Présentation d'un fusil d'infanterie Mle 1857 transformé tabatière

Kerax a écrit:... la bretelle n'est sûrement du bon modèle mais bon elle était avec ...

Verchère a écrit:

Kerax a écrit:... la bretelle n'est sûrement du bon modèle mais bon elle était avec ...

Faut voir... la boucle paraît être à ardillon...
D'ailleurs, quel était le "bon modèle" ?
La bretelle en vigueur (celle du Chassepot) ?
Ou la bretelle de l'arme originelle ? Lors de la modification d'armes anciennes en stock, la bretelle était-elle restée dessus au stockage ? Car elle ne fait pas partie de l'arme, mais des équipements.
On a un peu de doc sur la bretelle réglementaire en 1863, qu'on retrouvera avec assez peu de modifications sur les Lebel et Berthier en 1914. Le modèle précédent serait 1845, avec une boucle de forme plus élégante.

Kerax a écrit:Non malheureusement pas de date visible.
Non Phil je ne tire pas non plus avec ces armes,elles pourraient cependant car les rayures sont vraiment belles.
Je tire avec des armes un peu plus modernes style Gras mais très rarement ,une fois d'ailleurs avec chacune et c'est tout.et plus souvent avec des armes PSF fin XIX eme.

Disons que j'aime bien toute cette période Second Empire et 1870/71.

Rakamlerouge a écrit:bonjour,
en complément quelques photos du mien, sur la base d'un 1857 sorti à la MAS en 1860. Avec sa baïonnette 1857.





Le numéro de série est plus petit, marquages de bois avec des poinçons d'autres personnels du contrôle

Rakamlerouge a écrit:Bonjour,
Les entreprises privées ayant eu des marchés pour la transformation des fusils  d'infanterie Mle 1857 sont :
- Rouart-Mignon pour 100 000 exemplaires (Paris)
- Godwin pour 60 000 (Paris)
- Teillères-Bertaix pour 50 000 (Ivry)
- Cahen-Lyon pour 50 000 (Compagnie des Chantiers à Lyon)
- Guétier- de Branville pour 5000 (Paris)

Je ne vois pas auquel peut s'apparenter le trigramme CRG ...
De Bussière à Graffenstaden avait un contrat pour la transformation de 10 000 carabines, ainsi que Joubert (Versailles) pour 40 000

La transformation complète était payée 24 Frs

La lettre N (ou L sur le mien) située derrière la queue de culasse est certainement l'initiale du contrôleur affecté chez l'industriel pour vérifier la mise en bois de la transformation. Le nom sous la poignée , derrière la sous garde est je pense antérieure à la transformation.

Tico a écrit:Bonsoir Rakam,
Beau témoin avec sa belle patine
Pour le CBG présent sur les 2 premiers exemplaires présentés, quelle serait votre hypothèse ou affirmation ?
Par ailleurs également pour le N
Merci

Tico a écrit:

Rakamlerouge a écrit:Bonjour,
Les entreprises privées ayant eu des marchés pour la transformation des fusils  d'infanterie Mle 1857 sont :
- Rouart-Mignon pour 100 000 exemplaires (Paris)
- Godwin pour 60 000 (Paris)
- Teillères-Bertaix pour 50 000 (Ivry)
- Cahen-Lyon pour 50 000 (Compagnie des Chantiers à Lyon)
- Guétier- de Branville pour 5000 (Paris)

Je ne vois pas auquel peut s'apparenter le trigramme CRG ...
De Bussière à Graffenstaden avait un contrat pour la transformation de 10 000 carabines, ainsi que Joubert (Versailles) pour 40 000

La transformation complète était payée 24 Frs