Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
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Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Suite à mon post rechargement 9x23 ma solution, je lance un nouveau sujet dans la rubrique fonte des balles pour développer la fabrication de mon ogive propre à mon steyr hahn 1912
Mon but est de finaliser une ogive de 115grains et de 9.15mm de diamètre, pour avoisiner mon fond de rayures 9.19 , le port des équipements de protection est de rigueur pour les manipulations décrites ci dessous
La fabrication du moule, pour faire simple avec un moule en une seule partie, j’ai utilisé une fraise de forme ogivale, un bout d’alu et un usinage de la profondeur requise pour avoir une 115gr, j’ai récupéré la pièce d’un moule lee pour le remplissage et fermeture du moule, le démoulage est extra car vu la forme de l’ogive il est très aisé
Pour donner une forme correcte à mon ogive je la passe dans un calibreur de 358, vu sa forme conique heureusement que j’ai une RCBS rock chuker, après ce calibrage mon ogive commence à avoir une allure sympathique .Il me faut polir le fond du moule l’état de surface n’est pas parfait sur le nez de l’ogive.
Je me suis lancé dans l’électrolyse sans avoir de notions particulières en la matière, j’ai réalisé une anode circulaire diamètre 270mm reliée au plus de mon alimentation en cuivre bien sur, faite avec un morceau de cuivre de 50mm x 5mm ancien jeu de barre d’une armoire électrique, ma première cathode une tôle percée sur laquelle je pensais poser mes ogives base vers le haut, faire une première électrolyse retourner mes ogives et une seconde passe pour cuivrer la tête des ogives, mais le résultat ne m’a pas plu les deux couches superposées ont donné un fini médiocre avec les différences d’épaisseur, comment tenir les ogives sans avoir de manques !!!!!!! Ma deuxième solution une cathode circulaire diamètre 100mm avec un plat inox de 20mm x 4mm des trous diamètre 3 espace 10 mm traversés par des vis de 3; le support des ogives, des ressorts de pince à linge pour avoir un simple petite marque minuscule non cuivrée avec une autre passe sur la base je pense avoir un bon résultat homogène, l’ogive présentée et celles que j’ai tiré n’ont été électrolysées une seule fois, mon support peut recevoir 62 ogives.
Les ogives sont dégraissées dans une solution d’eau avec 25% d’acide chlorhydrique récipient un seau en plastique, ma mixture : du sulfate de cuivre 0.6l (600g) il a une densité égale à 1 j’ai pesé, acide sulfurique 32 B celle des batterie neuve bien sur 0.6l , et 4.8l d’eau distillée fer à repasser en fait une préparation de 6l, pour ceux qui ont du mal je vous le fais en % , 10% sulfate, 10% acide, 80% eau distillée, j’essaye d’être précis au risque d’être confus, l’alimentation celle de mon atelier j’ai inséré en plus un vieux ampèremètre récupéré sur un chargeur basique, le loi de Faraday Q = IxT , Q quantité de métal déposé, I intensité du courant transitant par l’électrolyse et T le temps d’électrolyse facile à interpréter, mon courant constant a été de 2.8A à 3A mon temps 1heure, la distance entre anode et cathode 8cm , je trouve mes formes circulaires adaptées pour l’homogénéité peut être à tort les spécialistes pourront me reprendre sans problèmes je suis inculte en la matière, peu importe les moyens seul le résultat compte, pour info ma tension 0.6V , mon épaisseur déposé 0.05mm soit 1 /10 au diamètre, je n’ai pas chauffer l’ensemble bien que cela serait facile, mais je crains un dégagement gazeeux plus prononcé, par contre j’ai mis le liquide en mouvement avec une petite pompe à air d’aquarium, le tube passé dans un trou de l’anode circulaire.
Pour le recalibrage une fois cuivré, j’ai percé à 9mm une vis de 7/8x14X2pouces TH la tête est passée au tour pour recevoir le bocal des calibreurs lee, j’ai utilisé un alésoir à main pour avoir l’alésage requis, pour contrôler ma cotes j’ai fait avec une pige calibrée au diamètre on peut affiner lentement pour un bon résultat, prendre le temps de travailler, c’est le prix du succès…….
J’ai l’intention d’améliorer quelques points,faire un manche en bois pour mon moule et peut être un moule deux ogives, mettre mon seau en mouvement avec un oscillateur, utiliser une alim autre dédié à la chose, je me demande comme sont maintenues celles faites par des pros pour les cuivrer intégralement du premier coup, un genre de cylindre du style des grilloirs de châtaignes montés sur un axe ????????? des membres du forums savent-ils la méthode ???????
