Retirer un bronzag
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Verchère
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oxi81
Pâtre
Musicalbox
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Retirer un bronzag
Bonjour,
voici un 98k (fabriquant "ERMA" monomat ) démonté et en phase de nettoyage, recouvert d'un bronzage, de toute évidence pas d'origine et d'aspect....... on va dire bizarre..... Enfin voilà, je souhaite le retirer et quitte à ce que le métal soit à nu, j'aimerai lui redonner un bel aspect.
Que me conseillerez vous (si tant est que ce travail soit judicieux ?) pour ôter le bronzage sans que pour autant le métal ne se retrouve avec une allure ni dégueu ni "bling-bling" , pour info je ne souhaite pas le rebronzer, j'espère que vous me saisissez
Alex
voici un 98k (fabriquant "ERMA" monomat ) démonté et en phase de nettoyage, recouvert d'un bronzage, de toute évidence pas d'origine et d'aspect....... on va dire bizarre..... Enfin voilà, je souhaite le retirer et quitte à ce que le métal soit à nu, j'aimerai lui redonner un bel aspect.
Que me conseillerez vous (si tant est que ce travail soit judicieux ?) pour ôter le bronzage sans que pour autant le métal ne se retrouve avec une allure ni dégueu ni "bling-bling" , pour info je ne souhaite pas le rebronzer, j'espère que vous me saisissez
Alex
Dernière édition par Musicalbox le Lun 30 Avr 2018, 12:26, édité 2 fois
Musicalbox- Membre averti
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Re: Retirer un bronzag
Pour débronzer, utiliser un tampon imbibé de vinaigre blanc.
Le passer la ou l'on veux enlever le bronzage.
Tremper dans un bain marche aussi, mais là il faudrait un grand bac, & beaucoup de vinaigre...
Penser à rincer tout de même (pour neutraliser l'acide).
Facile & pas cher!
Pâtre- Pilier du forum
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Re: Retirer un bronzag
Merci, je vais faire un test avec une petite pièce
Musicalbox- Membre averti
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Re: Retirer un bronzag
On dirait que ces pièces ont été bleuies à la flamme. Probablement au chalumeau.
Si c'est le cas, le vinaigre blanc n'y fera rien bien sur puisque c'est une altération thermique du métal et non chimique.
A ma connaissance pour enlever un bleuissement thermique, il n'y a que le polissage mécanique.
Si c'est le cas, le vinaigre blanc n'y fera rien bien sur puisque c'est une altération thermique du métal et non chimique.
A ma connaissance pour enlever un bleuissement thermique, il n'y a que le polissage mécanique.
François
"Je demande d'emmener avec moi 600 hommes de la Légion étrangère afin de pouvoir, le cas échéant, mourir convenablement"... (Général Gallieni à Madagascar).
oxi81- Pilier du forum
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Re: Retirer un bronzag
oxi81 a écrit:On dirait que ces pièces ont été bleuies à la flamme. Probablement au chalumeau.
Si c'est le cas, le vinaigre blanc n'y fera rien bien sur puisque c'est une altération thermique du métal et non chimique.
A ma connaissance pour enlever un bleuissement thermique, il n'y a que le polissage mécanique.
Si tel est le cas, y a t'il un changement de la trempe de l'acier ?
Musicalbox- Membre averti
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Re: Retirer un bronzag
Non. Un bleuissement thermique est loin, très loin même, d'atteindre la température de trempe.
François
"Je demande d'emmener avec moi 600 hommes de la Légion étrangère afin de pouvoir, le cas échéant, mourir convenablement"... (Général Gallieni à Madagascar).
oxi81- Pilier du forum
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Re: Retirer un bronzag
Comme oxi81, je penche vers un "bleuissage" thermique. Cela m'est arrivé de faire la même chose avec un pontet de fusil de chasse (sans valeur) réparé et traité de la sorte après l'avoir trempé dans de l'huile de vidange.
lou gascoun- Pilier du forum
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Re: Retirer un bronzag
oxi81 a écrit:Non. Un bleuissement thermique est loin, très loin même, d'atteindre la température de trempe.
