'odeur du bois cramé, ça ne dérange pas un néanderthalien qui s'est presque toujours exclusivement chauffé au bois...
Par contre, étant donné que je coule à la cuiller, la couche de charbon pulvérulent n'est pas acceptable ; je n'utilise donc la couverte de sciure que pour le lingotage de première fusion, ou la coulée de grosses pièces (contrepoids, poulies **, etc.)
NB : "couverte", c'est le terme utilisé en fonderie. Pour le bronze on utilise aussi le verre fondu, une canette de bière (bien sèche) brisée et jetée dans le creuset, mais c'est assez désagréable, ça englue le ringard, ça fait des fils comme le gruyère de la fondue...
Je serais assez intéressé par les explications chimiques concernant les effets des cires de fluxing ou de la sciure, sur le bain de plomb.
** Poulies en plomb durci : par exemple, quand on récupère un gros moteur électrique triphasé (c'est facilement gratuit, vu que plus personne n'a le triphasé) il est généralement équipé d'une poulie trapézoïdale multigorges. Mais pour une bonne vieille machine-outil traditionnelle il faudrait une poulie plate : c'est chiant à usiner, avec un alésage bien calibré et une rainure de clavette, et il faut un gros bout de métal...
Il est alors plus simple de couler autour de la poulie trapézoïdale en fonte ou acier une gangue en métal plus fusible, par exemple alu (genre alpax ou AS13, c'est à dire débris de vieux carters de bagnole), gangue qu'on ré-usine extérieurement pour la mettre au rond (et même bombée, y-a des astuces simples).
Mais les jours de flemme c'est plus facile en plomb durci, ça fond infiniment plus vite et en guise de moule on se contente d'une boîte de conserve au milieu de laquelle est placée la poulie originelle (bien pressée au fond, sinon elle flottera sur le plomb). Une fois la boîte de conserve enlevée (en la déchirant), ça s'usine très bien (en donnant avant chaque passe un coup de pinceau trempé dans le gazoil) ; et le poids n'est généralement pas gênant, au contraire.
Petite collection de documents anciens et récents : http://p.lacour.malvaux.free.fr/Arquebuses.htm
Re: Water Quenched Bullets .
Une véritable encyclopédie technique, j’espère que tu as pu passer le virus à quelques jeunes encore curieux.
Pour revenir au sujet, je me demande si cette technique, évoquée par DeGuers au sujet du .22 Hornet, ne pourrait être tentée pour le 6.5x52 Carcano, étant toujours à la recherche d'une solution palliative à la disparition de la balle Hornady .268 RN 160 Gr.
Pour revenir au sujet, je me demande si cette technique, évoquée par DeGuers au sujet du .22 Hornet, ne pourrait être tentée pour le 6.5x52 Carcano, étant toujours à la recherche d'une solution palliative à la disparition de la balle Hornady .268 RN 160 Gr.
Gé Tibla- Membre expert
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Localisation : Alpes de Haute Provence
Date d'inscription : 12/11/2017
Re: Water Quenched Bullets .
Ayant constaté que la mise au point d'une balle calepinée en 8 mm est déjà moins évidente qu'en 11 mm,
je n'oserais pas tenter le coup en 6.5 !
Plus la balle est longue par rapport à son diamètre, plus l'effet du gonflement par inertie est sensible, jusqu'à déformer exagérément la partie arrière (qui force alors bien trop dans le canon). Il faut donc durcir le plomb, un peu mais pas trop ... ça ajoute encore une variable, multipliant le nombre de combinaisons à tester.
je n'oserais pas tenter le coup en 6.5 !
Plus la balle est longue par rapport à son diamètre, plus l'effet du gonflement par inertie est sensible, jusqu'à déformer exagérément la partie arrière (qui force alors bien trop dans le canon). Il faut donc durcir le plomb, un peu mais pas trop ... ça ajoute encore une variable, multipliant le nombre de combinaisons à tester.
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balles durcies avec peinture epoxy
re- pour les balles de calibres moindre comme évoqué dans les messages précédents que pensez vous de les durcir extérieurement avec cette poudre déposée par électrolyse... et qui permet de durcir nettement l'extérieur des balles.
Seul le moule est difficile a trouver encore et reste onéreux à moins que l'on puisse se le confectionner....
La dureté arrive à 35 en dureté brinell, mais ne me semble pas toujours régulière.
Seul le moule est difficile a trouver encore et reste onéreux à moins que l'on puisse se le confectionner....
La dureté arrive à 35 en dureté brinell, mais ne me semble pas toujours régulière.
Benoit andre- Membre
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Localisation : landes
Date d'inscription : 18/04/2020
Re: Water Quenched Bullets .
Connais pas ... de quoi s'agit-il exactement ?Benoit andre a écrit:... durcir extérieurement avec cette poudre déposée par électrolyse...
