égreneur automatique
+4
Jean Louis
Verchère
Baccardi
Le grascon
8 participants
TIR et COLLECTION Armes Règlementaires :: Le rechargement :: Poudres, presses, outils, composants et techniques de rechargement
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
égreneur automatique
Un petit sujet pour vous présenter un projet qui taquinait mon cerveau, je ne suis pas un expert en rechargement, on a toujours la crainte d’avoir des doses bien régulières et pour ma part lorsque je veux avoir des doses précises j’utilise mon égreneur, un des premiers outils qu’il m’a semblé bon d’acheter dès mes balbutiements en rechargement, je mets en garde ceux qui voudraient suivre mon chemin et me dégage de toute responsabilité, il est important de toujours être attentif et d’avoir le contrôle visuel assidu.
Pour ma réalisation, faire une égreneuse automatique, mon cahier des charges était le suivant, la sécurité de mon outil un maximum de pièces en laiton et alu, faire évidement une machine précise et fiable et si possible compatible poudre noire, vos remarques sont les bienvenues, bonnes ou mauvaises.
Le prix de revient de ma bécane va paraître excessif pour certains, mais pour ma part je me suis fait plaisir avant tout !!!!!!!! L’ensemble est une association de produit du commerce, je ne suis pas encore équipé de tour, fraiseuse…….
Le corps est fait avec un Té de ½ laiton, alésage à 22mm pour loger 2 roulements 608 2RS un tuyau de 6 / 8 longueur 90mm traverse les roulements ; dans l’axe du troisième orifice du T le tuyau de 8 est échancré pour piocher la poudre en tournant, et j’ai mis un petit coup de taraud de 6 coté jetée de manière à créer une spire intérieure pour acheminer la poudre ; sur la partie supérieure du T, montage d’un raccord 3 pièces, j’ai coincé une petite bille sous l’olive pour avoir le réservoir d’aplomb, l’axe du tube est bien évidemment incliné comme un doseur manuel, le réservoir est un bout de tuyau cuivre de diamètre 40 longueur 210mm (j’ai pas osé mettre un tube plastique, cela a pour défaut de ne pas voir le niveau de poudre) , le couvercle un bouchon laiton à souder, l’axe est mû par un petit réducteur alimenté en 12v( modelcraft RB350030-0A101 Rapport 1/30 vitesse de sortie sous 12v 174 rpm charge transmission 6kg /cm permanent 2kg/cm 26.9euros chez conrad axe de sortie diamètre 6 pas choisir au hasard il rentre dans le tube cuivre), celui-ci est monté rigide sur le tuyau de 8, une bride avec un montage bras de réaction souple sur 2 ressorts lui permet de faire sa vie sans contrainte.
Je vous décris la partie électricité de façon succincte, si vous souhaiter de plus amples détails, j’essaierais de répondre avec précision ; l’ensemble est géré par un module logique (petit automate basique) crouzet type millenium3 CD 12, 8 entrées dont 4 peuvent être analogiques et 4 sorties alimentation 24v cc , mon petit programme permet de sélectionner 7 pages avec des calibres différents, en fait mon système est simple sur ces 7 pages je règle un temps de grand débit, un temps de petit débit, le petit moteur de l’égreneur est piloté par deux sorties de l’automate (grand débit et petit débit, le grand débit me permet de gagner du temps et le petit débit affine le remplissage de l’étui et la précision) celles-ci commandent un kit platine régulateur de tension LM317( chez conrad le kit 8euros et le lm317 0.23euros) avec une petite modification, j’ai remplacé le potentiomètre de réglage par 2 potentiomètres équipés de têtes multitours qui sont commutés par leur sortie respective et me permettent d’avoir deux vitesses réglages par les potentiomètres (actuellement petit débit 5.3v et grand débit 9.5v) j’ai donc la possibilité pour affiner ma dose de modifier 4 paramètres la vitesse du grand débit, le temps de rotation du grand débit, la vitesse du petit débit et le temps de rotation du petit débit, la précision des temporisations est réglable au 1/10 de secondes, vous pouvez juger des possibilités, ce petit automate a plusieurs touches fonctions en façade elles me permettent de sélectionner mes pages calibres, le réglage des temporisations, le lancement d’un cycle pour générer une dose, j’ai honte de ma photo du câblage électrique qui est fait en volant à l’arrache pour le moment.
Ceci étant réalisé, j’ai commencé à faire quelques essais et le résultats ont été plus concluant que mes espérances, j’ai fait des doses pour mon 45 acp mon objectif était 0.30 grammes pour de la N310 , les résultats sur 60 étuis pesés individuellement : 11 doses 0.31, 3 doses à 0.29, et 46 doses à 0.30, environ 7 secondes environ pour remplir un étui.
Ma démarche ne s’est pas arrêtée là, j’ai eu envie de faire un chariot pour réaliser un remplissage automatique d’un certain nombre d’étuis, le support des douilles est confectionné avec deux profilés en alu en forme de U 10X15 longueur 420mm, l’ensemble est un parallélogramme qui se déforme et pince les étuis, le centrage est automatique et un ressort à extension permet de maintenir les douilles serrées, heureusement les photos vont accompagner mes commentaires pour les rendre plus compréhensibles, de plus ce système permet de pincer des douilles allant dans mon cas de 0 à 14.5 de diamètre, 2 bouts d’alu 30X 20X90 maintiennent le support de douille, ils sont guidés sur 2 tubes cuivre de 10/12 longueur environ 660mm entraxe 60mm, un des bouts d’alu est taraudé à 5mm, une tige filetée en laiton longueur 770mm entraînée par une autre petit réducteur (igarashi 33G-50 réduction 1/50 vitesse sortie 12v 85tr/mm diamètre arbre 5mm couple 0.6 N/m, 22.99 euros chez conrad), permet la translation du chariot ; pour associer les tubes et le réducteur : deux TE laitons 3/8 F, 4 coudes MM, 4 raccords à souder diamètre 12 3/8 F, 2 mamelons 3/8 1/2 , et 2 raccords à souder pour du 16 1/2 femelle, ouf !!!!! Si certains pourraient le penser je ne suis pas plombier !!!!!!! Coté transmission le T 3/8 est percé de part en part pour laisser passer la tige filetée de 5 celle-ci est guidée par 2 roulements 625 2 rs , tous ces raccords sont assemblés serrés à la main et les tuyaux sont simplement emboîtés sur les raccords à souder, le tige filetée est maintenue sur les roulements 625 alésage 5 diamètre extérieur 16 avec 2 écrous par roulement ; le moteur est alimenté avec un régulateur lm317 qui crée le 12V à partir du 24Vcc de l’alimentation de l’automate, il y a bien sur possibilité de faire varier la vitesse du chariot avec le régulateur, pour le moment ma tension d’alimentation est de 12V ; pour canaliser la poudre entre la sortie de l’égreneur et l’étui j’ai fait un petit entonnoir en laiton, je peux le régler aisément et de façon stable avec un support 3ième main d’établi.