Pour l’instant mes premières ogives se sont bien comportées voir mon sujet
(Rechargement 9x32 steyr ma solution)
Les ogives sorties du moule et le moule maison, le manche en bois est à venir
La fraise qui a servi à creuser le moule
les ogives calibrées à 358
La première cathode
Anode et cathode circulaires
Cathode avec ogives
Le seau, la solution, l'anode, la cathode, et le tuyau de la pompe à air
La vis TH 7/8x14x2
Le calibreur maison avec l'alésoir
de gauche à droite ogives sortie de l'électrolyse et ogive recalibrée
le poids il me faut rectifier le moule pour gagner 4 grains (aisé)
Mon but est de finaliser une ogive de 115grains et de 9.15mm de diamètre, pour avoisiner mon fond de rayures 9.19 , le port des équipements de protection est de rigueur pour les manipulations décrites ci dessous
La fabrication du moule, pour faire simple avec un moule en une seule partie, j’ai utilisé une fraise de forme ogivale, un bout d’alu et un usinage de la profondeur requise pour avoir une 115gr, j’ai récupéré la pièce d’un moule lee pour le remplissage et fermeture du moule, le démoulage est extra car vu la forme de l’ogive il est très aisé
Pour donner une forme correcte à mon ogive je la passe dans un calibreur de 358, vu sa forme conique heureusement que j’ai une RCBS rock chuker, après ce calibrage mon ogive commence à avoir une allure sympathique .Il me faut polir le fond du moule l’état de surface n’est pas parfait sur le nez de l’ogive.
Je me suis lancé dans l’électrolyse sans avoir de notions particulières en la matière, j’ai réalisé une anode circulaire diamètre 270mm reliée au plus de mon alimentation en cuivre bien sur, faite avec un morceau de cuivre de 50mm x 5mm ancien jeu de barre d’une armoire électrique, ma première cathode une tôle percée sur laquelle je pensais poser mes ogives base vers le haut, faire une première électrolyse retourner mes ogives et une seconde passe pour cuivrer la tête des ogives, mais le résultat ne m’a pas plu les deux couches superposées ont donné un fini médiocre avec les différences d’épaisseur, comment tenir les ogives sans avoir de manques !!!!!!! Ma deuxième solution une cathode circulaire diamètre 100mm avec un plat inox de 20mm x 4mm des trous diamètre 3 espace 10 mm traversés par des vis de 3; le support des ogives, des ressorts de pince à linge pour avoir un simple petite marque minuscule non cuivrée avec une autre passe sur la base je pense avoir un bon résultat homogène, l’ogive présentée et celles que j’ai tiré n’ont été électrolysées une seule fois, mon support peut recevoir 62 ogives.
Les ogives sont dégraissées dans une solution d’eau avec 25% d’acide chlorhydrique récipient un seau en plastique, ma mixture : du sulfate de cuivre 0.6l (600g) il a une densité égale à 1 j’ai pesé, acide sulfurique 32 B celle des batterie neuve bien sur 0.6l , et 4.8l d’eau distillée fer à repasser en fait une préparation de 6l, pour ceux qui ont du mal je vous le fais en % , 10% sulfate, 10% acide, 80% eau distillée, j’essaye d’être précis au risque d’être confus, l’alimentation celle de mon atelier j’ai inséré en plus un vieux ampèremètre récupéré sur un chargeur basique, le loi de Faraday Q = IxT , Q quantité de métal déposé, I intensité du courant transitant par l’électrolyse et T le temps d’électrolyse facile à interpréter, mon courant constant a été de 2.8A à 3A mon temps 1heure, la distance entre anode et cathode 8cm , je trouve mes formes circulaires adaptées pour l’homogénéité peut être à tort les spécialistes pourront me reprendre sans problèmes je suis inculte en la matière, peu importe les moyens seul le résultat compte, pour info ma tension 0.6V , mon épaisseur déposé 0.05mm soit 1 /10 au diamètre, je n’ai pas chauffer l’ensemble bien que cela serait facile, mais je crains un dégagement gazeeux plus prononcé, par contre j’ai mis le liquide en mouvement avec une petite pompe à air d’aquarium, le tube passé dans un trou de l’anode circulaire.
Pour le recalibrage une fois cuivré, j’ai percé à 9mm une vis de 7/8x14X2pouces TH la tête est passée au tour pour recevoir le bocal des calibreurs lee, j’ai utilisé un alésoir à main pour avoir l’alésage requis, pour contrôler ma cotes j’ai fait avec une pige calibrée au diamètre on peut affiner lentement pour un bon résultat, prendre le temps de travailler, c’est le prix du succès…….
J’ai l’intention d’améliorer quelques points,faire un manche en bois pour mon moule et peut être un moule deux ogives, mettre mon seau en mouvement avec un oscillateur, utiliser une alim autre dédié à la chose, je me demande comme sont maintenues celles faites par des pros pour les cuivrer intégralement du premier coup, un genre de cylindre du style des grilloirs de châtaignes montés sur un axe ????????? des membres du forums savent-ils la méthode ???????