J'essaie, tout au moins de pousser certains à tirer le maximum de leurs possibilités (en jargon à la mode je crois qu'on dit "sortir de sa zone de confort").Gé Tibla a écrit:Une véritable encyclopédie technique, j’espère que tu as pu passer le virus à quelques jeunes encore curieux ...
Avec quelques bons résultats ... chez des copains que vous ne connaissez pas, sauf un, qui fabriquait des boulons de chemin de fer et qu'à force d'insistance j'ai convaincu de s'essayer à l'usinage de balles de Lebel ... et qui maintenant ne fabrique plus aucun boulon de chemin de fer mais toute une gamme de projectiles et d'outils de rechargement !
J'espère que mes interventions parfois détaillées sur TCAR ont un peu d'effet dans ce sens ; c'est du moins l'objectif.
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Re: Water Quenched Bullets .
Objectif atteint !
deGuers- Pilier du forum
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Localisation : sous les tropiques ...
Date d'inscription : 23/12/2010
Re: Water Quenched Bullets .
J'ai eu les précisions par MP mais je préfère répondre ici, où la question fut posée :Benoit andre a écrit:... durcir extérieurement avec cette poudre déposée par électrolyse...
Il s'agissait d'un procédé de dépôt par électrolyse dont le collègue n'a finalement pas précisé les modalités, l'essai ayant été décevant...
Il a aussi mentionné le thermo-laquage, donc je renverrais aux sujets assez copieux de .... "Laurent C" ??, qui paraît emballé par les résultats en calibres pistolet.
Par ailleurs, "LP" l'a testé en 11 mm Gras et si je me souviens bien il était très satisfait, mais je ne sais pas si ça a tenu ses promesses en pleine charge (~ 450 m/s).
Le thermolaquage, c'est comme qui dirait un "calepinage en plastique", sans doute plus difficile à produire à l'unité mais bien plus facile à produire en nombre, et avec un potentiel de régularité certainement supérieur au calepin papier (par contre, pour le charme suranné des vieilles pratiques désuètes, on peut repasser).
Tant qu'à passer la revue, mentionnons les essais "d'électrocuivrage à domicile", par si je me souviens bien "Tupolef" et "Le Grascon"...
Petite collection de documents anciens et récents : http://p.lacour.malvaux.free.fr/Arquebuses.htm
power coating
voici la méthode que nous utilisons avec un tireur du club. Poudre peinture époxy thermolaquage industriel. dit avec l'anglicanisme suivant: Bullet powder coating.
Procédé de recouvrement des ogives en plomb par de la poudre de peinture époxy qui va venir englober l'ogive après un passage au four pour la chauffer et la faire fondre.
Permet aux tireurs qui rechargent de faire des rechargement avec des ogives plomb recouvertes d'une couche protectrice qui n'emplombera votre canon. Résistante au chocs la couche de peinture va se déformer pour prendre les rayures sans s'écailler. (Là c'est la pub qui dit cela...)
Conditionnement : 500g.
Convient pour tous les calibres d'armes de poing ou d'épaule. 223 remington, 300, 308, 309,311, 355, 356, 450, 451, 452, .....
Procédé d'application sur ogives chaudes:
1) faire chauffer les ogives environ 10 min à 60°C.
2) mettre les ogives chaudes dans une boîte en plastique avec un petit peu de poudre de peinture ( 1 cuillère à café pour environ 60 ogives) et mélanger énergiquement durant 1 à 2 min de façon à bien faire coller la poudre aux ogives.
3) faire chauffer au four entre 220, 230°C durant 20 min en surveillant toutes les 5 min que cela se passe bien.
4) tout de suite à la fin de la cuisson plonger les ogives dans de l'eau froide pour créer un choc thermique et ainsi augmenter l'indice de dureté de votre plomb.
5) pour terminer, il vous suffit de les passer au re calibreur avant de les monter sur vos douilles (nous nous sommes aperçu que ce calibrage final ne servait à rien, vu qu'on calibre les balles après qu'elle aient été coulées).
C'est un autre tireur qui est très "méticuleux" m'a précisé qu'il fallait utiliser une boite plastique recyclable niveau 5 pour un résultat optimal. Par contre lui ne les plonge visiblement pas dans l'eau.
Plusieurs vidéos expliquent avec plus ou moins quelques différences cette fabrication.
Benoît andré.
Procédé de recouvrement des ogives en plomb par de la poudre de peinture époxy qui va venir englober l'ogive après un passage au four pour la chauffer et la faire fondre.
Permet aux tireurs qui rechargent de faire des rechargement avec des ogives plomb recouvertes d'une couche protectrice qui n'emplombera votre canon. Résistante au chocs la couche de peinture va se déformer pour prendre les rayures sans s'écailler. (Là c'est la pub qui dit cela...)
Conditionnement : 500g.