L’automatisme du chariot est géré aussi par l’automate, j’ai d’abord monté un petit micro contact style programmateur à cames qui passait à 1 à chaque tangente du cercle des étuis, j’ai ensuite gérer l’arrêt des étuis avec le temps de rotation du moteur de translation, les deux solutions fonctionnent, pas de contrainte mécanique pour la seconde, pas de frottement sur les étuis, par contre il faut bien gérer avec précision la temporisation qui est aussi au 1/10 de seconde, pour affiner j’ai rajouté un compteur qui s’incrémente au fur et à mesure que les étuis se remplissent avec une consigne réglable du nombre de douille à remplir, mon chariot me permet pour info de remplir 30 étuis en 45 acp 7 minutes environ ; pour lancer un cycle de remplissage un inter est relié sur une entrée automate et me donne le top départ du chargement et fait un reset quand je le rebascule à zéro, un inverseur me permet de faire avancer et reculer le chariot.
Mon idée de base pour le poids était de faire un genre de bascule avec un équilibreur d’hélice de modèle réduit et un capteur de pression en utilisant une entrée analogique de l’automate, je me suis « dégonflé » plus complexe et je n’étais pas sûr du tout je pense à juste raison de la fiabilité et de la précision……….Je veux essayer peut être de fiabiliser la sécurité en essayant de monter un capteur de distance ultrason ou laser pour mesurer la hauteur de poudre une fois les étuis remplis de manière à éviter la double dose, mon système actuel est une séquence qui normalement fait les opérations les unes derrière les autres mais………Je potasse actuellement arduino pour les nuls et j’ai un kit d’initiation qui attends son heure dans mon atelier, cela permettrait à moindre coût d’adapter un proccess d’éliminer le crouzet (j’ai acheté le mien sur ebay 50 euros d’occase un neuf c’est environ 150 euros) d’éliminer aussi je pense les 3 kit régulateurs de tension, mon alimentation 24 v est une simple alim d’ordinateur de récupération entre le -12Vet +12V Les érudits du rechargement du forum diront si une telle doseuse existe dans le commerce, je n’ai pas pris la peine de faire des recherches.
J’espère que ma prose a été compréhensible pour certains et pas trop insupportable pour d’autres, il me paraît toujours difficile d’être clair pour expliquer techniquement ce genre de proto, j’aimerais participer un peu plus à la vie du forum mais les compétences et le temps me font cruellement défaut, néanmoins il me paraissait opportun de partager ma création et j’espère qu’il y aura partage de sens d’abord et encore plus partage de plaisir et de passion !!!!!!!!
Pour ma réalisation, faire une égreneuse automatique, mon cahier des charges était le suivant, la sécurité de mon outil un maximum de pièces en laiton et alu, faire évidement une machine précise et fiable et si possible compatible poudre noire, vos remarques sont les bienvenues, bonnes ou mauvaises.
Le prix de revient de ma bécane va paraître excessif pour certains, mais pour ma part je me suis fait plaisir avant tout !!!!!!!! L’ensemble est une association de produit du commerce, je ne suis pas encore équipé de tour, fraiseuse…….
Le corps est fait avec un Té de ½ laiton, alésage à 22mm pour loger 2 roulements 608 2RS un tuyau de 6 / 8 longueur 90mm traverse les roulements ; dans l’axe du troisième orifice du T le tuyau de 8 est échancré pour piocher la poudre en tournant, et j’ai mis un petit coup de taraud de 6 coté jetée de manière à créer une spire intérieure pour acheminer la poudre ; sur la partie supérieure du T, montage d’un raccord 3 pièces, j’ai coincé une petite bille sous l’olive pour avoir le réservoir d’aplomb, l’axe du tube est bien évidemment incliné comme un doseur manuel, le réservoir est un bout de tuyau cuivre de diamètre 40 longueur 210mm (j’ai pas osé mettre un tube plastique, cela a pour défaut de ne pas voir le niveau de poudre) , le couvercle un bouchon laiton à souder, l’axe est mû par un petit réducteur alimenté en 12v( modelcraft RB350030-0A101 Rapport 1/30 vitesse de sortie sous 12v 174 rpm charge transmission 6kg /cm permanent 2kg/cm 26.9euros chez conrad axe de sortie diamètre 6 pas choisir au hasard il rentre dans le tube cuivre), celui-ci est monté rigide sur le tuyau de 8, une bride avec un montage bras de réaction souple sur 2 ressorts lui permet de faire sa vie sans contrainte.
Je vous décris la partie électricité de façon succincte, si vous souhaiter de plus amples détails, j’essaierais de répondre avec précision ; l’ensemble est géré par un module logique (petit automate basique) crouzet type millenium3 CD 12, 8 entrées dont 4 peuvent être analogiques et 4 sorties alimentation 24v cc , mon petit programme permet de sélectionner 7 pages avec des calibres différents, en fait mon système est simple sur ces 7 pages je règle un temps de grand débit, un temps de petit débit, le petit moteur de l’égreneur est piloté par deux sorties de l’automate (grand débit et petit débit, le grand débit me permet de gagner du temps et le petit débit affine le remplissage de l’étui et la précision) celles-ci commandent un kit platine régulateur de tension LM317( chez conrad le kit 8euros et le lm317 0.23euros) avec une petite modification, j’ai remplacé le potentiomètre de réglage par 2 potentiomètres équipés de têtes multitours qui sont commutés par leur sortie respective et me permettent d’avoir deux vitesses réglages par les potentiomètres (actuellement petit débit 5.3v et grand débit 9.5v) j’ai donc la possibilité pour affiner ma dose de modifier 4 paramètres la vitesse du grand débit, le temps de rotation du grand débit, la vitesse du petit débit et le temps de rotation du petit débit, la précision des temporisations est réglable au 1/10 de secondes, vous pouvez juger des possibilités, ce petit automate a plusieurs touches fonctions en façade elles me permettent de sélectionner mes pages calibres, le réglage des temporisations, le lancement d’un cycle pour générer une dose, j’ai honte de ma photo du câblage électrique qui est fait en volant à l’arrache pour le moment.
Ceci étant réalisé, j’ai commencé à faire quelques essais et le résultats ont été plus concluant que mes espérances, j’ai fait des doses pour mon 45 acp mon objectif était 0.30 grammes pour de la N310 , les résultats sur 60 étuis pesés individuellement : 11 doses 0.31, 3 doses à 0.29, et 46 doses à 0.30, environ 7 secondes environ pour remplir un étui.