Pour l’instant mes premières ogives se sont bien comportées voir mon sujet
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Les ogives sorties du moule et le moule maison, le manche en bois est à venir
La fraise qui a servi à creuser le moule
les ogives calibrées à 358
La première cathode
Anode et cathode circulaires
Cathode avec ogives
Le seau, la solution, l'anode, la cathode, et le tuyau de la pompe à air
La vis TH 7/8x14x2
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de gauche à droite ogives sortie de l'électrolyse et ogive recalibrée
le poids il me faut rectifier le moule pour gagner 4 grains (aisé)
Le grascon- Membre averti
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Si tu essaies de faire un moule à 2 cavités, avec ta méthode tu auras bien du mal à les faire identiques... Peut-être vaut-il mieux te satisfaire d'une cavité à la fois.
Sinon, pour le cuivrage je suis bluffé.
Effectivement, en argenture j'avais vu les pièces en vrac dans un tonnelet perforé en plastique, immergé dans le bain et tournant sous l'action d'un petit moto-réducteur. L'électrode étant formée par des tiges ou plaques placées à l'intérieur, le jus y arrivant par les crochets de suspension du tonneau, puis par les demi-axes.
La distribution du courant dans les pièces s'effectuait donc par simple contact entre les pièces s'entrechoquant.
Mais il y avait aussi des grilles verticales pourvues de paires de lamelles formant pinces élastiques, un peu comme ton dispositif circulaire. En industrie, pour traiter beaucoup de pièces ce sont des cuves en longueur, avec anodes réparties sur la longueur, donc les supports de pièces sont plutôt en plans verticaux et non pas circulaires. Pour éviter les dépôts inutiles (surtout si c'est de l'argent ou de l'or) les supports sont plastifiés (le plastique est ensuite gratté sur le bout des pinces pour permettre la conductivité).
La pompe c'est très bien ; on dirait tout de même que tu n'as pas fait ça au pif, et que tu t'est bien renseigné...
L'intensité de courant doit être fonction de la surface à traiter ; avec moins de pièces il faut réduire en proportion. On parle de "densité de courant", le nombre d'ampères par cm² de surface de pièce. Une fois celle-ci définie en fonction du bain et du métal à traiter, ça permet de faire pareil sur d'autres pièces sans (trop) tâtonner.
Une densité de courant trop élevée va déposer rapidement une forte épaisseur, mais ça ne tiendra pas bien ; une densité trop faible pourra provoquer un dépôt incomplètement couvrant ; il n'est pas toujours simple de trouver la densité optimale.
Sinon, certains facteurs favorisent la résistance du dépôt : traitements préalables, température du bain, produits divers ajoutés dans le bain... Mais je ne me souviens plus des détails utilisés par un copain qui faisait cuivre, argent, or et nickel (mais pas sur du plomb).
Ton dépôt, il résiste bien au tir ? (un petit chargeur dans la piscine...)
Sinon, pour le cuivrage je suis bluffé.
Effectivement, en argenture j'avais vu les pièces en vrac dans un tonnelet perforé en plastique, immergé dans le bain et tournant sous l'action d'un petit moto-réducteur. L'électrode étant formée par des tiges ou plaques placées à l'intérieur, le jus y arrivant par les crochets de suspension du tonneau, puis par les demi-axes.
La distribution du courant dans les pièces s'effectuait donc par simple contact entre les pièces s'entrechoquant.
Mais il y avait aussi des grilles verticales pourvues de paires de lamelles formant pinces élastiques, un peu comme ton dispositif circulaire. En industrie, pour traiter beaucoup de pièces ce sont des cuves en longueur, avec anodes réparties sur la longueur, donc les supports de pièces sont plutôt en plans verticaux et non pas circulaires. Pour éviter les dépôts inutiles (surtout si c'est de l'argent ou de l'or) les supports sont plastifiés (le plastique est ensuite gratté sur le bout des pinces pour permettre la conductivité).
La pompe c'est très bien ; on dirait tout de même que tu n'as pas fait ça au pif, et que tu t'est bien renseigné...
L'intensité de courant doit être fonction de la surface à traiter ; avec moins de pièces il faut réduire en proportion. On parle de "densité de courant", le nombre d'ampères par cm² de surface de pièce. Une fois celle-ci définie en fonction du bain et du métal à traiter, ça permet de faire pareil sur d'autres pièces sans (trop) tâtonner.
Une densité de courant trop élevée va déposer rapidement une forte épaisseur, mais ça ne tiendra pas bien ; une densité trop faible pourra provoquer un dépôt incomplètement couvrant ; il n'est pas toujours simple de trouver la densité optimale.