Merci, la question ce traitement à chaud m'avait refroidi
Musicalbox- Membre averti
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Re: Retirer un bronzag
Si c'est une coloration par la chaleur, au dessus de 320° le bleu aurait viré au gris (ou "vert d'eau", c'est un peu subjectif) ; donc sans altération notable du traitement thermique (sauf si le type s'y est repris à 2 fois, la première étant trop chaude).
Mais si c'est un noir brillant par trempe à l'huile de vidange, la chaleur a pu être bien plus élevée (classiquement, 3 chauffes successives au rouge naissant) ; et ça c'est moins bon !
Pour débronzer, c'est pareil en bronzage chimique ou en coloration par la chaleur (dont la manifestation n'est qu'une oxydation particulière) : vinaigre blanc, éventuellement salé pour en renforcer l'effet. C'est ce qui est recommandé dans l'Instruction de 1905 (et/ou 1884).
Mais sur les séquelles d'une trempe à l'huile ça ne marche pas si bien, car le noir alors obtenu est en partie de la calamine !
Sinon, en alternative au vinaigre, l'acide oxalique (avec lequel un rinçage-neutralisation insuffisant sera moins ravageur).
Mais si c'est un noir brillant par trempe à l'huile de vidange, la chaleur a pu être bien plus élevée (classiquement, 3 chauffes successives au rouge naissant) ; et ça c'est moins bon !
Pour débronzer, c'est pareil en bronzage chimique ou en coloration par la chaleur (dont la manifestation n'est qu'une oxydation particulière) : vinaigre blanc, éventuellement salé pour en renforcer l'effet. C'est ce qui est recommandé dans l'Instruction de 1905 (et/ou 1884).
Mais sur les séquelles d'une trempe à l'huile ça ne marche pas si bien, car le noir alors obtenu est en partie de la calamine !
Sinon, en alternative au vinaigre, l'acide oxalique (avec lequel un rinçage-neutralisation insuffisant sera moins ravageur).
Re: Retirer un bronzag
Bonjour à tous, je ne pense pas qu'il s'agisse d'un bronzage thermique, je penche plutôt pour un bain de mauvaise qualité, en remplaçant le salpêtre par du désherbant (chlorate de soude) par exemple. Et si le milieu de l'arme n'est pas traité c'est que "l'artisan" avait peut être un bac trop petit pour passer l'arme en une seule fois.
PS
PS
Invité- Invité
Re: Retirer un bronzag
Verchère, non le rendu est par endroit soit d'un noir mat profond, soit d'un rendu rouge bordeaux un peu comme j'ai vu sur certain vrais bronzages ou encore d'une couleur jaune paille.
Piotr, je préférerai que ce soit bien un bronzage foireux comme tu le suggère plutôt qu'un tripatouillage hasardeux d'un bricoleur au chalumeau.
Quoiqu'il en soit, un trés grand merci à vous tous, j'ai déjà bien avancé au décapage à la paille de fer, ça part relativement bien avec de la ténacité
Alex
Piotr, je préférerai que ce soit bien un bronzage foireux comme tu le suggère plutôt qu'un tripatouillage hasardeux d'un bricoleur au chalumeau.
Quoiqu'il en soit, un trés grand merci à vous tous, j'ai déjà bien avancé au décapage à la paille de fer, ça part relativement bien avec de la ténacité
Alex
Musicalbox- Membre averti
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Re: Retirer un bronzag
hello
ton bronzage est dégueulasse parce qu'il a été fait sur une surface mal préparée qu'il soit thermique ou chimique . il faut une surface glacée comme un miroir de bordel et bien dégraissée a chaud pour un beau bronzage qu'il soit fait a la couche ou au bain . après il faut chauffer le métal a au moins 80 degrés avant de passer la première couche . il faut aussi la laisser s'oxyder deux jours avant de carder très fort a la laine d'acier . et refaire l'opération une bonne dizaine de fois pour obtenir un noir profond . c'est du boulot et tout les métaux ne s'y prêtent pas forcement bien .vous savez maintenant pourquoi ça coute très cher chez un armurier sérieux .