Ma démarche ne s’est pas arrêtée là, j’ai eu envie de faire un chariot pour réaliser un remplissage automatique d’un certain nombre d’étuis, le support des douilles est confectionné avec deux profilés en alu en forme de U 10X15 longueur 420mm, l’ensemble est un parallélogramme qui se déforme et pince les étuis, le centrage est automatique et un ressort à extension permet de maintenir les douilles serrées, heureusement les photos vont accompagner mes commentaires pour les rendre plus compréhensibles, de plus ce système permet de pincer des douilles allant dans mon cas de 0 à 14.5 de diamètre, 2 bouts d’alu 30X 20X90 maintiennent le support de douille, ils sont guidés sur 2 tubes cuivre de 10/12 longueur environ 660mm entraxe 60mm, un des bouts d’alu est taraudé à 5mm, une tige filetée en laiton longueur 770mm entraînée par une autre petit réducteur (igarashi 33G-50 réduction 1/50 vitesse sortie 12v 85tr/mm diamètre arbre 5mm couple 0.6 N/m, 22.99 euros chez conrad), permet la translation du chariot ; pour associer les tubes et le réducteur : deux TE laitons 3/8 F, 4 coudes MM, 4 raccords à souder diamètre 12 3/8 F, 2 mamelons 3/8 1/2 , et 2 raccords à souder pour du 16 1/2 femelle, ouf !!!!! Si certains pourraient le penser je ne suis pas plombier !!!!!!! Coté transmission le T 3/8 est percé de part en part pour laisser passer la tige filetée de 5 celle-ci est guidée par 2 roulements 625 2 rs , tous ces raccords sont assemblés serrés à la main et les tuyaux sont simplement emboîtés sur les raccords à souder, le tige filetée est maintenue sur les roulements 625 alésage 5 diamètre extérieur 16 avec 2 écrous par roulement ; le moteur est alimenté avec un régulateur lm317 qui crée le 12V à partir du 24Vcc de l’alimentation de l’automate, il y a bien sur possibilité de faire varier la vitesse du chariot avec le régulateur, pour le moment ma tension d’alimentation est de 12V ; pour canaliser la poudre entre la sortie de l’égreneur et l’étui j’ai fait un petit entonnoir en laiton, je peux le régler aisément et de façon stable avec un support 3ième main d’établi.
L’automatisme du chariot est géré aussi par l’automate, j’ai d’abord monté un petit micro contact style programmateur à cames qui passait à 1 à chaque tangente du cercle des étuis, j’ai ensuite gérer l’arrêt des étuis avec le temps de rotation du moteur de translation, les deux solutions fonctionnent, pas de contrainte mécanique pour la seconde, pas de frottement sur les étuis, par contre il faut bien gérer avec précision la temporisation qui est aussi au 1/10 de seconde, pour affiner j’ai rajouté un compteur qui s’incrémente au fur et à mesure que les étuis se remplissent avec une consigne réglable du nombre de douille à remplir, mon chariot me permet pour info de remplir 30 étuis en 45 acp 7 minutes environ ; pour lancer un cycle de remplissage un inter est relié sur une entrée automate et me donne le top départ du chargement et fait un reset quand je le rebascule à zéro, un inverseur me permet de faire avancer et reculer le chariot.
Mon idée de base pour le poids était de faire un genre de bascule avec un équilibreur d’hélice de modèle réduit et un capteur de pression en utilisant une entrée analogique de l’automate, je me suis « dégonflé » plus complexe et je n’étais pas sûr du tout je pense à juste raison de la fiabilité et de la précision……….Je veux essayer peut être de fiabiliser la sécurité en essayant de monter un capteur de distance ultrason ou laser pour mesurer la hauteur de poudre une fois les étuis remplis de manière à éviter la double dose, mon système actuel est une séquence qui normalement fait les opérations les unes derrière les autres mais………Je potasse actuellement arduino pour les nuls et j’ai un kit d’initiation qui attends son heure dans mon atelier, cela permettrait à moindre coût d’adapter un proccess d’éliminer le crouzet (j’ai acheté le mien sur ebay 50 euros d’occase un neuf c’est environ 150 euros) d’éliminer aussi je pense les 3 kit régulateurs de tension, mon alimentation 24 v est une simple alim d’ordinateur de récupération entre le -12Vet +12V Les érudits du rechargement du forum diront si une telle doseuse existe dans le commerce, je n’ai pas pris la peine de faire des recherches.
J’espère que ma prose a été compréhensible pour certains et pas trop insupportable pour d’autres, il me paraît toujours difficile d’être clair pour expliquer techniquement ce genre de proto, j’aimerais participer un peu plus à la vie du forum mais les compétences et le temps me font cruellement défaut, néanmoins il me paraissait opportun de partager ma création et j’espère qu’il y aura partage de sens d’abord et encore plus partage de plaisir et de passion !!!!!!!!
Le grascon- Membre averti
- Nombre de messages : 102
Age : 66
Localisation : Gers
Date d'inscription : 15/04/2015
Re: égreneur automatique
Plus qu'opportun de partager !! Merci !!!
Bin, quelle usine, félicitations
Bin, quelle usine, félicitations
"Laudamus veteres sed nostris utimur annis "
Baccardi- Administrateur
- Nombre de messages : 17847
Age : 59
Localisation : Canton de l'Ours
Date d'inscription : 20/01/2012
Re: égreneur automatique
Eh ben y continue à faire fort, là !
Pas le temps de potasser ça se soir (enfin, ce lever du jour), alors juste quelques remarques sur les fournitures : hormis quelques composants, le coût tomberait à quasi-rien en cannibalisant des vieilles télés de réforme (à tube catholique, c'est plus riche que les écrans plats), et des imprimantes (intérêt d'un moteur pas à pas ?).
La logique de contrôle peut être aisément fournie par un vieux PC tournant sous DOS, le genre de trucs qu'on ne trouve même plus aux poubelles (j'en ai stocké quelques dizaines, au cas où). Programmé en TurboPascal ou mieux en assembleur, ça peut utiliser indépendamment chaque pine de chaque prise du panneau arrière ; ça en fait, des entrées-sorties. Je ne pense pas que ce soit plus compliqué à programmer qu'un Arduino, et c'est gratuit (et ça contient d'origine l'alim pour actionner les moteurs).
Mais enfin, se fier au temps d'égrenage pour doser la poudre... J'ai un doute.
Il faudrait une balance électronique avec un sortie numérique RS 232 cachée dans un coin (comme souvent sur les pieds à coulisse)...
Pas le temps de potasser ça se soir (enfin, ce lever du jour), alors juste quelques remarques sur les fournitures : hormis quelques composants, le coût tomberait à quasi-rien en cannibalisant des vieilles télés de réforme (à tube catholique, c'est plus riche que les écrans plats), et des imprimantes (intérêt d'un moteur pas à pas ?).
La logique de contrôle peut être aisément fournie par un vieux PC tournant sous DOS, le genre de trucs qu'on ne trouve même plus aux poubelles (j'en ai stocké quelques dizaines, au cas où). Programmé en TurboPascal ou mieux en assembleur, ça peut utiliser indépendamment chaque pine de chaque prise du panneau arrière ; ça en fait, des entrées-sorties. Je ne pense pas que ce soit plus compliqué à programmer qu'un Arduino, et c'est gratuit (et ça contient d'origine l'alim pour actionner les moteurs).
Mais enfin, se fier au temps d'égrenage pour doser la poudre... J'ai un doute.
Il faudrait une balance électronique avec un sortie numérique RS 232 cachée dans un coin (comme souvent sur les pieds à coulisse)...
L'idee est bonne
Bonsoir à toi mon Ami, pourquoi ne pas mettre une jauge de contrainte issue d'une balance à 3 sous en couplage avec la variation de poids, le problème est de remettre le tarage à zéro à chaque étuis .
Ou alors un système à tarage volumétrique rotatif qui donne à chaque fois un volume égal ....
Volume égal = poids égal comme la loi de Mariotte ....