Sinon, certains facteurs favorisent la résistance du dépôt : traitements préalables, température du bain, produits divers ajoutés dans le bain... Mais je ne me souviens plus des détails utilisés par un copain qui faisait cuivre, argent, or et nickel (mais pas sur du plomb).
Ton dépôt, il résiste bien au tir ? (un petit chargeur dans la piscine...)
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Bonjour Verchère,
Je pense que tu as raison pour la simple cavité surtout que cela est rapide avec une seule.
Pour le dépôt de cuivre je suis aussi de ton avis un dépôt assez long est préférable qu’un dépôt rapide, je compare avec les colles à séchage rapide le séchage long est préférable et plus solide à mon avis, tout comme l’enduit d’une maison fait sous un soleil de plomb et un fait en plusieurs couches avec séchage lent avec une température raisonnable, Mon cuivrage a l’air de bien adhérer, je serais curieux de voir le résultat de la piscine, j’ai pas de piscine et convaincre un ami que la balle ne fera pas de dégât c’est pas gagné, peut on faire la même chose dans un bidon de 200 litres ???? Je ne le sens pas vraiment, le dégraissage me semble capital, j’ai glané quelques infos sur la toile mais ce n’est pas évident, j’ai quelques connaissances en électricité pas en chimie, j’essaye de faire avec mon bon sens qui pour l’occasion peut sembler déconnant, en fait chacun crée ses propres données et combines avec des règles de base, j’ai eu l’idée de remuer la solution d’électrolyse en regardant mon aquarium, je suis aussi aquariophile, mais là aussi c’est peut être une grosse erreur, ma cathode circulaire ne trempe pas dans le bain simplement les ogives mon plat inox de 30 ne se cuivre pas, je vais faire un essai en plaçant mon seau sur un oscillateur sans la pompe à air pour constater le résultat.
Je pense que tu as raison pour la simple cavité surtout que cela est rapide avec une seule.
Pour le dépôt de cuivre je suis aussi de ton avis un dépôt assez long est préférable qu’un dépôt rapide, je compare avec les colles à séchage rapide le séchage long est préférable et plus solide à mon avis, tout comme l’enduit d’une maison fait sous un soleil de plomb et un fait en plusieurs couches avec séchage lent avec une température raisonnable, Mon cuivrage a l’air de bien adhérer, je serais curieux de voir le résultat de la piscine, j’ai pas de piscine et convaincre un ami que la balle ne fera pas de dégât c’est pas gagné, peut on faire la même chose dans un bidon de 200 litres ???? Je ne le sens pas vraiment, le dégraissage me semble capital, j’ai glané quelques infos sur la toile mais ce n’est pas évident, j’ai quelques connaissances en électricité pas en chimie, j’essaye de faire avec mon bon sens qui pour l’occasion peut sembler déconnant, en fait chacun crée ses propres données et combines avec des règles de base, j’ai eu l’idée de remuer la solution d’électrolyse en regardant mon aquarium, je suis aussi aquariophile, mais là aussi c’est peut être une grosse erreur, ma cathode circulaire ne trempe pas dans le bain simplement les ogives mon plat inox de 30 ne se cuivre pas, je vais faire un essai en plaçant mon seau sur un oscillateur sans la pompe à air pour constater le résultat.
Le grascon- Membre averti
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Cuivrage d'ogive
Félicitation à nos spécialistes, je suis en extase devant de telles réalisations.
Le plomb avant cuivrage a t'il une dureté supérieure ?
jean louis
Le plomb avant cuivrage a t'il une dureté supérieure ?
jean louis
Jean Louis- Futur pilier
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Jean Louis a écrit:Félicitation à nos spécialistes, je suis en extase devant de telles réalisations.
Alors là, moi aussi, comme devant ceux qui envoient des petits robots sur Mars
Pocomas- Administrateur
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Mais ceux-là le font à grands frais, en puisant autant qu'ils peuvent au fond de notre poche.Pocomas a écrit:Alors là, moi aussi, comme devant ceux qui envoient des petits robots sur Mars
Ce n'est même plus la veine capitaliste des Edison, qui se serraient la ceinture, louvoyaient entre les créanciers et se débrouillaient avec du matériel de circonstance jusqu'au moment où (peut-être) leur invention bien au point les ferait tomber dans l'opulence...
Sinon, dans mon gros dictionnaire technique je n'ai pas trouvé grand chose sur le cuivrage : si le métal résiste au sulfate de cuivre on emploie un bain acide, sinon un bain au cyanure (difficile à se procurer).
Le bain acide est généralement formé de sulfate cuivrique et d'acide sulfurique, anode en cuivre électrolytique, densité de courant entre 1 et 5 A / dm² (soit une tension de 2 à 3 V), température 30 à 50 °.
Une densité de courant trop forte produit un dégagement gazeux sur les pièces, et un dépôt granuleux fin et non adhérent.
