Restauration springfield 1903 a1
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diablo673
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diablo673- Membre
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Re: Restauration springfield 1903 a1
Et en effet, il y a de quoi s'amuser ! Le mieux à mon avis est d'y aller doucement, pour ne rien abîmer irrémédiablement et voir en même temps au fur et à mesure ce que donne chaque technique plus ou moins "agressive"...
"Two roads diverged in a wood, and I -
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference".
konopka- Pilier du forum
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Re: Restauration springfield 1903 a1
Et l'intérieur du canon ?
C'est quand même dommage de ne pas l'avoir testé avant de commencer les travaux
Sinon pour l'état extérieur, je maintiens qu'avec le temps et les savoirs faire, un retour à "presque neuf" est possible
Voir le poste de LP sur son 74 et j'ai encore le souvenir du travail que Philou était capable de faire sur des Mausers
C'est quand même dommage de ne pas l'avoir testé avant de commencer les travaux
Sinon pour l'état extérieur, je maintiens qu'avec le temps et les savoirs faire, un retour à "presque neuf" est possible
Voir le poste de LP sur son 74 et j'ai encore le souvenir du travail que Philou était capable de faire sur des Mausers
Invité- Invité
Re: Restauration springfield 1903 a1
L'intérieur du canon ne présente aucune rouille il y a de belles rainures.
C'est surtout l'extérieur avant du canon qui a pris cher niveau rouille .
le boîtier culasse ainsi que la culasse na quasiment pas de rouille
C'est surtout l'extérieur avant du canon qui a pris cher niveau rouille .
le boîtier culasse ainsi que la culasse na quasiment pas de rouille
diablo673- Membre
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Re: Restauration springfield 1903 a1
Il est piqué, mais c'est normal ce n'est pas une arme neuve, je le trouve encore pas si mal, j'ai vu bien pire. Personnellement je pense qu'il y a moyen de lui donner un aspect très correct avec des méthodes douces. Commence par faire tremper les pièces quelques semaines dans du gazoil pour que ça imprègne bien la rouille, puis frotte tout ça avec des brosses métalliques en laiton, laine d'acier etc... Ainsi tu enlèveras quasiment toute la rouille sans enlever se qui peut subsister de bronzage. Avec ce traitement, il aura déjà bien meilleure gueule. Au pire, un peu de bronzage à froid sur les parties trop blanches pour harmoniser la teinte si tu y tiens vraiment.
Il y a moyen de lui donner un aspect "neuf" en le ponçant et limant proprement avant de le rebronzer, mais si tu n'es pas un expert de ce genre de travail, le résultat risque d’être plus catastrophique qu'autre chose. Et puis, le neuf sur du vieux, bof...
La parkerisation, en plus d’être moche, n'a rien a faire sur ce fusil qui ne l'était pas.
La peinture,j'espère que c'était une plaisanterie.
Il faut surtout bien garder à l'esprit que :
-c'est toujours dommage et inutile de vouloir faire des améliorations esthétiques irréversibles sur une arme historique
-cette arme a 100 ans, il est normal qu'elle ai les stigmates de son age
-le mieux est très souvent l'ennemi du bien
Ce n'est plus si courant que ça les bon springfield qui n'ont pas été bricolés, recannonés, "restaurés", rechambrés etc... Il vaut donc mieux le préserver au maximum dans son état d'origine.
Il y a moyen de lui donner un aspect "neuf" en le ponçant et limant proprement avant de le rebronzer, mais si tu n'es pas un expert de ce genre de travail, le résultat risque d’être plus catastrophique qu'autre chose. Et puis, le neuf sur du vieux, bof...
La parkerisation, en plus d’être moche, n'a rien a faire sur ce fusil qui ne l'était pas.
La peinture,j'espère que c'était une plaisanterie.