Jean louis
Tous ensemble nous aurons droit à la Sainte lumière . ( a cet endroit, le miel ne coule pas dans les rivières, ils furent beaucoup à aller voir )
Ou alors un système à tarage volumétrique rotatif qui donne à chaque fois un volume égal ....
Volume égal = poids égal comme la loi de Mariotte ....
Jean louis
Tous ensemble nous aurons droit à la Sainte lumière . ( a cet endroit, le miel ne coule pas dans les rivières, ils furent beaucoup à aller voir )
Jean Louis- Futur pilier
- Nombre de messages : 965
Age : 72
Localisation : La plus belle ville du Gard
Date d'inscription : 25/07/2010
Re: égreneur automatique
Bonsoir à vous les as de la bricole à votre niveau ce n'est plus du bricolage...,
la jauge de contrainte doit être faisable, mais je vous assure que mon histoire de temps marche bien, j'ai essayé de balancer une vidéo par youtube mais j'ai abandonné, c'est hyper long ou je m'y prends mal, Verchère et Jean Louis pour vous convaincre et je pense qu'à votre niveau ce n'est qu'une formalité, calez votre égreneur montez un elastique ou un joint torique en guise de courroie sur son axe adaptez un un petit moteur, un petit tourne broche à pile et faites des doses avec des temporisations précises.......Ce WE je vais essayer de recharger des doses de 9 para pour un ami de mon club avec de la poudre en paillettes, cela va peut être, être moins probant avec ce genre de poudre
la jauge de contrainte doit être faisable, mais je vous assure que mon histoire de temps marche bien, j'ai essayé de balancer une vidéo par youtube mais j'ai abandonné, c'est hyper long ou je m'y prends mal, Verchère et Jean Louis pour vous convaincre et je pense qu'à votre niveau ce n'est qu'une formalité, calez votre égreneur montez un elastique ou un joint torique en guise de courroie sur son axe adaptez un un petit moteur, un petit tourne broche à pile et faites des doses avec des temporisations précises.......Ce WE je vais essayer de recharger des doses de 9 para pour un ami de mon club avec de la poudre en paillettes, cela va peut être, être moins probant avec ce genre de poudre
Le grascon- Membre averti
- Nombre de messages : 102
Age : 66
Localisation : Gers
Date d'inscription : 15/04/2015
Si ça fonctionne pour lui
En fait j'ai une idée bien vicieuse derrière la tête, mon système e de retournement des projectile watcutter ,
Pour l'instant le fonctionnement est capricieuse ...
Bien sûr c'est pour mettre sur une Rcbs Green Machine .
Jean louis
Pour l'instant le fonctionnement est capricieuse ...
Bien sûr c'est pour mettre sur une Rcbs Green Machine .
Jean louis
Jean Louis- Futur pilier
- Nombre de messages : 965
Age : 72
Localisation : La plus belle ville du Gard
Date d'inscription : 25/07/2010
Re: égreneur automatique
Nouvel essai cet après midi avec mon ami et un œil extérieur sur mon proto , poudre A1, tubal 5000, et N330, toujours la même précision 0.01 gramme paillettes ou pas paillettes
Le grascon- Membre averti
- Nombre de messages : 102
Age : 66
Localisation : Gers
Date d'inscription : 15/04/2015
Re: égreneur automatique
Je ne peux pas motoriser mon égreneur, c'est un tube d'inox mince traversant à frottement assez important le col d'un flacon de mayonnaise (bonne marque, pas électrostatique d'un poil). L'effort est trop important pour une transmission légère, et même pour un petit moteur.
Mais quand j'aurai le temps j'essaierais bien de faire un montage comme le tien (roulements à billes et raccords cuivre), car la motorisation par moteur pas à pas de vieille imprimante me tracasse.
Et surtout j'ai déjà tout ce qu'il faut : pas mal de moteurs et courroies, le relais de puissance à transistors FET, l'adapteur de sortie de prise imprimante avec des diodes de protection dans tous les sens, le PC (plein de vieux PCs) et le programme de séquençage pour moteur pas à pas, écrit en assembleur pour mettre le DOS au repos forcé et l'empêcher de faire des conneries pendant que ça travaille...
Tout ça pour pas un rond, rien que du matos de réforme, même les bouquins de programmation !
Mais quand même, doser par la temporisation, je ne peux m'ôter d'un doute.
Enfin, ça dépend pour quoi faire ; pour dégommer des gamelles admettons, mais pour le bench-rest...
Mais quand j'aurai le temps j'essaierais bien de faire un montage comme le tien (roulements à billes et raccords cuivre), car la motorisation par moteur pas à pas de vieille imprimante me tracasse.
Et surtout j'ai déjà tout ce qu'il faut : pas mal de moteurs et courroies, le relais de puissance à transistors FET, l'adapteur de sortie de prise imprimante avec des diodes de protection dans tous les sens, le PC (plein de vieux PCs) et le programme de séquençage pour moteur pas à pas, écrit en assembleur pour mettre le DOS au repos forcé et l'empêcher de faire des conneries pendant que ça travaille...
Tout ça pour pas un rond, rien que du matos de réforme, même les bouquins de programmation !
Mais quand même, doser par la temporisation, je ne peux m'ôter d'un doute.
Enfin, ça dépend pour quoi faire ; pour dégommer des gamelles admettons, mais pour le bench-rest...
Re: égreneur automatique
l'entonnoir est devenu solidaire de l'égreneur, avec possibilité de réglage et une vidéo plus parlant, Verchère qu'elle est pour toi la précision optimale qu'il faudrait obtenir, je vais essayer d'optimiser encore pour le moment je suis comme je l'ai déjà écris à 0.01gramme et j'ai fait des séries en grains là j'ai un écart valeur mini maxi autour de la valeur désirée de 0.2grain, normal !!!!
Le grascon- Membre averti
- Nombre de messages : 102
Age : 66
Localisation : Gers
Date d'inscription : 15/04/2015
Re: égreneur automatique
+ 0.1 gr / - 0.1 gr, ça me semble bien suffisant pour la plupart des tireurs ; la question est de savoir si c'est régulier, et s'il n'y a JAMAIS d'écarts notablement plus forts.
Je persiste à penser qu'il faudrait un système de contrôle, et la pesée me semble moins complexe que la détection de hauteur.
Mais à priori trop complexe pour moi, qui n'ai aucune connaissance en jauges de contraintes et surtout aucun moyen d'en "trouver" (condition sine-qua-non pour moi : si ce n'est pas trouvable en récup c'est considéré comme non envisageable - car s'il suffit de payer, c'est plus du jeu !).
Par ailleurs, je pense que le volume de poudre est plutôt lié au nombre de tours, qu'au temps réel. Or la plupart des moteurs électriques sont asynchrones, en particulier s'ils sont régulables par variateur de tension, et la vitesse réelle peut être approximative (p.ex. différences de frottement selon le niveau de remplissage de poudre, ou selon l'échauffement des roulements).
Peut-être 3 fois rien, mais le moteur pas à pas s'affranchit de ça et permet de commander un nombre de tours bien déterminé.