Je n'ai rien trouvé de plus, et rien qui soit spécifique au plomb...
Il est normal que le récipient inox ne se cuivre pas, s'il n'est pas relié au - ; pour le brassage, ne pas oublier qu'une bonne partie de l'énergie électrique est dissipée en effet Joule par la résistance du bain, et que le faible échauffement qui en résulte peut créer une convection brassant légèrement le bain.
Pour le "tir en piscine" dans un fût de 200 litres, c'est pas sûr : si des balles rapides (fusil "de guerre") s'arrêtent presque net (en dissipant une énergie suffisant peut-être à vider le tonneau d'un coup, voire à le fendre), les balles lentes font plusieurs mètres. Un tuyau d'égoût (en PVC) de 3 m de long, fermé d'un bout et calé à 45°, suffit pour du 44-40 (mais le bouchon éclate assez vite).
Mais si tu passes dans le coin...
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Ah oui, quand même,
Si avec tout ça on n'arrive pas à tirer droit avec nos tromblons c'est à désespérer.
J'imagine la tête de Mme "le grascon" au moment d'étendre sa lessive
"Chéri, viens vite il y a un malade qui m'a piqué tous les ressorts des pinces à linge...."
A+
Si avec tout ça on n'arrive pas à tirer droit avec nos tromblons c'est à désespérer.
J'imagine la tête de Mme "le grascon" au moment d'étendre sa lessive
"Chéri, viens vite il y a un malade qui m'a piqué tous les ressorts des pinces à linge...."
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Arquebuse- Membre confirmé
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Date d'inscription : 07/12/2012
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Merci Verchère pour tes données technique qui sont bonnes à exploiter, pour la cathode je l'ai fait sciemment,
j'ai bien relié le moins au cercle d'inox avec une vis de 6, le courant transite par les vis de 3 et ensuite par
les ressorts d'épingle à linge, le niveau de liquide recouvre les ogives de 1cm, cela évite de cuivrer inutilement
l'inox, je vais gamberger ton histoire de tube PVC.
Arquebuse Madame le Grascon est habituée à voir des trucs bizarres et variés dans mon atelier
j'ai bien relié le moins au cercle d'inox avec une vis de 6, le courant transite par les vis de 3 et ensuite par
les ressorts d'épingle à linge, le niveau de liquide recouvre les ogives de 1cm, cela évite de cuivrer inutilement
l'inox, je vais gamberger ton histoire de tube PVC.
Arquebuse Madame le Grascon est habituée à voir des trucs bizarres et variés dans mon atelier
Le grascon- Membre averti
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Age : 66
Localisation : Gers
Date d'inscription : 15/04/2015
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Jean Louis, j'ai oublié de te répondre pour le moment c'est du plomb basique non durci, mais il serait bon de savoir la meilleure solution !!!!!!!!
Le grascon- Membre averti
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Date d'inscription : 15/04/2015
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Alors là mon ami j'en reste
lou gascoun- Pilier du forum
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Localisation : Au pays de d'Artagnan et du bien vivre.
Date d'inscription : 09/03/2009
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Moi aussi, je suis estomaqué.
Ayant prévu de fabriquer cet hiver quelques régulateurs électroniques à usages variés, vous pensez bien que je vais tenter le coup (d'autant que j'ai bien 10 kg de sulfate de cuivre en stock).
Si ça faisait tache d'huile, le célèbre fabriquant de balles cuivrées ferait grise mine !
Ayant prévu de fabriquer cet hiver quelques régulateurs électroniques à usages variés, vous pensez bien que je vais tenter le coup (d'autant que j'ai bien 10 kg de sulfate de cuivre en stock).
Si ça faisait tache d'huile, le célèbre fabriquant de balles cuivrées ferait grise mine !
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Franchement un grand Bravo pour cette fabrication artisanale de qualité !
MikeDundee- Pilier du forum
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
MikeDundee a écrit:Franchement un grand Bravo pour cette fabrication artisanale de qualité !
"Laudamus veteres sed nostris utimur annis "
Baccardi- Administrateur
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Tout ce que j'adore, arriver à un résultat de qualité avec les moyens du bord, le système D à la française en somme.
En tout cas chapeau bas
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LP- Pilier du forum
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Il y a peut-être tout de même un problème avec la position des balles : un côté est directement tourné vers l'anode, et pas l'autre, ce qui donne certainement une différence d'épaisseur du dépôt.
La bonne disposition serait celle présentant de même façon toute la partie cylindrique par rapport à l'anode, ou faisant tourner la pièce durant le traitement. Mais il faut mettre en balance l'amélioration éventuelle et la complexité de réalisation...
La bonne disposition serait celle présentant de même façon toute la partie cylindrique par rapport à l'anode, ou faisant tourner la pièce durant le traitement. Mais il faut mettre en balance l'amélioration éventuelle et la complexité de réalisation...