Convient pour tous les calibres d'armes de poing ou d'épaule. 223 remington, 300, 308, 309,311, 355, 356, 450, 451, 452, .....
Procédé d'application sur ogives chaudes:
1) faire chauffer les ogives environ 10 min à 60°C.
2) mettre les ogives chaudes dans une boîte en plastique avec un petit peu de poudre de peinture ( 1 cuillère à café pour environ 60 ogives) et mélanger énergiquement durant 1 à 2 min de façon à bien faire coller la poudre aux ogives.
3) faire chauffer au four entre 220, 230°C durant 20 min en surveillant toutes les 5 min que cela se passe bien.
4) tout de suite à la fin de la cuisson plonger les ogives dans de l'eau froide pour créer un choc thermique et ainsi augmenter l'indice de dureté de votre plomb.
5) pour terminer, il vous suffit de les passer au re calibreur avant de les monter sur vos douilles (nous nous sommes aperçu que ce calibrage final ne servait à rien, vu qu'on calibre les balles après qu'elle aient été coulées).
C'est un autre tireur qui est très "méticuleux" m'a précisé qu'il fallait utiliser une boite plastique recyclable niveau 5 pour un résultat optimal. Par contre lui ne les plonge visiblement pas dans l'eau.
Plusieurs vidéos expliquent avec plus ou moins quelques différences cette fabrication.
Benoît andré.
Benoit andre- Membre
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Date d'inscription : 18/04/2020
Re: Water Quenched Bullets .
Rien pour les balles froides ? Parce que si ce coating n'est que sur l'ogive , le canon va emplomber sévère .
deGuers- Pilier du forum
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Localisation : sous les tropiques ...
Date d'inscription : 23/12/2010
Re: Water Quenched Bullets .
Bonjour.deGuers a écrit:... Parce que si ce coating n'est que sur l'ogive , le canon va emplomber sévère .
Je suis bien du même avis.
Aghjola- Membre averti
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Age : 69
Date d'inscription : 12/12/2022
podwer coating
re
les balles froides... visiblement cela fonctionne moins bien dessus.
Quant à avoir ce type de traitement sur une seule partie de la balle c'est impossible, la poudre se colle partout, et lors de la cuisson elle se colle sur toute la balle.
la cuisson vient faire adhérer cette poudre qui devient brillante et dure (de 10 a 15 en dureté brinell) sur toute la superficie du projectile.
Une vidéo conne quelques éléments, mais il y en a d'autres: https://www.bing.com/ck/a?!&&p=57ee8119e91f0cdfJmltdHM9MTcwNzg2ODgwMCZpZ3VpZD0wMTg4NGFmYi04MWZjLTY2NTItMWU2Ny01ZWYwODA0NTY3YjkmaW5zaWQ9NTIxMA&ptn=3&ver=2&hsh=3&fclid=01884afb-81fc-6652-1e67-5ef0804567b9&psq=balles+podwer+coating+vid%c3%a9o&u=a1aHR0cHM6Ly93d3cueW91dHViZS5jb20vd2F0Y2g_dj03RVVlNUVXbm5SRQ&ntb=1
les balles froides... visiblement cela fonctionne moins bien dessus.
Quant à avoir ce type de traitement sur une seule partie de la balle c'est impossible, la poudre se colle partout, et lors de la cuisson elle se colle sur toute la balle.
la cuisson vient faire adhérer cette poudre qui devient brillante et dure (de 10 a 15 en dureté brinell) sur toute la superficie du projectile.
Une vidéo conne quelques éléments, mais il y en a d'autres: https://www.bing.com/ck/a?!&&p=57ee8119e91f0cdfJmltdHM9MTcwNzg2ODgwMCZpZ3VpZD0wMTg4NGFmYi04MWZjLTY2NTItMWU2Ny01ZWYwODA0NTY3YjkmaW5zaWQ9NTIxMA&ptn=3&ver=2&hsh=3&fclid=01884afb-81fc-6652-1e67-5ef0804567b9&psq=balles+podwer+coating+vid%c3%a9o&u=a1aHR0cHM6Ly93d3cueW91dHViZS5jb20vd2F0Y2g_dj03RVVlNUVXbm5SRQ&ntb=1
Benoit andre- Membre
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Age : 68
Localisation : landes
Date d'inscription : 18/04/2020
Re: Water Quenched Bullets .
Certes, mais je me fiche un peu que l'ogive soit couverte d'un enduit protecteur...
Donc si le laquage partiel n'est pas possible, c'est toute la balle que je laquerais, et pas simplement l'ogive !
La distinction est d'importance parce que justement, en calepinage papier on ne calepine JAMAIS l'ogive.
Donc si le laquage partiel n'est pas possible, c'est toute la balle que je laquerais, et pas simplement l'ogive !
La distinction est d'importance parce que justement, en calepinage papier on ne calepine JAMAIS l'ogive.
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