Il faut surtout bien garder à l'esprit que :
-c'est toujours dommage et inutile de vouloir faire des améliorations esthétiques irréversibles sur une arme historique
-cette arme a 100 ans, il est normal qu'elle ai les stigmates de son age
-le mieux est très souvent l'ennemi du bien
Ce n'est plus si courant que ça les bon springfield qui n'ont pas été bricolés, recannonés, "restaurés", rechambrés etc... Il vaut donc mieux le préserver au maximum dans son état d'origine.
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Lestat- Pilier du forum
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Re: Restauration springfield 1903 a1
Celui-là il est peut-être "entre deux"... Faut voir une fois dérouillé, s'il peut être simplement "refourbi" sans le "refabriquer".
Alors bien sûr, d'une arme piquée on peut vouloir refaire une arme neuve ; mais c'est alors une autre arme, un "custom" genre "version allégée". Car on aura certes reproduit l'état de surface, mais rien que l'état de surface (et encore, c'est très rarement parfait **).
Si on veut conserver un modèle bien déterminé, il faut d'abord en conserver la matière constitutive. Ce qui est rouillé est définitivement perdu, mais tout ce qui reste est partie constitutive de l'arme, y compris les crêtes des cratères de rouille ; de crête à crête le volume initial y est toujours...
Donc le choix est principalement entre conserver le fond, ou reproduire l'ancienne apparence.
Alors bien sûr, si on considère que l'apparence prime sur le fond ... Y-a de belles copies en pastique !
** On parle souvent des marquages estompés ou des arêtes abattues. Au prix d'un travail très soigné, certains arrivent à l'éviter, tout au moins à le minimiser fortement. Par contre les planéités originelles sont le plus souvent altérées, et la photographie ne fait aucune concession (des reflets variables, là où ils devraient être uniformes). De plus, le polissage est généralement excessif, sans les minuscules traces d'usinage ou de grattage originelles.
Il en découle une impression de malaise ; ça paraît artificiel, ça ressemble à du zamak chromé, ça ne dégage absolument pas l'impression de froide rigueur mécanique de l'arme neuve que ça tente vainement d'imiter !
Autrement dit, il saute aux yeux que ce n'est pas ce que ça prétend être.
Ceci ne vaut toutefois pas quand l'arme est à peine oxydée, et qu'en fait seuls le polissage ultime de fabrication et le bronzage sont à refaire. Mais ici, je crains que ce stade ne soit dépassé.
PS : quelqu'un a suggéré de recompléter le bronzage éventuellement survivant...
Mais l'arme a été électrolysée, non ? Auquel cas il ne subsiste rien du bronzage d'origine ; l'électrolyse laisse souvent une teinte sombre relativement acceptable, mais ça n'a rien du bronzage originel.
Il me semble que la seule technique préservant les reliquats de bronzage est le grattage manuel effectué avec la plus grande délicatesse ; éventuellement précédé d'un décrassage à la soude caustique, et suivi d'un polissage à la laine d'acier ultra-fine imprégnée d'huile (et encore, mollo sur la laine d'acier).
Mais pas de regrets, au vu des photos je crois que ce stade était aussi déjà dépassé (mais je pense tout de même qu'on était encore loin de celui justifiant l'électrolyse).
Alors bien sûr, d'une arme piquée on peut vouloir refaire une arme neuve ; mais c'est alors une autre arme, un "custom" genre "version allégée". Car on aura certes reproduit l'état de surface, mais rien que l'état de surface (et encore, c'est très rarement parfait **).
Si on veut conserver un modèle bien déterminé, il faut d'abord en conserver la matière constitutive. Ce qui est rouillé est définitivement perdu, mais tout ce qui reste est partie constitutive de l'arme, y compris les crêtes des cratères de rouille ; de crête à crête le volume initial y est toujours...
Donc le choix est principalement entre conserver le fond, ou reproduire l'ancienne apparence.
Alors bien sûr, si on considère que l'apparence prime sur le fond ... Y-a de belles copies en pastique !
** On parle souvent des marquages estompés ou des arêtes abattues. Au prix d'un travail très soigné, certains arrivent à l'éviter, tout au moins à le minimiser fortement. Par contre les planéités originelles sont le plus souvent altérées, et la photographie ne fait aucune concession (des reflets variables, là où ils devraient être uniformes). De plus, le polissage est généralement excessif, sans les minuscules traces d'usinage ou de grattage originelles.
Il en découle une impression de malaise ; ça paraît artificiel, ça ressemble à du zamak chromé, ça ne dégage absolument pas l'impression de froide rigueur mécanique de l'arme neuve que ça tente vainement d'imiter !
Autrement dit, il saute aux yeux que ce n'est pas ce que ça prétend être.
Ceci ne vaut toutefois pas quand l'arme est à peine oxydée, et qu'en fait seuls le polissage ultime de fabrication et le bronzage sont à refaire. Mais ici, je crains que ce stade ne soit dépassé.
PS : quelqu'un a suggéré de recompléter le bronzage éventuellement survivant...
Mais l'arme a été électrolysée, non ? Auquel cas il ne subsiste rien du bronzage d'origine ; l'électrolyse laisse souvent une teinte sombre relativement acceptable, mais ça n'a rien du bronzage originel.
Il me semble que la seule technique préservant les reliquats de bronzage est le grattage manuel effectué avec la plus grande délicatesse ; éventuellement précédé d'un décrassage à la soude caustique, et suivi d'un polissage à la laine d'acier ultra-fine imprégnée d'huile (et encore, mollo sur la laine d'acier).
Mais pas de regrets, au vu des photos je crois que ce stade était aussi déjà dépassé (mais je pense tout de même qu'on était encore loin de celui justifiant l'électrolyse).
Re: Restauration springfield 1903 a1
Verchère a écrit:Celui-là il est peut-être "entre deux"... Faut voir une fois dérouillé, s'il peut être simplement "refourbi" sans le "refabriquer".
Alors bien sûr, d'une arme piquée on peut vouloir refaire une arme neuve ; mais c'est alors une autre arme, un "custom" genre "version allégée". Car on aura certes reproduit l'état de surface, mais rien que l'état de surface (et encore, c'est très rarement parfait **).
Si on veut conserver un modèle bien déterminé, il faut d'abord en conserver la matière constitutive. Ce qui est rouillé est définitivement perdu, mais tout ce qui reste est partie constitutive de l'arme, y compris les crêtes des cratères de rouille ; de crête à crête le volume initial y est toujours...
Donc le choix est principalement entre conserver le fond, ou reproduire l'ancienne apparence.
Alors bien sûr, si on considère que l'apparence prime sur le fond ... Y-a de belles copies en pastique !
** On parle souvent des marquages estompés ou des arêtes abattues. Au prix d'un travail très soigné, certains arrivent à l'éviter, tout au moins à le minimiser fortement. Par contre les planéités originelles sont le plus souvent altérées, et la photographie ne fait aucune concession (des reflets variables, là où ils devraient être uniformes). De plus, le polissage est généralement excessif, sans les minuscules traces d'usinage ou de grattage originelles.
Il en découle une impression de malaise ; ça paraît artificiel, ça ressemble à du zamak chromé, ça ne dégage absolument pas l'impression de froide rigueur mécanique de l'arme neuve que ça tente vainement d'imiter !
Autrement dit, il saute aux yeux que ce n'est pas ce que ça prétend être.
Ceci ne vaut toutefois pas quand l'arme est à peine oxydée, et qu'en fait seuls le polissage ultime de fabrication et le bronzage sont à refaire. Mais ici, je crains que ce stade ne soit dépassé.
PS : quelqu'un a suggéré de recompléter le bronzage éventuellement survivant...
Mais l'arme a été électrolysée, non ? Auquel cas il ne subsiste rien du bronzage d'origine ; l'électrolyse laisse souvent une teinte sombre relativement acceptable, mais ça n'a rien du bronzage originel.
Il me semble que la seule technique préservant les reliquats de bronzage est le grattage manuel effectué avec la plus grande délicatesse ; éventuellement précédé d'un décrassage à la soude caustique, et suivi d'un polissage à la laine d'acier ultra-fine imprégnée d'huile (et encore, mollo sur la laine d'acier).
Mais pas de regrets, au vu des photos je crois que ce stade était aussi déjà dépassé (mais je pense tout de même qu'on était encore loin de celui justifiant l'électrolyse).
effectivement j'ai fait une petit électrolyse très léger (5V 0.1 A) de l'avant du canon de la parti métallique la ou on mais l’épaule pour tiré (je ne connais pas le nom exacte)et la pièce qui fais jonction entre les 2 partie de la crosse .
pour ce qui est du bronzage je dirais qu'il reste peut être 10% ....
diablo673- Membre
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Re: Restauration springfield 1903 a1
je suis en train de chercher mon produit bronzage . Vous pensez quoi de celui-là https://www.arme-cartry.com/bronzage/942-noir-de-guerre.html
La couleur est adapté à mon style d'armes?
La couleur est adapté à mon style d'armes?
diablo673- Membre
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Re: Restauration springfield 1903 a1
Perso, voilà le résultat obtenu sur mon Mauser avec de l’huile de coude et de la retenue pour ne pas le dénaturer
https://www.tircollection.com/t41264-suite-et-fin-page-3-restauration-mauser-k98-byf-42#
https://www.tircollection.com/t41264-suite-et-fin-page-3-restauration-mauser-k98-byf-42#
steph2706- Membre confirmé
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Re: Restauration springfield 1903 a1
J'ai profité du confinement pour avancer sur la restauration du fusil toutes les pièces sont en train de faire bronzage a chaud perso si c'était à refaire je le ferai pas un boulot monstre.... Là je suis en train de m'occuper de la crosse nettoyage en profondeur puit poncer huilé . J'ai une petite question j'ai deux éclats sur la crosse qu'est-ce que je pourrais faire. Colle à bois ? Mastic ?
diablo673- Membre
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Re: Restauration springfield 1903 a1
j'avais gardé la poudre de bois issue du ponçage de ma crosse.
mélangée avec de la colle à bois, cela va très bien pour colmater les éclats.
toutefois, la teinte est légèrement plus foncée…(le cas sur ma crosse).
bon choix d'un bronzage à chaud; du boulot mais le résultat est à la hauteur.
quel produit as tu utilisé?
mélangée avec de la colle à bois, cela va très bien pour colmater les éclats.
toutefois, la teinte est légèrement plus foncée…(le cas sur ma crosse).
bon choix d'un bronzage à chaud; du boulot mais le résultat est à la hauteur.
quel produit as tu utilisé?
capitaine conan- Futur pilier
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Re: Restauration springfield 1903 a1
Ok je vais essayer sa , j'ai utilisé les produits de chez cartry
diablo673- Membre
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Re: Restauration springfield 1903 a1
Pour ce genre d'éclats, la colle de menuiserie ordinaire (colle blanche) fait souvent l'affaire ; une fois sèche elle est transprente, et en grattant à ras la bavure de colle solidifiée c'est souvent invisible.
Mais il faut attendre qu'elle soit durcie (transparente), et surtout éviter d'essuyer les bavures au moment du collage, car alors ça marque (cette colle n'imprègne le bois que si elle est pressée, mais la moindre pression suffit à laisser une auréole).
C'est le problème : après encollage (à la seringue avec une très grosse aiguille) il faut presser durant une demi-journée, sans laisser de marques de pression et sans appuyer les zones où la colle "chie" (sinon ça la presse contre le bois). Il faut donc souvent préparer des cales de forme, des tortillons de ficelle, des protections d'angle, etc.
Pour être quasi-invisible, l'éclat doit être pressé jusqu'à ce que l'épaisseur de colle soit quasi-nulle.
Il y-a parfois un manque, là où le bord de l'esquille s'est usé ou arraché. Mais souvent (très souvent) les reprises à la pâte à bois (même "faite maison" à partir de sciure du même bois) sautent bien plus aux yeux que le manque initial (d'autant qu'elles foncent très différemment du bois voisin, quand on passe ensuite l'huile de lin).
Alors s'il faut absolument bloquer les fissures, il faut éventuellement admettre des petits éclats manquants (si c'est gros, on rapporte une pièce soigneusement ajustée ; qui se verra, mais alors c'est surtout le soin apporté à l'ajustement, qu'on remarquera).
Les produits compliqués, colles multi-composants, pâtes miracle, sont généralement inutiles voire néfastes (en en plus coûteux, et en plus le reliquat se conserve souvent mal à long terme). Un collage bien fait à la colle blanche résiste normalement plus que le bois voisin (c'est à dire que si on force à nouveau, ça casse parallèlement au collage, mais à côté de celui-ci). Les colles plus spécialisées n'ont d'intérêt que si le bois est gras et non dégraissable, ou s'il faut de l'épaisseur (bedding).
En fait ce qui compte le plus n'est pas la colle, mais la façon de l'appliquer et de la presser (une répétition "en blanc" est indispensable).
Mais il faut attendre qu'elle soit durcie (transparente), et surtout éviter d'essuyer les bavures au moment du collage, car alors ça marque (cette colle n'imprègne le bois que si elle est pressée, mais la moindre pression suffit à laisser une auréole).
C'est le problème : après encollage (à la seringue avec une très grosse aiguille) il faut presser durant une demi-journée, sans laisser de marques de pression et sans appuyer les zones où la colle "chie" (sinon ça la presse contre le bois). Il faut donc souvent préparer des cales de forme, des tortillons de ficelle, des protections d'angle, etc.
Pour être quasi-invisible, l'éclat doit être pressé jusqu'à ce que l'épaisseur de colle soit quasi-nulle.
Il y-a parfois un manque, là où le bord de l'esquille s'est usé ou arraché. Mais souvent (très souvent) les reprises à la pâte à bois (même "faite maison" à partir de sciure du même bois) sautent bien plus aux yeux que le manque initial (d'autant qu'elles foncent très différemment du bois voisin, quand on passe ensuite l'huile de lin).
Alors s'il faut absolument bloquer les fissures, il faut éventuellement admettre des petits éclats manquants (si c'est gros, on rapporte une pièce soigneusement ajustée ; qui se verra, mais alors c'est surtout le soin apporté à l'ajustement, qu'on remarquera).
Les produits compliqués, colles multi-composants, pâtes miracle, sont généralement inutiles voire néfastes (en en plus coûteux, et en plus le reliquat se conserve souvent mal à long terme). Un collage bien fait à la colle blanche résiste normalement plus que le bois voisin (c'est à dire que si on force à nouveau, ça casse parallèlement au collage, mais à côté de celui-ci). Les colles plus spécialisées n'ont d'intérêt que si le bois est gras et non dégraissable, ou s'il faut de l'épaisseur (bedding).
En fait ce qui compte le plus n'est pas la colle, mais la façon de l'appliquer et de la presser (une répétition "en blanc" est indispensable).
Petite collection de documents anciens et récents : http://p.lacour.malvaux.free.fr/Arquebuses.htm
diablo673- Membre
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Re: Restauration springfield 1903 a1
Ouai, ba il était mieux avant....
Enfin, c'est ton arme, tu en fais se que tu en veux, du moment qu'il te plait...
Enfin, c'est ton arme, tu en fais se que tu en veux, du moment qu'il te plait...
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Lestat- Pilier du forum
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sprinfield 1903
bonjour
ton bronzage est beau
le bois ponce huile n est pas mal
j ai hate de voir les photos une qu il
sera fini du travail de titan et si ca te
convient et que tu prend du plaisir
au stand alors la
cdt phil bullock
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le bois ponce huile n est pas mal
j ai hate de voir les photos une qu il
sera fini du travail de titan et si ca te
convient et que tu prend du plaisir
au stand alors la
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phil bullock- Pilier du forum
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Re: Restauration springfield 1903 a1
bonsoir
le marquage de crosse à disparu ?
à+
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50HBM2- Membre confirmé
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Re: Restauration springfield 1903 a1
Il a l'air pas mal du tout. Félicitations
LP- Pilier du forum
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