amicalement
cro
ton bronzage est dégueulasse parce qu'il a été fait sur une surface mal préparée qu'il soit thermique ou chimique . il faut une surface glacée comme un miroir de bordel et bien dégraissée a chaud pour un beau bronzage qu'il soit fait a la couche ou au bain . après il faut chauffer le métal a au moins 80 degrés avant de passer la première couche . il faut aussi la laisser s'oxyder deux jours avant de carder très fort a la laine d'acier . et refaire l'opération une bonne dizaine de fois pour obtenir un noir profond . c'est du boulot et tout les métaux ne s'y prêtent pas forcement bien .vous savez maintenant pourquoi ça coute très cher chez un armurier sérieux .
amicalement
cro
cromagnon 07- Pilier du forum
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Re: Retirer un bronzag
C'est pas moi qui dirai le contraire, crois moi. J'avais traité quelques pièces d'une autre arme au "canon noir" de chez Cartry, le résultat final était vraiment chouette et techniquement parlant pas spécialement compliqué, à la porté de tous à condition d'être patient, mais un boulot long, très long
Musicalbox- Membre averti
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Re: Retirer un bronzag
effectivement c'est pas compliqué mais il faut être méthodique et patient
cromagnon 07- Pilier du forum
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Re: Retirer un bronzag
Musicalbox a écrit:C'est pas moi qui dirai le contraire, crois moi. J'avais traité quelques pièces d'une autre arme au "canon noir" de chez Cartry, le résultat final était vraiment chouette et techniquement parlant pas spécialement compliqué, à la porté de tous à condition d'être patient, mais un boulot long, très long
+1 pour la liqueur carry. Pas compliquée et résultats appreciable
aza09- Membre
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Re: Retirer un bronzag
Bonjour,
la restauration suit son cours, cependant cette incertitude concernant la chauffe des parties métalliques me taraude assez, j'aimerai m'assurer qu'il n'y ai pas de risque, même faible, d'une rupture des tenons de verrouillage. J'envisage de soumettre le fusil au banc d'épreuve à SE (coût + poinçon parasite = ) , sinon quelqu'un aurait-il une idée pour lever toute ambiguïté ? Je suppose qu'un test de dureté n'est pas à la porté de tous.
merci pour vos avis
Alex
la restauration suit son cours, cependant cette incertitude concernant la chauffe des parties métalliques me taraude assez, j'aimerai m'assurer qu'il n'y ai pas de risque, même faible, d'une rupture des tenons de verrouillage. J'envisage de soumettre le fusil au banc d'épreuve à SE (coût + poinçon parasite = ) , sinon quelqu'un aurait-il une idée pour lever toute ambiguïté ? Je suppose qu'un test de dureté n'est pas à la porté de tous.
merci pour vos avis
Alex
Musicalbox- Membre averti
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Re: Retirer un bronzag
Musicalbox a écrit: cette incertitude concernant la chauffe des parties métalliques me taraude assez, j'aimerai m'assurer qu'il n'y ai pas de risque, même faible, d'une rupture des tenons de verrouillage. J'envisage de soumettre le fusil au banc d'épreuve à SE (coût + poinçon parasite = ) , sinon quelqu'un aurait-il une idée pour lever toute ambiguïté ?
Je ne peux que te répéter qu'un bleuissement thermique est loin, très loin même, d'atteindre la température de trempe.
Le bleuissement s'effectue vers 300°, la trempe 950°.
Sinon, le test du banc d'épreuve, tu peux le faire toi même, c'est le tir d'une cartouche à 30% en surcharge.
Et comme ça pas de poinçon parasite.