Je ne reviendrai pas sur le coût nul d'un vieux PC utilisé comme calculateur, ajoutant seulement qu'il est généralement accompagné d'un large écran d'affichage et qu'il permet d'enregistrer autant de réglages prédéfinis qu'on veut... Mais je disposerais pour ça de facilités particulières, étant donné que quand je recharge je pèse sur mon bureau, qui est délimité par 2 écrans de PC et que le PC/DOS qui me servait aux essais de programmation TurboPascal et ASM est justement sous ce bureau, et possède à l'arrière les connecteurs nécessaires pour brancher tout ce qu'un vieux PC standard peut commander.
Cependant, l'atelier mécanique et les bricolages autour d'épaves d'anciennes pétoires sont trop attrayants pour être sacrifiés à des expérimentations de doseur automatique, si intéressants soient-ils...
Je persiste à penser qu'il faudrait un système de contrôle, et la pesée me semble moins complexe que la détection de hauteur.
Mais à priori trop complexe pour moi, qui n'ai aucune connaissance en jauges de contraintes et surtout aucun moyen d'en "trouver" (condition sine-qua-non pour moi : si ce n'est pas trouvable en récup c'est considéré comme non envisageable - car s'il suffit de payer, c'est plus du jeu !).
Par ailleurs, je pense que le volume de poudre est plutôt lié au nombre de tours, qu'au temps réel. Or la plupart des moteurs électriques sont asynchrones, en particulier s'ils sont régulables par variateur de tension, et la vitesse réelle peut être approximative (p.ex. différences de frottement selon le niveau de remplissage de poudre, ou selon l'échauffement des roulements).
Peut-être 3 fois rien, mais le moteur pas à pas s'affranchit de ça et permet de commander un nombre de tours bien déterminé.
Je ne reviendrai pas sur le coût nul d'un vieux PC utilisé comme calculateur, ajoutant seulement qu'il est généralement accompagné d'un large écran d'affichage et qu'il permet d'enregistrer autant de réglages prédéfinis qu'on veut... Mais je disposerais pour ça de facilités particulières, étant donné que quand je recharge je pèse sur mon bureau, qui est délimité par 2 écrans de PC et que le PC/DOS qui me servait aux essais de programmation TurboPascal et ASM est justement sous ce bureau, et possède à l'arrière les connecteurs nécessaires pour brancher tout ce qu'un vieux PC standard peut commander.
Cependant, l'atelier mécanique et les bricolages autour d'épaves d'anciennes pétoires sont trop attrayants pour être sacrifiés à des expérimentations de doseur automatique, si intéressants soient-ils...
Re: égreneur automatique
Le mot pétoires ne me laisse pas indifférent, en voici deux qui attendent passionnément le moment de mordre le bitume sans crainte pour les radars quoique ......... désolé pour le hors sujet, tout cela pour te dire que ce doseur est aussi une simple parenthèse dans ma vie tumultueuse de bricolage variés
Le grascon- Membre averti
- Nombre de messages : 102
Age : 66
Localisation : Gers
Date d'inscription : 15/04/2015
Re: égreneur automatique
C'est quoi, la seconde photo ?
Ça ressemble un peu à des cadres de 100 Terrot que j'ai en stock (j'avais intercepté sur le chemin du ferrailleur tout ce qui restait du stock de notre concessionnaire local, après 20 ans d'abandon).
Mais il n'y avait pas grand chose de bon, et la plupart des pièces intéressantes ont déjà été remontées par des copains, sur des 350 TT, 125 TT, voire 250 TT (celle qui cramait si facilement). En plus de 2 ou 3 cadres, il doit cependant me rester quelques fourches et pots d'échappement de 100 TT neufs (mais qui ont sans doute rouillé depuis qu'ils sont dans ma vallée glaciale et humide).
Personnellement je n'ai jamais été attiré par les trottinettes à moteur, et j'ai toujours préféré le modernisme : sélecteur au pied (de quelque côté qu'il soit, peu importe). Après un apprentissage sur M4TD (125 Magnat-Debon) j'ai passé un peu de temps sur des selles de A7 Star-Twin (500 BSA), RGST (500 Terrot), Daytona (500 Triumph).
Mais mes dernières virées motocyclistes étaient en 125 MZ ou 125 CG (Honda) ; il était temps je j'arrête !
Ça ressemble un peu à des cadres de 100 Terrot que j'ai en stock (j'avais intercepté sur le chemin du ferrailleur tout ce qui restait du stock de notre concessionnaire local, après 20 ans d'abandon).
Mais il n'y avait pas grand chose de bon, et la plupart des pièces intéressantes ont déjà été remontées par des copains, sur des 350 TT, 125 TT, voire 250 TT (celle qui cramait si facilement). En plus de 2 ou 3 cadres, il doit cependant me rester quelques fourches et pots d'échappement de 100 TT neufs (mais qui ont sans doute rouillé depuis qu'ils sont dans ma vallée glaciale et humide).
Personnellement je n'ai jamais été attiré par les trottinettes à moteur, et j'ai toujours préféré le modernisme : sélecteur au pied (de quelque côté qu'il soit, peu importe). Après un apprentissage sur M4TD (125 Magnat-Debon) j'ai passé un peu de temps sur des selles de A7 Star-Twin (500 BSA), RGST (500 Terrot), Daytona (500 Triumph).
Mais mes dernières virées motocyclistes étaient en 125 MZ ou 125 CG (Honda) ; il était temps je j'arrête !
Re: égreneur automatique
verchère, les pétoires à deux roues, la première monet et goyon moteur villiers 147 1925, j'ai du taf je veux la remettre dans sa configuration d'origine, entretube et transmission par courroie, et la seconde cadre de 125 terrot tout le reste dans des cartons, il manque quelques morceaux, j'ai pas fait inventaire, pour conclure l'écart et revenir aux pétoires à poudre une photo de sa frangine
Le grascon- Membre averti
- Nombre de messages : 102
Age : 66
Localisation : Gers
Date d'inscription : 15/04/2015
Re: égreneur automatique
Ma M4TD était identique à cette ... ETD ? (y z'avaient plein de sous-modèles) sauf la marque "Magnat-Debon" et la plupart des pièces étaient interchangeables avec Terrot. D'ailleurs je l'ai encore, et il y a 10 ans elle démarrait toujours ; mais le moteur est usé, elle ne tire plus du tout.
Elle m'a emmené en Bavière, en Autriche, en Italie : les montées de l'Arlberg (le col, pas le tunnel), du San Bernardino, et du col de Larche, avec 100 kg de bagages dont quelques pièces (embrayages) et une caisse à outils complète, c'était parfois râlant. Carter latéral gauche démonté pour corriger à tout bout de champ l'avance entre montée et descente, et selon l'altitude.
Il m'est arrivé de courir à côté, la bécane roulant en 1ère ayant déjà fort à faire avec les bagages !
Les néophytes remarqueront la fourche télescopique à l'avant (molle comme du caoutchouc) et le cadre rigide à l'arrière : quand il y avait des nids de poule dans les virages, la roue AR décollait carrément et retombait plus loin...