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Je considère ma solution de ressorts d'épingle temporaire, mais je sèche un peu pour avoir une alternative, mon anode circulaire je pense rend plus ou moins homogène la couche, il est certain que la face coté intérieur du cercle de mes ogives n'est pas en vis à vis de mon anode, peut être une autre anode circulaire en parallèle électriquement avec l'extérieure en équilibrant l'espace interne externe, j'ai pelé mon ogive sur la base pour voir l'épaisseur, je vais la peler comme une orange et mesurer pour constater ou mon les différence d'épaisseur, je pense toujours à un système, ou les ogives sont agitées en permanence, un genre de nasse, mais les mailles du contenant vont se charger de cuivre !!!!!!!! Quoiqu'il en soit vos éloges me motivent et je dois dire que pour un premier essai le résultat n'est pas parfait mais encourageant.
Le grascon- Membre averti
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
En cherchant sur le net, j'ai fini par aboutir sur (tonneau à électrolyse) et là je pense que l'on est pas loin de la vérité pour comprendre comment sont cuivrées les ogives du commerce, y a plus qu'a en faire un basique
Le grascon- Membre averti
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Le tonneau est en plastique, donc ne se cuivre pas. Le courant arrive par des plaques à l'intérieur des flasques, ou un câble souple pendouillant dedans, fixé concentriquement à l'axe.
Il y a une 40ène d'années, certains tonnelets utilisés en industrie étaient actionnés par des moteurs d'essuie-glace auto, attaquant directement une grande couronne dentée en plastique (qui était en fait une des flasques du tonnelet).
Pour des volumes très réduits, voir peut-être dans le mécanisme d'éjection de cassette des anciens magnétoscopes VHS : il y a parfois un système analogue au moteur d'essuie glaces (moteur basse tension avec réducteur à vis). Mais c'est très peu puissant.
Sinon, voir les moteurs de lève-vitres de bagnoles...
Il est sans doute permis que ça tourne par petits à coups ; voir alors le système de démultiplication à rochet d'un épandeur à fumier (système facile à bricoler en miniature).
Mes réserves concerneraient l'altération des balles par entrechoquage ; mais en fait, si on les passe au tumbler c'est pas mieux.
Il y a une 40ène d'années, certains tonnelets utilisés en industrie étaient actionnés par des moteurs d'essuie-glace auto, attaquant directement une grande couronne dentée en plastique (qui était en fait une des flasques du tonnelet).
Pour des volumes très réduits, voir peut-être dans le mécanisme d'éjection de cassette des anciens magnétoscopes VHS : il y a parfois un système analogue au moteur d'essuie glaces (moteur basse tension avec réducteur à vis). Mais c'est très peu puissant.
Sinon, voir les moteurs de lève-vitres de bagnoles...
Il est sans doute permis que ça tourne par petits à coups ; voir alors le système de démultiplication à rochet d'un épandeur à fumier (système facile à bricoler en miniature).
Mes réserves concerneraient l'altération des balles par entrechoquage ; mais en fait, si on les passe au tumbler c'est pas mieux.
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Mes neurones se sont activées cette nuit et j'avais le tonneau qui tournait dans mon cerveau, pas celui de l’armagnac celui rempli d’ogives, et c’est bon l’objet a fait un 360° avec tous ses éléments, plastique, cathodes souples……..Tu seras aux premières loges pour voir le résultat, quand, je ne sais pas !!!!!!!!!!!!!
Le grascon- Membre averti
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
J'ai (merdé) grave tout est en majuscules
Le grascon- Membre averti
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Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Mais en gris, donc rien n'est perdu !Le grascon a écrit:J'ai (merdé) grave tout est en majuscules
Quand ça sera en rouge cuivré, on comprendra que le tonneau t'a trop tourneboulé...
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Voila le résultat de mes cogitations nocturnes, le tonneau, réalisé avec un tuyau PVC de 100, je n’ai pas réussi à remettre la main sur le bout de crépine de pompe immergée diamètre 100 avec découpe de passage d’eau au laser, deux bouchons associés de marque nicol pour avoir les petites cannelures pour la motricité , 2 morceaux de 40mm découpés dans un manchon, le tout associé avec des vis nylon, pour pouvoir le faire évoluer en longueur si besoin, découpe de fente sur une largueur de 85mm avec la dremel et les petits disques .