François
"Je demande d'emmener avec moi 600 hommes de la Légion étrangère afin de pouvoir, le cas échéant, mourir convenablement"... (Général Gallieni à Madagascar).
oxi81- Pilier du forum
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Localisation : Entre la mer et le ciel des Corbières
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Re: Retirer un bronzag
Merci je pense effectuer ce test avec l'arme fixé sur un chevalet.
Musicalbox- Membre averti
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Date d'inscription : 09/10/2015
Re: Retirer un bronzag
Mais une cartouche à 30% de surcharge, ça me semble énorme.....
Musicalbox- Membre averti
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Date d'inscription : 09/10/2015
Re: Retirer un bronzag
La prudence c'est bien, mais faut pas exagérer !
Le bleu s'atteint à peine au dessus de 300°, ce qui n'est pas une température excessive pour un canon. Pour souder la hausse à l'étain, il faut chauffer grosso-modo autant ; et si la soudure des hausses est généralement renforcée par une vis à téton, c'est qu'on prévoit qu'en tir intensif le canon puisse chauffer plus haut que le point de fusion de la soudure...
Le canons sont "revenus" après trempe, à une température à priori bien plus élevée (mais les seuls chiffres dont je dispose sont relatifs au Lebel, à Châtellerault en 1900, avec un revenu à 500°). Un revenu à plus basse température laisse un acier plus dur mais plus cassant ; et l'on trouve plutôt des Mauser de fouille à canons tordu, pas cassés net...
Tant que le réchauffage reste en dessous de la température de revenu, il n'a aucun effet permanent. Effet temporaire oui : un canon chauffé à 400° sera moins résistant que quand il est froid (enfin, "tempéré", car à - 60° il perdra aussi en résistance ; au choc surtout).
Alors, si c'est bien un bleuissement à la chauffe (ce qui n'est pas établi incontestablement), ça assure que la T° n'est pas montée plus haut que, disons 320°. Du moins cette fois là !
Car si l'arme a été auparavant surchauffée puis re-polie, ça ne peut pas se voir. Mais c'est tout aussi valable pour n'importe quelle arme re-bronzée avec les liqueurs usuelles !
Pour une "épreuve perso", la surcharge de 30% semble bien forte !
L'épreuve CIP est une surpression de 25% seulement. Et pas une surcharge de 25%, qui donnerait une surpression assez imprévisible, et à priori dévastatrice. D'ailleurs en 8x57 il y aurait difficilement la place, sauf à utiliser une poudre bien trop vive.
Le bruit court que le banc d'épreuve travaille avec des cartouches ordinaires, simplement pré-chauffées à 80°. Je n'ai cependant aucune information incontestable à ce sujet, et doute d'ailleurs que toutes les poudres réagissent identiquement à la température...
Quant au chevalet d'épreuve, mieux vaut utiliser un gros pneu de camionnette, qui amortira mieux le recul. En attachant par des sangles plates avec interposition d'un vieux pull-over, on évite toutes les marques ; si la plaque de couche est engagée dans le pneu, il n'y a pas besoin de ficeler beaucoup...
Le bleu s'atteint à peine au dessus de 300°, ce qui n'est pas une température excessive pour un canon. Pour souder la hausse à l'étain, il faut chauffer grosso-modo autant ; et si la soudure des hausses est généralement renforcée par une vis à téton, c'est qu'on prévoit qu'en tir intensif le canon puisse chauffer plus haut que le point de fusion de la soudure...
Le canons sont "revenus" après trempe, à une température à priori bien plus élevée (mais les seuls chiffres dont je dispose sont relatifs au Lebel, à Châtellerault en 1900, avec un revenu à 500°). Un revenu à plus basse température laisse un acier plus dur mais plus cassant ; et l'on trouve plutôt des Mauser de fouille à canons tordu, pas cassés net...
Tant que le réchauffage reste en dessous de la température de revenu, il n'a aucun effet permanent. Effet temporaire oui : un canon chauffé à 400° sera moins résistant que quand il est froid (enfin, "tempéré", car à - 60° il perdra aussi en résistance ; au choc surtout).