Le plus marrant était la gueule des passants qui voyaient la moto couchée à l'horizontale (pour éviter d'avoir à vidanger le carter) pendant que je découpais en lamelles des bouchons de pinard afin de regarnir les disques d'embrayage (parmi les pièces achetées à l'ancien concessionnaire il y avait bien un gros stock de liège tout découpé à la forme, mais les cirons y avaient fait plein de trous et ils s'effritaient en les posant).
Elle m'a emmené en Bavière, en Autriche, en Italie : les montées de l'Arlberg (le col, pas le tunnel), du San Bernardino, et du col de Larche, avec 100 kg de bagages dont quelques pièces (embrayages) et une caisse à outils complète, c'était parfois râlant. Carter latéral gauche démonté pour corriger à tout bout de champ l'avance entre montée et descente, et selon l'altitude.
Il m'est arrivé de courir à côté, la bécane roulant en 1ère ayant déjà fort à faire avec les bagages !
Les néophytes remarqueront la fourche télescopique à l'avant (molle comme du caoutchouc) et le cadre rigide à l'arrière : quand il y avait des nids de poule dans les virages, la roue AR décollait carrément et retombait plus loin...
Le plus marrant était la gueule des passants qui voyaient la moto couchée à l'horizontale (pour éviter d'avoir à vidanger le carter) pendant que je découpais en lamelles des bouchons de pinard afin de regarnir les disques d'embrayage (parmi les pièces achetées à l'ancien concessionnaire il y avait bien un gros stock de liège tout découpé à la forme, mais les cirons y avaient fait plein de trous et ils s'effritaient en les posant).
Re: égreneur automatique
Hello Senor Le grascon!
serait il possible de m'expliquer le principe d'un egreneur?
vis sans fin?,pente?...principe de perception de la poudre?
je n'utilise pour l'instant que des Perfect LEE..
merci!!
serait il possible de m'expliquer le principe d'un egreneur?
vis sans fin?,pente?...principe de perception de la poudre?
je n'utilise pour l'instant que des Perfect LEE..
merci!!
bbl56- Pilier du forum
- Nombre de messages : 1867
Age : 67
Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 15/03/2015
Re: égreneur automatique
un petit tube taraudé avec un pas rapide Et large qui tourne ...arrivé à 95% du poids désiré la balance asservie change la vitesse : il tourne beaucoup plus lentement pour faire l'appoint ..
basique , lent ,cher si acheté , pas plus précis qu'une doseuse manuelle ( quelle qu'elle soit ) bien utilisée...bref...
je vous rassure j'ai aussi ....
je l'utilise
- quand je fais du " un par un "
comprendre , quand je fait de la cartouche à l'unité parce qu'il y a des opérations sur l'étui
je récupère mes étuis recalibrés full et nettoyés en pendant que la bestiole mesure la dose je met la balle et serti éventuellement la cartouche pleine puis je raccourcis , j'ébavure et j'amorce la suivante ...c'est à peu près le temps qu'il lui faut pour faire une dose au 1/100
- et parce que je l'ai acheté ...
mais j'arrive aux mêmes résultats ( mesurés ! ) avec une LEE ppm en tubal / vihta ou une lyman 55 en SP
et cela beaucoup beaucoup plus vite ...
basique , lent ,cher si acheté , pas plus précis qu'une doseuse manuelle ( quelle qu'elle soit ) bien utilisée...bref...
je vous rassure j'ai aussi ....
je l'utilise
- quand je fais du " un par un "
comprendre , quand je fait de la cartouche à l'unité parce qu'il y a des opérations sur l'étui
je récupère mes étuis recalibrés full et nettoyés en pendant que la bestiole mesure la dose je met la balle et serti éventuellement la cartouche pleine puis je raccourcis , j'ébavure et j'amorce la suivante ...c'est à peu près le temps qu'il lui faut pour faire une dose au 1/100
- et parce que je l'ai acheté ...
mais j'arrive aux mêmes résultats ( mesurés ! ) avec une LEE ppm en tubal / vihta ou une lyman 55 en SP
et cela beaucoup beaucoup plus vite ...
fifi25- Membre confirmé
- Nombre de messages : 497
Age : 58
Localisation : Franche Comté
Date d'inscription : 20/12/2018
Re: égreneur automatique
Pour ma part: 9 calibres,avec 13 charges potentielles,et 6 possibilités de poudre.c'est pas énorme mais quand il faut re étalonner la LEE Perfect-j'en ai pourtant 2-,c'est chiant..
positionner les masses sur la balance,appuyer sur un bouton qui va faire tourner le tube de l’égreneur,et deux cellules qui vont "lire" la position de l'aiguille...farniente,non?
positionner les masses sur la balance,appuyer sur un bouton qui va faire tourner le tube de l’égreneur,et deux cellules qui vont "lire" la position de l'aiguille...farniente,non?
Re: égreneur automatique
je ne recharge que l'arme longue avec la LPPM...le reste c'est des pro auto disk ( y compris le tir réduit avec des kit db disk )
et quand je suis parti pour un calibre militaria ..j'en fais un nombre certains et surtout , n'étant pas en haut des tables , je me contrefiche d'une différence de moins de 0.04 gramme
comprendre que 3.00 c'est entre 2.99 et 3.01 ...dans des vieilleries ( y compris suisses ) avec lesquelles on tire sur les coudes ça ne change rien en cible , ou du moins , pas assez pour que je puisse justifier mes erreurs de tir
et quand je suis parti pour un calibre militaria ..j'en fais un nombre certains et surtout , n'étant pas en haut des tables , je me contrefiche d'une différence de moins de 0.04 gramme
comprendre que 3.00 c'est entre 2.99 et 3.01 ...dans des vieilleries ( y compris suisses ) avec lesquelles on tire sur les coudes ça ne change rien en cible , ou du moins , pas assez pour que je puisse justifier mes erreurs de tir
fifi25- Membre confirmé
- Nombre de messages : 497
Age : 58
Localisation : Franche Comté
Date d'inscription : 20/12/2018
Re: égreneur automatique
Quand on bricole un égreneur, un tube lisse suffit. Horizontal ou légèrement incliné d'un sens ou l'autre pour régler le débit : quand le tube tourne, le tas de poudre qui se masse sous le trou de remplissage s'étale en longueur et chemine progressivement vers la sortie. Mais parfois 2 voire 3 grains tombent en même temps !
Dans le principe ça fonctionne effectivement un peu comme une vis sans fin, mais en l'absence de vis ça ne marche qu'à un angle proche de l'horizontale.
Les balances doseuses analogues, mais le tube est intérieurement taraudé d'une amorce de filetage peu profond, qui peut être régularise l'écoulement... (la différence avec un tube lisse n'est toutefois pas si flagrante).
Enfin, j'ai examiné de près seulement une Hornady Auto-Charge (que je ne conseillerais pas).
Ces balances doseuses sont assez appréciées de certains tireur pointilleux, mais toutes ne se valent pas. Certaines affichent le 1/10 de gn mais ne le tiennent pas, d'autres dépassent trop souvent la dose. A ce moment ça bippe, mais avec certaines on peut enlever un peu de poudre avec la pointe du couteau et elle refait l'appoint ; et avec d'autres non, il faut reverser la charge ratée dans le réservoir. En fait, toutes ces machines ne se valent pas, loin de là...