Le support : j’ai préféré faire un genre de berceau plus pratique à mes yeux que de monter un axe central sur roulement, de plus un simple trou dans chaque bouchon PVC permet le passage du fil des 2 cathodes, il est réalisé avec de bout de fer plat de 30X5, de la tige filetée des écrous inox et deux petites plaques triangulaires en guise de joues, celles-ci permettent le maintien de l’axe tournant sur lequel 2 galets caoutchoutés récupérés sur une vieille imprimante, ces galets sont maintenues solidaires de l’axe avec des écrous ; sur les tiges de 8 reliant les 2 joues j’ai placé 4 galets morceaux de téflon dimètre 30 mm eux aussi montés libres sur la tige filetée avec écrous et contre écrous, le tonneau est très stable sur les galet et il est aussi canalisé longitudinalement par ces derniers.
Deux petits bras de levier fixés sur le haut des joues permettent le maintien de l’axe entraînant, je voulais initialement monté des bagues ou roulements pour le passage de l’axe, pour le moment un simple trou diamètre 8 le tout encore tenu latéralement avec écrous et contre écrou, sur les extrémités des bras deux élastiques de bâche sur lesquels j’ai serti des cosses servent de ressort pour le maintien en pression je n’ai pas trouvé dans mon bazar 2 ressorts inox et je dois dire que la solution retenue est satisfaisante .
Le petit moteur est celui d’un essuie glace 12v, ce qui permet des solutions infinies pour la variation de la vitesse, pour l’occasion je l’ai branché en petite vitesse et alimenté en 6v, ce qui donne une vitesse de rotation du tonneau de 5tours/minute, il est relié mécaniquement à la tige filetée de 8 très simplement avec un manchon fileté par moitié à 8 et à 6 , il suffit de faire tourné le moteur dans le bon sens pour favoriser le serrage, ce petit moto réducteur n’est même pas fixé, il est solidaire d’un bout de fer plat dont l’extrémité vient se plaquer sur le plan de travail.
Les cathodes sont réalisées avec des plot de prises de courant qui ont une forme arrondies naturelle ne blessant pas les ogives en mouvement, elles sont connectées avec un fil souple de 1.5 mm2, l'anode un morceau de cuivre en forme de U
Pour mon premier essai j’ai traité 100 ogives en une seule fois, le tonneau est loin d’avoir la charge maxi, temps d’électrolyse 1h 30, tension environ 2V, intensité 2.8A , j’avais hâte d’ouvrir le tonneau pour voir le résultat, il a été à l’attente de mon espérance voir photo, ce serait sympa d’avoir peut être un tonneau transparent, la solution employée est toujours la même, malgré l’utilisation d’un tonneau, je ne l’ai pas remplacée par de l’armagnac hors d’âge !!!!!!!!!!!
Avantage du système : simplicité de réalisation, pas de manipulation des ogives avec des gants ou les doigts après dégraissage, on peut traiter un sacret paquet d’ogives à la fois, résultat très satisfaisant on doit pouvoir atteindre la perfection en affinant les paramètres techniques, vitesse tonneau, intensité/tension, solution, à le voir tourner et faire son chemin il me semble techniquement simple, au point et durable, je ne vois vraiment pas les améliorations fondamentales que je peux apporter, simplement des détails, comme vous pouvez le constater les enrobages caoutchoutés ont déjanté mais l’entraînement a fonctionné tout aussi bien, j’ai laissé faire.
Le support : j’ai préféré faire un genre de berceau plus pratique à mes yeux que de monter un axe central sur roulement, de plus un simple trou dans chaque bouchon PVC permet le passage du fil des 2 cathodes, il est réalisé avec de bout de fer plat de 30X5, de la tige filetée des écrous inox et deux petites plaques triangulaires en guise de joues, celles-ci permettent le maintien de l’axe tournant sur lequel 2 galets caoutchoutés récupérés sur une vieille imprimante, ces galets sont maintenues solidaires de l’axe avec des écrous ; sur les tiges de 8 reliant les 2 joues j’ai placé 4 galets morceaux de téflon dimètre 30 mm eux aussi montés libres sur la tige filetée avec écrous et contre écrous, le tonneau est très stable sur les galet et il est aussi canalisé longitudinalement par ces derniers.
Deux petits bras de levier fixés sur le haut des joues permettent le maintien de l’axe entraînant, je voulais initialement monté des bagues ou roulements pour le passage de l’axe, pour le moment un simple trou diamètre 8 le tout encore tenu latéralement avec écrous et contre écrou, sur les extrémités des bras deux élastiques de bâche sur lesquels j’ai serti des cosses servent de ressort pour le maintien en pression je n’ai pas trouvé dans mon bazar 2 ressorts inox et je dois dire que la solution retenue est satisfaisante .
Le petit moteur est celui d’un essuie glace 12v, ce qui permet des solutions infinies pour la variation de la vitesse, pour l’occasion je l’ai branché en petite vitesse et alimenté en 6v, ce qui donne une vitesse de rotation du tonneau de 5tours/minute, il est relié mécaniquement à la tige filetée de 8 très simplement avec un manchon fileté par moitié à 8 et à 6 , il suffit de faire tourné le moteur dans le bon sens pour favoriser le serrage, ce petit moto réducteur n’est même pas fixé, il est solidaire d’un bout de fer plat dont l’extrémité vient se plaquer sur le plan de travail.
Les cathodes sont réalisées avec des plot de prises de courant qui ont une forme arrondies naturelle ne blessant pas les ogives en mouvement, elles sont connectées avec un fil souple de 1.5 mm2, l'anode un morceau de cuivre en forme de U
Pour mon premier essai j’ai traité 100 ogives en une seule fois, le tonneau est loin d’avoir la charge maxi, temps d’électrolyse 1h 30, tension environ 2V, intensité 2.8A , j’avais hâte d’ouvrir le tonneau pour voir le résultat, il a été à l’attente de mon espérance voir photo, ce serait sympa d’avoir peut être un tonneau transparent, la solution employée est toujours la même, malgré l’utilisation d’un tonneau, je ne l’ai pas remplacée par de l’armagnac hors d’âge !!!!!!!!!!!
Avantage du système : simplicité de réalisation, pas de manipulation des ogives avec des gants ou les doigts après dégraissage, on peut traiter un sacret paquet d’ogives à la fois, résultat très satisfaisant on doit pouvoir atteindre la perfection en affinant les paramètres techniques, vitesse tonneau, intensité/tension, solution, à le voir tourner et faire son chemin il me semble techniquement simple, au point et durable, je ne vois vraiment pas les améliorations fondamentales que je peux apporter, simplement des détails, comme vous pouvez le constater les enrobages caoutchoutés ont déjanté mais l’entraînement a fonctionné tout aussi bien, j’ai laissé faire.
Le grascon- Membre averti
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Age : 66
Localisation : Gers
Date d'inscription : 15/04/2015
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
... et en plus, ça marche
"Laudamus veteres sed nostris utimur annis "
Baccardi- Administrateur
- Nombre de messages : 17800
Age : 59
Localisation : Canton de l'Ours
Date d'inscription : 20/01/2012
FAMEUX !
Le matériel semble très bien ; il y a souvent dans l'industrie des montages en exemplaire unique qui sont du même style. Avec plusieurs tonneaux identiques tu pourrais passer le tonneau sans le vider, de cuve en cuve, pour dégraisser, décaper, cuivrer, rincer et sécher. Avec 1 h 30 de cuivrage, ça ferait une productivité de 500 à 1000 balles par jour ; le pauvre Steyr-Hahn n'arrivera pas à bouffer tout ça...
Je remarquerai que le tonneau dépasse largement du bain. Dans mon souvenir (mais je peux me tromper) il était suspendu à une potence et totalement immergé, pour éviter l'émulsion d'air entre les pièces, ce qui pourrait poser problème avec certains produits. Mais si ça marche comme ça, c'est plus simple pour la transmission (les galets caoutchoutés, c'est de l'imprimante HP ? Effectivement, ils déjantent facilement).
Le berceau me rappelle un dispositif très ressemblant, de fabrication industrielle, récupéré dans une machine à laver (à laver les pièces de décolletage). C'est aussi tout inox et plastique, et pourrait bien revivre en cuivrage, puisque tu montres l'exemple.
Je remarquerai que le tonneau dépasse largement du bain. Dans mon souvenir (mais je peux me tromper) il était suspendu à une potence et totalement immergé, pour éviter l'émulsion d'air entre les pièces, ce qui pourrait poser problème avec certains produits. Mais si ça marche comme ça, c'est plus simple pour la transmission (les galets caoutchoutés, c'est de l'imprimante HP ? Effectivement, ils déjantent facilement).
Le berceau me rappelle un dispositif très ressemblant, de fabrication industrielle, récupéré dans une machine à laver (à laver les pièces de décolletage). C'est aussi tout inox et plastique, et pourrait bien revivre en cuivrage, puisque tu montres l'exemple.
Re: Naissance d’une ogive pour mon steyr HAHN 1912
Les galets caoutchoutés sont bien d’une HP, je pense remplacer le caoutchouc par deux joints toriques d’un diamètre inférieur au galet pour avoir une bonne adhérence, ils seront contenus par les bordures, des galets en téflon feraient aussi l’affaire, pour le moment le niveau dans le tonneau recouvre largement les cent ogives, c’est le bac qui a guidé mon niveau maxi à la limite du débordement, mais avec un bac découpé sur mesure je dois pouvoir optimiser et avoir un du liquide à fleur de l’arbre de transmission, comme tu le suggères, je vais avec le même procédé dégraisser, rincer, électrolyser, et j’aimerai aussi les polir pour leurs donner un bon brillant, je réfléchis au liquide et au granulat. Je vais tenter une chauffe avec du câble auto régulant pour voir si il y a une différence....
Le grascon- Membre averti
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