Alors, si c'est bien un bleuissement à la chauffe (ce qui n'est pas établi incontestablement), ça assure que la T° n'est pas montée plus haut que, disons 320°. Du moins cette fois là !
Car si l'arme a été auparavant surchauffée puis re-polie, ça ne peut pas se voir. Mais c'est tout aussi valable pour n'importe quelle arme re-bronzée avec les liqueurs usuelles !
Pour une "épreuve perso", la surcharge de 30% semble bien forte !
L'épreuve CIP est une surpression de 25% seulement. Et pas une surcharge de 25%, qui donnerait une surpression assez imprévisible, et à priori dévastatrice. D'ailleurs en 8x57 il y aurait difficilement la place, sauf à utiliser une poudre bien trop vive.
Le bruit court que le banc d'épreuve travaille avec des cartouches ordinaires, simplement pré-chauffées à 80°. Je n'ai cependant aucune information incontestable à ce sujet, et doute d'ailleurs que toutes les poudres réagissent identiquement à la température...
Quant au chevalet d'épreuve, mieux vaut utiliser un gros pneu de camionnette, qui amortira mieux le recul. En attachant par des sangles plates avec interposition d'un vieux pull-over, on évite toutes les marques ; si la plaque de couche est engagée dans le pneu, il n'y a pas besoin de ficeler beaucoup...
Re: Retirer un bronzag
Merci ami Vosgien sincèrement toujours plaisant à lire tes conseils après mûre réflexion cette arme subira malgré tout le BE à SE, je ne pourrais jamais tirer sereinement avec le doute de me prendre plein pot la culasse dans la figure , quitte à me faire passer pour un trouillard, j'en déduit : "prudence est mère de sureté". Quoiqu'il en soit, merci à tous !
Alex
Alex
Musicalbox- Membre averti
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Re: Retirer un bronzag
Musicalbox a écrit:Merci je pense effectuer ce test avec l'arme fixé sur un chevalet.
J'ai quelques armes "non CIP" et mon banc d'épreuve perso c'est le tir d'une dizaines de cartouches manufacturées après un démontage et examen soigné de l'arme : Un "Tir à la ficelle" planqué derrière une tôle d'acier au stand en ayant au préalable averti mes voisins... qui me demandent systématiquement de leur léguer mes armes en cas de dispersion brutale façon puzzle.
Si les douilles sortent sans traces suspectes au niveau de l'amorce, corps de la douille et collet, que le bruit est normal et qu'aucune dégradation n'est visuellement constatée sur les différents éléments de l'arme c'est "bon pour le service" ! (sachant que je charge relativement léger par rapport aux manufacturées)
Jusqu'ici je suis toujours là pour en parler donc ca doit aller... :pirat:
MikeDundee- Pilier du forum
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Date d'inscription : 31/08/2015
Re: Retirer un bronzag
Si je fais ça au stand, je suis viré sur le champ
On n'a déjà pas le droit de fixer des poêles derrière les cibles...
Une surcharge de 30% de poudre me parait aussi énorme. Surtout si c'est fait en en plein été. Je ne suis pas sûr que le BE soit irréprochable, mais au moins ils ont de la bouteille.
On n'a déjà pas le droit de fixer des poêles derrière les cibles...
Une surcharge de 30% de poudre me parait aussi énorme. Surtout si c'est fait en en plein été. Je ne suis pas sûr que le BE soit irréprochable, mais au moins ils ont de la bouteille.
yaya1er- Pilier du forum
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Date d'inscription : 28/01/2013
Re: Retirer un bronzag
yaya1er a écrit:
On n'a déjà pas le droit de fixer des poêles derrière les cibles...
Même pas le jour de la chandeleur ?
MikeDundee- Pilier du forum
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Localisation : Picardie
Date d'inscription : 31/08/2015
Re: Retirer un bronzag
Tu ne me l'as pas déjà faite celle-là?
yaya1er- Pilier du forum
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Date d'inscription : 28/01/2013
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