Je n'utilise pas personnellement, mais les munitions d'expérimentation TPM sont généralement chargées comme ça ; ainsi que celles de l'équipe française au King Of 2 Miles, je pense.
Dans le principe ça fonctionne effectivement un peu comme une vis sans fin, mais en l'absence de vis ça ne marche qu'à un angle proche de l'horizontale.
Les balances doseuses analogues, mais le tube est intérieurement taraudé d'une amorce de filetage peu profond, qui peut être régularise l'écoulement... (la différence avec un tube lisse n'est toutefois pas si flagrante).
Enfin, j'ai examiné de près seulement une Hornady Auto-Charge (que je ne conseillerais pas).
Ces balances doseuses sont assez appréciées de certains tireur pointilleux, mais toutes ne se valent pas. Certaines affichent le 1/10 de gn mais ne le tiennent pas, d'autres dépassent trop souvent la dose. A ce moment ça bippe, mais avec certaines on peut enlever un peu de poudre avec la pointe du couteau et elle refait l'appoint ; et avec d'autres non, il faut reverser la charge ratée dans le réservoir. En fait, toutes ces machines ne se valent pas, loin de là...
Je n'utilise pas personnellement, mais les munitions d'expérimentation TPM sont généralement chargées comme ça ; ainsi que celles de l'équipe française au King Of 2 Miles, je pense.
Re: égreneur automatique
Un tube lisse tu dis...ou avec une amorce de filetage.
entre les diam 4,5,6,7 que j'ais en tarauds..je dois avoir la possibilité de faire çà!,et la présence de ce"filetage" devrait etre plus compatible avec toutes les poudres,pour
l'instant,c'est surtout de la A1 et A0 mais je compte bien reprendre les SP9 et TU 5000..
ça devrait faire un lit + régulier de grains.
quel diam fait le tube,approximativement? et la longueur entre entre trou d'arrivée et l’extrémité?
j'accumule les vidéos et photos sur le sujet,et semble t-il les gars ne bouchent pas le tube en "amont du trou",juste derrière: il y a t-il un interet à boucher ou pas?
si j'arrive à faire commander par l'Arduino une variation de tension pour avoir deux vitesses de rotation:un seul tube,un seul moteur.Mais deux jeux de cellules à installer
quand meme autour du fléau. il y des systèmes à fourche déjà assemblés,mais un seul jeu de cellules imposerait une seule vitesse lente
-bon,en armes de poing,c'est entre 0.30 et 0.80 g...ça serait rapide à remplir.
j'ai vu aussi des système où le tube est mis en vibration ..
entre les diam 4,5,6,7 que j'ais en tarauds..je dois avoir la possibilité de faire çà!,et la présence de ce"filetage" devrait etre plus compatible avec toutes les poudres,pour
l'instant,c'est surtout de la A1 et A0 mais je compte bien reprendre les SP9 et TU 5000..
ça devrait faire un lit + régulier de grains.
quel diam fait le tube,approximativement? et la longueur entre entre trou d'arrivée et l’extrémité?
j'accumule les vidéos et photos sur le sujet,et semble t-il les gars ne bouchent pas le tube en "amont du trou",juste derrière: il y a t-il un interet à boucher ou pas?
si j'arrive à faire commander par l'Arduino une variation de tension pour avoir deux vitesses de rotation:un seul tube,un seul moteur.Mais deux jeux de cellules à installer
quand meme autour du fléau. il y des systèmes à fourche déjà assemblés,mais un seul jeu de cellules imposerait une seule vitesse lente
-bon,en armes de poing,c'est entre 0.30 et 0.80 g...ça serait rapide à remplir.
j'ai vu aussi des système où le tube est mis en vibration ..
Re: égreneur automatique
"Amorce de taraudage", c'est vraiment "amorce" : par exemple comme si on passait un taraud de 10 dans un tube de 9.5 à 9.8...
Et pour un essai, il est bien plus simple de commencer par un tube lisse, plus facile à se procurer. Le mien c'est un tube inox très mince, Ø 11 intérieur, Ø 12 extérieur ; fonctionne bien mais on peut sans doute prendre un peu plus petit ; pas plus gros, je pense.
Du tube cuivre c'est plus facile à trouver (chutes de plomberie), avec l'avantage de cotes précises. Si l'on veut monter le tube sur roulements, on pourra les trouver pour du tube extérieur 8, 10 ou 12 (roulement pour 14 y-aura pas).
Mais pour les "amorce-tarauder", y-aurait un sérieux problème de cotes...
Faudrait peut-être panacher : taraud Unified / tube et roulements métriques, ou taraud métrique / tube et roulements "anglais" (le tube cuivre en cotes "pouce" est utilisé par les frigoristes, mais je ne connais pas l'éventail des dimensions). Ou faire le tube sur mesures, en forant un rondin de laiton.
Mon tube est bouché à l'arrière, mais pas à ras du trou (2 ou 3 cm plus loin). J'ai pas testé si c'était utile, car c'était de toutes façons plus facile comme ça.
Pour commander deux niveaux de tension-moteur il suffit d'utiliser 2 sorties : l'une avec résistance en série pour la vitesse lente, l'autre directe pour la vitesse rapide. Enfin, directe ... pour les deux il faut sans doute passer par un transistor amplificateur, qui fera du même coup office de diode anti-retour.
Pour une variation en plage continue il suffit même d'une seule sortie, avec transistor amplificateur direct : on envoie sur la sortie un train d'impulsions à fréquence constante (relativement élevée) mais à durée variable (principe "PWR", le codage est décrit dans tous les b-a-ba de programmation de µC).
C'est sûr que pour en même temps interroger les capteurs sans saute de vitesse, faut optimiser le code... Ou se reposer sur des entrées générant une interruption, dans ce cas on ne surveille pas mais ça réagit instantanément quand le capteur change d'état...
Pour passer en vitesse lente avant la fin, je vois mal comment un capteur optique sur le fléau pourrait donner l'indication, le fléau commençant souvent à bouger presque au dernier moment.
Une solution pourrait être de faire une première pesée pour rien ; le µC mémorisant alors la durée approximativement nécessaire et pouvant donc calculer automatiquement au bout de combien de temps il aurait fallu changer de vitesse.
Les capteurs "fourche opto-électronique", c'est facile à mettre en oeuvre et à positionner. Et à récupérer : dans les anciennes souris à bille ils sont un peu petits, mais il y en avait des plus gros dans les lecteurs de cassette VHS (souvent de forme assez tortueuse parfois commode dans des implantations spéciales), et surtout dans les imprimantes (détecteurs de position de papier).
Faciles à tester aussi ; ils sont rarement HS mais ont parfois une réponse bien atténuée.
J'ai cependant d'énormes doutes ! Ça me paraît un peu trop facile...
Quand on voit la façon dont le fléau oscille, le temps qu'il met à réagir et à se stabiliser, des fourches opto "tout ou rien" risquent d'être complètement larguées.
"Amortir" ça par le code, je vois pas comment...
Il faudrait "suivre" l'augmentation de poids, et même l'anticiper par des calculs basés sur la vitesse d'augmentation préalablement relevée, comme font la plupart des systèmes numériques modernes. Mais généralement c'est des puces spécifiques, je ne sais pas coder ça (mais je suis pas bien matheux).
Pour suivre l'augmentation de poids, il faudrait une balance avec connecteur série ; on trouve ça sur un certain nombre de pieds à coulisse (pas forcément très haut de gamme), mais sur des balances "apacher" j'en ai pas entendu parler. Et pour piquer des "bretelles" sur les circuits internes d'une balance électronique ordinaire, faudrait savoir où on met les pieds (tout au moins la panne du fer à souder).
Un autre système pourrait marcher, moins automatique certes :
Une temporisation fait tourner à vitesse rapide pendant une durée pré-réglée, pour dégrossir (pas besoin de µC, un simple NE 555 suffit). Ensuite on appuie sur un bouton pour faire l'appoint en vitesse lente, avec surveillance visuelle.
L'avantage c'est qu'on ne touche pas le matériel, donc pas de perturbations suite à un mouvement malheureux (interrupteurs séparés de l'égreneur, reliés par un fil souple).
On pourrait aussi imaginer un palpeur mécanisé qui prendrait les grains de poudre un par un, pour les poser dans la coupelle...
Mais si j'avait le temps et l'envie de jouer à ça, je le dépenserais plutôt à fabriquer un robot pour ranger les balles de TLD dans leurs boîtes à compartiments; car là y-a un réel besoin...
Et pour un essai, il est bien plus simple de commencer par un tube lisse, plus facile à se procurer. Le mien c'est un tube inox très mince, Ø 11 intérieur, Ø 12 extérieur ; fonctionne bien mais on peut sans doute prendre un peu plus petit ; pas plus gros, je pense.
Du tube cuivre c'est plus facile à trouver (chutes de plomberie), avec l'avantage de cotes précises. Si l'on veut monter le tube sur roulements, on pourra les trouver pour du tube extérieur 8, 10 ou 12 (roulement pour 14 y-aura pas).
Mais pour les "amorce-tarauder", y-aurait un sérieux problème de cotes...
Faudrait peut-être panacher : taraud Unified / tube et roulements métriques, ou taraud métrique / tube et roulements "anglais" (le tube cuivre en cotes "pouce" est utilisé par les frigoristes, mais je ne connais pas l'éventail des dimensions). Ou faire le tube sur mesures, en forant un rondin de laiton.
Mon tube est bouché à l'arrière, mais pas à ras du trou (2 ou 3 cm plus loin). J'ai pas testé si c'était utile, car c'était de toutes façons plus facile comme ça.
Pour commander deux niveaux de tension-moteur il suffit d'utiliser 2 sorties : l'une avec résistance en série pour la vitesse lente, l'autre directe pour la vitesse rapide. Enfin, directe ... pour les deux il faut sans doute passer par un transistor amplificateur, qui fera du même coup office de diode anti-retour.
Pour une variation en plage continue il suffit même d'une seule sortie, avec transistor amplificateur direct : on envoie sur la sortie un train d'impulsions à fréquence constante (relativement élevée) mais à durée variable (principe "PWR", le codage est décrit dans tous les b-a-ba de programmation de µC).
C'est sûr que pour en même temps interroger les capteurs sans saute de vitesse, faut optimiser le code... Ou se reposer sur des entrées générant une interruption, dans ce cas on ne surveille pas mais ça réagit instantanément quand le capteur change d'état...
Pour passer en vitesse lente avant la fin, je vois mal comment un capteur optique sur le fléau pourrait donner l'indication, le fléau commençant souvent à bouger presque au dernier moment.
Une solution pourrait être de faire une première pesée pour rien ; le µC mémorisant alors la durée approximativement nécessaire et pouvant donc calculer automatiquement au bout de combien de temps il aurait fallu changer de vitesse.
Les capteurs "fourche opto-électronique", c'est facile à mettre en oeuvre et à positionner. Et à récupérer : dans les anciennes souris à bille ils sont un peu petits, mais il y en avait des plus gros dans les lecteurs de cassette VHS (souvent de forme assez tortueuse parfois commode dans des implantations spéciales), et surtout dans les imprimantes (détecteurs de position de papier).
Faciles à tester aussi ; ils sont rarement HS mais ont parfois une réponse bien atténuée.
J'ai cependant d'énormes doutes ! Ça me paraît un peu trop facile...
Quand on voit la façon dont le fléau oscille, le temps qu'il met à réagir et à se stabiliser, des fourches opto "tout ou rien" risquent d'être complètement larguées.
"Amortir" ça par le code, je vois pas comment...
Il faudrait "suivre" l'augmentation de poids, et même l'anticiper par des calculs basés sur la vitesse d'augmentation préalablement relevée, comme font la plupart des systèmes numériques modernes. Mais généralement c'est des puces spécifiques, je ne sais pas coder ça (mais je suis pas bien matheux).
Pour suivre l'augmentation de poids, il faudrait une balance avec connecteur série ; on trouve ça sur un certain nombre de pieds à coulisse (pas forcément très haut de gamme), mais sur des balances "apacher" j'en ai pas entendu parler. Et pour piquer des "bretelles" sur les circuits internes d'une balance électronique ordinaire, faudrait savoir où on met les pieds (tout au moins la panne du fer à souder).
Un autre système pourrait marcher, moins automatique certes :
Une temporisation fait tourner à vitesse rapide pendant une durée pré-réglée, pour dégrossir (pas besoin de µC, un simple NE 555 suffit). Ensuite on appuie sur un bouton pour faire l'appoint en vitesse lente, avec surveillance visuelle.
L'avantage c'est qu'on ne touche pas le matériel, donc pas de perturbations suite à un mouvement malheureux (interrupteurs séparés de l'égreneur, reliés par un fil souple).
On pourrait aussi imaginer un palpeur mécanisé qui prendrait les grains de poudre un par un, pour les poser dans la coupelle...
Mais si j'avait le temps et l'envie de jouer à ça, je le dépenserais plutôt à fabriquer un robot pour ranger les balles de TLD dans leurs boîtes à compartiments; car là y-a un réel besoin...
Re: égreneur automatique
Bonjour à tous,
Étant moi même rechargeur, j'ai conçu ma propre solution, c'est pas très cher (moins de 30euros hors pièces imprimées). Description, conseil de fabrication et code source ici :
RADIN-LOADER (égreneur à poudre automatique)
Étant moi même rechargeur, j'ai conçu ma propre solution, c'est pas très cher (moins de 30euros hors pièces imprimées). Description, conseil de fabrication et code source ici :
RADIN-LOADER (égreneur à poudre automatique)
Groink- Membre
- Nombre de messages : 21
Age : 36
Localisation : 08
Date d'inscription : 28/12/2016
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» doseuse automatique Lyman
» Dans quel pays revendre ses ex-full?
» balance automatique
» modification arme automatique
» FUSIL AUTOMATIQUE MODELE 18
» Dans quel pays revendre ses ex-full?
» balance automatique
» modification arme automatique
» FUSIL AUTOMATIQUE MODELE 18
TIR et COLLECTION Armes Règlementaires :: Le rechargement :: Poudres, presses, outils, composants et techniques de rechargement
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum