Un Arisaka type 38
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Jeppesen
HELIX
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SMU- Membre expert
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Re: Un Arisaka type 38
En 6,5x51SR (ou rechambré?)
Bientôt plein d'infos! Sur ta baïo & ton fusil Siamois (Thaï)
On voit pas bien, mais il semble que ton couvre-culasse soit au N° de l'arme!
Pâtre- Pilier du forum
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Re: Un Arisaka type 38
En calibre d'origine 6X51SR, j'ai commandé une boîte de Norma (le prix!!!)
Le couvre culasse est au n° comme indiqué dans le sous titre (derniers chiffres 285)
la baïonnette modèle Arizaka simplifiée fabrication de crise en 1944 par Toyoda Jidoshoki Seisakushu pour Nagoya arsenal.
Fusil Siamois? quels marquages le situant ?
Le couvre culasse est au n° comme indiqué dans le sous titre (derniers chiffres 285)
la baïonnette modèle Arizaka simplifiée fabrication de crise en 1944 par Toyoda Jidoshoki Seisakushu pour Nagoya arsenal.
Fusil Siamois? quels marquages le situant ?
Dernière édition par SMU le Ven 13 Mar - 17:09, édité 1 fois
SMU- Membre expert
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Re: Un Arisaka type 38
SMU a écrit:En calibre d'origine 6X51SR, j'ai commandé une boîte de Norma (le prix!!!)
Le couvre culasse est au n° comme indiqué dans le sous titre (derniers chiffres 285)
la baïonnette est une type 30 simplifiée fabrication de crise en 1944 par Toyoda Jidoshoki Seisakushu pour Nagoya arsenal.
Fusil Siamois? quels marquages le situant ?
Le chrysanthème
Il a été modifié.
HELIX- Administrateur
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Re: Un Arisaka type 38
Oui je connais la modification du chrysanthème, mais uniquement pour la Thaïlande ou d'autres pays ?
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Re: Un Arisaka type 38
SMU a écrit:....
Fusil Siamois? quels marquages le situant ?
Pour un ignare tel que moi: Symbole Impérial "dénaturé" par de petits cercle => contrat pour le Siam.
Dans pas longtemps, tu auras des info plus précises! => fabrication de tel arsenal, du N° tant au N° tant = contrat "Thaï"!
Et plein d'autres infos!
PPU fait des étuis. Pas évident d'en choper!
Pâtre- Pilier du forum
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Re: Un Arisaka type 38
Comme tu l'auras sans doute compris, le SIAM est l'ancien nom de la THAÏLANDE
Belle arme, bien sympa, munie de sa baïonnette, et dans son calibre d'origine
Belle arme, bien sympa, munie de sa baïonnette, et dans son calibre d'origine
Tallyhoo ! Tallyhoo !
Jeppesen- Pilier du forum
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Re: Un Arisaka type 38
Le mien est malheureusement rechambré en 6,5 x 57....pour être, à l'époque, classé en "5ème catégorie" !
mais il tire malgré tout très bien (enfin, il me donne satisfaction, en tous cas), donc pas bien grave
mais il tire malgré tout très bien (enfin, il me donne satisfaction, en tous cas), donc pas bien grave
Tallyhoo ! Tallyhoo !
Jeppesen- Pilier du forum
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Re: Un Arisaka type 38
Bonjour,
Nous avons là un fusil Arisaka (avec un "S", à prononcer comme s'il y en avait deux) Type 38 datant de 1940 et issu de la série 27, produite par l'Arsenal de Nagoya (Chigusa).
Comme indiqué plus haut, il fait partie d'un "arrangement" passé entre le Japon et la Thaïlande et honoré en 1940 : l'empire du soleil levant a fournit entre autres choses 25.000 fusils Type 38 (et leurs baïonnettes) et reçut en échange des matières premières (dont du riz).
Numéroté 77.285, il s'agit d'ailleurs du nouveau "plus haut numéro de série recensé" faisant partie du contrat Thaïlandais ! Jusqu'à présent, j'avais vu en Allemagne le 76.950. L'auteur Francis Allan cite également le numéro 77.214 mais en tant que Type 83/88 (un rare modification du Type 83).
Sur un Arisaka, le chrysanthème symbolise la propriété de l'Empereur. Ainsi, dès lors qu'une arme marquée de cet emblème quittait le service de l'Armée Impériale, cette marque d'appartenance n'avait plus lieu d'exister, et était symboliquement "neutralisée" au moyen d'un sur-marquage visant à la dénaturer.
Les méthodes de neutralisation du chrysanthème ont évolué au fil des époques. Par exemple, sur le chrysanthème des armes fournies à la France, la Grande-Bretagne et la Russie durant la première guerre mondiale, on trouvera le marquage des "cannonballs" de Tokyo/Kokura car c'était la méthode de neutralisation en vigueur à cette époque. L'apposition des 8 cercles/zéros à l'extrémité des 16 pétales a fait son apparition à la fin des années 30 et a donc naturellement été utilisée pour "neutraliser" le chrysanthème des Type 38 fournis à la Thaïlande (mais un chrysanthème "8-zéros" ne signifie pas nécessairement que l'arme fait forcément partie du contrat Thaïlandais).
On peut donc se dire que le doute est permit et que cette arme a peut-être quitté le service impérial à d'autres fins qu'un séjour en Thaïlande... Oui, mais non. Après avoir observé plus de 120 Type 38 "contrat Thaï" ainsi que leurs chrysanthèmes mutilés, je peux reconnaitre la "signature" du préposé à la neutralisation qui a indubitablement accompli sa triste besogne "à la chaine" et déterminer d'un simple coup d’œil s'il s'agissait du "méticuleux" de chez Kokura ou du "pas très soigneux" de chez Nagoya. Tout ça pour dire que même si cela ne saute pas aux yeux de prime abord, un chrysanthème "8-zéros" n'en vaut pas un autre : les versions "Thaïlandaises" ayant leurs propres caractéristiques, différentes d'un Arsenal à l'autre. Et là on reconnaît bien une neutralisation typique de chez Nagoya, effectuée à la chaine sur les milliers d'exemplaires fournis à la Thaïlande.
C'est un bel exemplaire, il ne lui manque qu'une baguette de nettoyage (modèle bronzé) !
En regardant sur le dessus de la crosse, à l'intérieur du col de cygne, tu apercevras peut-être un marquage vaguement circulaire d'environ 1 cm de diamètre. On l'attribue à la Royal Air Force Thaîlandaise... mais il est plus souvent absent que présent.
La baïonnette est une fabrication Toyoda Jido Shokki Seisakusho K.K. (Métiers à tisser automatiques Toyoda), une filiale du groupe Toyota d'aujourd'hui.
Durant la guerre, le Japon fit énormément appel à la sous-traitance pour assurer la production de certaines choses, y-compris les baïonnettes, dont Toyoda fut l'un des fabricants privés les plus prolifiques, avec un très large éventail de variantes. Sa production fut supervisée par l'Arsenal de Nagoya.
La tienne est une variante plutôt tardive, mais pas trop (ce n'est pas encore la fabrication "de crise" évoquée). La date que tu avances (1944) est plausible, je miserais également là-dessus, mais on ne peut pas en être certain. Le fourreau pourrait nous en dire un peu plus. Pour l'anecdote, le logo de Toyoda est du troisième/dernier type (production standard/tardive).
J'ai (presque) la même variante, affichant des poinçons de réception sur les plaquettes (que l'auteur Américain Raymond Labar identifie comme une variante à part entière dont il évalue le niveau de rareté à 8/10). Elle possède un fourreau en bois.
Quoi qu'il en soit, ta baïonnette a sa place sur un Type 38, mais moins sur un Type 83 (en configuration "Thaïlandaise"), lesquels étaient surtout équipés de baïonnettes Type 30 de production Riken Kogyo K.K. avec logo premier type (triangle à l'envers), dans une moindre mesure des fabrications Kaneshiro Sakuganki K.K. ou Arsenal de Kokura.
Nous avons là un fusil Arisaka (avec un "S", à prononcer comme s'il y en avait deux) Type 38 datant de 1940 et issu de la série 27, produite par l'Arsenal de Nagoya (Chigusa).
Comme indiqué plus haut, il fait partie d'un "arrangement" passé entre le Japon et la Thaïlande et honoré en 1940 : l'empire du soleil levant a fournit entre autres choses 25.000 fusils Type 38 (et leurs baïonnettes) et reçut en échange des matières premières (dont du riz).
Ces armes furent baptisées en abrégé เเบบ ๘๓ (Type 83) par les Thaïlandais, en référence à l'année 2483 du calendrier bouddhiste (ni plus ni moins 1940). Elles ont été directement issues des productions alors en cours dans les Arsenaux de Kokura (série 25) et Nagoya (série 27).
Le Type 38 "Nagoya, série 27 - contrat Thaï" est la variante d'Arisaka la plus "courante" en France et en Europe. Du moins, c'est celle que j'ai personnellement le plus recensé. Ceci dit, l'exemplaire présenté ici se démarque d'une part par son état de conservation supérieur à la moyenne, son couvre-culasse "au numéro" ainsi que par le fait d'avoir visiblement été épargné par les poinçons parasites (ce qui est exceptionnel, disons-le).Numéroté 77.285, il s'agit d'ailleurs du nouveau "plus haut numéro de série recensé" faisant partie du contrat Thaïlandais ! Jusqu'à présent, j'avais vu en Allemagne le 76.950. L'auteur Francis Allan cite également le numéro 77.214 mais en tant que Type 83/88 (un rare modification du Type 83).
Sur un Arisaka, le chrysanthème symbolise la propriété de l'Empereur. Ainsi, dès lors qu'une arme marquée de cet emblème quittait le service de l'Armée Impériale, cette marque d'appartenance n'avait plus lieu d'exister, et était symboliquement "neutralisée" au moyen d'un sur-marquage visant à la dénaturer.
Les méthodes de neutralisation du chrysanthème ont évolué au fil des époques. Par exemple, sur le chrysanthème des armes fournies à la France, la Grande-Bretagne et la Russie durant la première guerre mondiale, on trouvera le marquage des "cannonballs" de Tokyo/Kokura car c'était la méthode de neutralisation en vigueur à cette époque. L'apposition des 8 cercles/zéros à l'extrémité des 16 pétales a fait son apparition à la fin des années 30 et a donc naturellement été utilisée pour "neutraliser" le chrysanthème des Type 38 fournis à la Thaïlande (mais un chrysanthème "8-zéros" ne signifie pas nécessairement que l'arme fait forcément partie du contrat Thaïlandais).
On peut donc se dire que le doute est permit et que cette arme a peut-être quitté le service impérial à d'autres fins qu'un séjour en Thaïlande... Oui, mais non. Après avoir observé plus de 120 Type 38 "contrat Thaï" ainsi que leurs chrysanthèmes mutilés, je peux reconnaitre la "signature" du préposé à la neutralisation qui a indubitablement accompli sa triste besogne "à la chaine" et déterminer d'un simple coup d’œil s'il s'agissait du "méticuleux" de chez Kokura ou du "pas très soigneux" de chez Nagoya. Tout ça pour dire que même si cela ne saute pas aux yeux de prime abord, un chrysanthème "8-zéros" n'en vaut pas un autre : les versions "Thaïlandaises" ayant leurs propres caractéristiques, différentes d'un Arsenal à l'autre. Et là on reconnaît bien une neutralisation typique de chez Nagoya, effectuée à la chaine sur les milliers d'exemplaires fournis à la Thaïlande.
C'est un bel exemplaire, il ne lui manque qu'une baguette de nettoyage (modèle bronzé) !
En regardant sur le dessus de la crosse, à l'intérieur du col de cygne, tu apercevras peut-être un marquage vaguement circulaire d'environ 1 cm de diamètre. On l'attribue à la Royal Air Force Thaîlandaise... mais il est plus souvent absent que présent.
La baïonnette est une fabrication Toyoda Jido Shokki Seisakusho K.K. (Métiers à tisser automatiques Toyoda), une filiale du groupe Toyota d'aujourd'hui.
Durant la guerre, le Japon fit énormément appel à la sous-traitance pour assurer la production de certaines choses, y-compris les baïonnettes, dont Toyoda fut l'un des fabricants privés les plus prolifiques, avec un très large éventail de variantes. Sa production fut supervisée par l'Arsenal de Nagoya.
La tienne est une variante plutôt tardive, mais pas trop (ce n'est pas encore la fabrication "de crise" évoquée). La date que tu avances (1944) est plausible, je miserais également là-dessus, mais on ne peut pas en être certain. Le fourreau pourrait nous en dire un peu plus. Pour l'anecdote, le logo de Toyoda est du troisième/dernier type (production standard/tardive).
J'ai (presque) la même variante, affichant des poinçons de réception sur les plaquettes (que l'auteur Américain Raymond Labar identifie comme une variante à part entière dont il évalue le niveau de rareté à 8/10). Elle possède un fourreau en bois.
Quoi qu'il en soit, ta baïonnette a sa place sur un Type 38, mais moins sur un Type 83 (en configuration "Thaïlandaise"), lesquels étaient surtout équipés de baïonnettes Type 30 de production Riken Kogyo K.K. avec logo premier type (triangle à l'envers), dans une moindre mesure des fabrications Kaneshiro Sakuganki K.K. ou Arsenal de Kokura.
Recense Nambu, Arisaka, lunettes et autres nipponeries :
https://www.tircollection.com/t27557-recensement-des-armes-japonaises-1893-1945
Badabom- Membre expert
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Re: Un Arisaka type 38
b'in voilà!
Cool, la lame-chargeur!
J'en ai vu "passer" quelques unes. Mais en très mauvais état. P'i chères!
Pâtre- Pilier du forum
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Re: Un Arisaka type 38
Des puits de science je vous dis !!!!!
Donc bien noté tout ça.
Une photo de ma seconde baïonnette qui serait donc plus en accord avec ce fusil, une type 30 de Tokyo Kokura, quant aux 2 fourreaux ils sont métalliques plus courants.
Le S d'Arisaka m'a échappé (surtout après une licence de langue japonaise qui date un peu).
Pas de poinçons sur la crosse excepté un O derrière le battant de bretelle et peut être un symbole (voir photo)
Merci pour toutes ces infos.
J'ai peu d'espoir de trouver la baguette de nettoyage.
Sylvain
Donc bien noté tout ça.
Une photo de ma seconde baïonnette qui serait donc plus en accord avec ce fusil, une type 30 de Tokyo Kokura, quant aux 2 fourreaux ils sont métalliques plus courants.
Le S d'Arisaka m'a échappé (surtout après une licence de langue japonaise qui date un peu).
Pas de poinçons sur la crosse excepté un O derrière le battant de bretelle et peut être un symbole (voir photo)
Merci pour toutes ces infos.
J'ai peu d'espoir de trouver la baguette de nettoyage.
Sylvain
Dernière édition par SMU le Sam 14 Mar - 9:11, édité 2 fois
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Re: Un Arisaka type 38
Merci pour ces photos complémentaires.
Les marquages O et チ (katakana "chi", marque de contrôle de site du production de Chigusa de l'Arsenal de Nagoya) visibles derrière le passant de bretelles sont des poinçons habituels sur ce modèle de fusil.
Le kanji 名 est l'initiale de 名古屋 (Nagoya), c'est le poinçon d'acceptation de l'Arsenal de Nagoya. Il est également visible sur le boitier, à droite du numéro de série.
Si on la veut authentique, il sera difficile de trouver une bonne baguette de nettoyage par chez nous, mais il en passe de temps en temps aux US (entre 70 et 80 USD pour ce modèle).
Ta seconde baïo' Type 30 est une fabrication Arsenal de Tokyo. C'est le fabricant le plus prolifique. La lame bronzée est une caractéristique intéressante qui indique soit une fabrication très tardive, soit un reconditionnement en Arsenal. Il faudrait regarder sur le pommeau s'il y a un poinçon de reconditionnement (en général, c'est Kokura qui s'en occupait).
Concernant la première Type 30 (celle produite par Toyoda), si c'est bien son fourreau d'origine on peut la placer globalement dans le milieu de la production de ce fabricant (c'est un avis purement personnel mais je dirais de fin 1943 à milieu 1944).
Les variantes suivantes seront équipées de fourreaux en bois, dont voici un aperçu de mon exemplaire :
Les marquages O et チ (katakana "chi", marque de contrôle de site du production de Chigusa de l'Arsenal de Nagoya) visibles derrière le passant de bretelles sont des poinçons habituels sur ce modèle de fusil.
Le kanji 名 est l'initiale de 名古屋 (Nagoya), c'est le poinçon d'acceptation de l'Arsenal de Nagoya. Il est également visible sur le boitier, à droite du numéro de série.
Si on la veut authentique, il sera difficile de trouver une bonne baguette de nettoyage par chez nous, mais il en passe de temps en temps aux US (entre 70 et 80 USD pour ce modèle).
Ta seconde baïo' Type 30 est une fabrication Arsenal de Tokyo. C'est le fabricant le plus prolifique. La lame bronzée est une caractéristique intéressante qui indique soit une fabrication très tardive, soit un reconditionnement en Arsenal. Il faudrait regarder sur le pommeau s'il y a un poinçon de reconditionnement (en général, c'est Kokura qui s'en occupait).
Concernant la première Type 30 (celle produite par Toyoda), si c'est bien son fourreau d'origine on peut la placer globalement dans le milieu de la production de ce fabricant (c'est un avis purement personnel mais je dirais de fin 1943 à milieu 1944).
Les variantes suivantes seront équipées de fourreaux en bois, dont voici un aperçu de mon exemplaire :
Dernière édition par Badabom le Ven 27 Mar - 15:22, édité 1 fois
Recense Nambu, Arisaka, lunettes et autres nipponeries :
https://www.tircollection.com/t27557-recensement-des-armes-japonaises-1893-1945
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Re: Un Arisaka type 38
Les marquages devraient se trouver sous le pommeau...
Mais si cette baïonnette a connu le service entre des mains "non japonaises", il est possible qu'ils aient été supprimés.
Mais si cette baïonnette a connu le service entre des mains "non japonaises", il est possible qu'ils aient été supprimés.
Recense Nambu, Arisaka, lunettes et autres nipponeries :
https://www.tircollection.com/t27557-recensement-des-armes-japonaises-1893-1945
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Re: Un Arisaka type 38
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effectivement un beau fusil, la question est...si je devais en choisir pour la période WW2 , lequel...?
joselito- Modérateur
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Re: Un Arisaka type 38
Bien regardé la baïonnette sous toutes les coutures mais rien trouvé de plus.
Donc ça fait un T38/83 de plus pour ton recensement !
Sylvain
Donc ça fait un T38/83 de plus pour ton recensement !
Sylvain
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Re: Un Arisaka type 38
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Winston Churchill.
Nicomidway- Pilier du forum
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Re: Un Arisaka type 38
Celui-là n'est pas si "last ditch" que ça, il a encore son marquage "Type 99" sur le boitier et la soudure du verrou de sécurité est très propre (en comparaison de ce qu'on peut voir parfois).
Recense Nambu, Arisaka, lunettes et autres nipponeries :
https://www.tircollection.com/t27557-recensement-des-armes-japonaises-1893-1945
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Re: Un Arisaka type 38
Merci de vos réponses, je vais regarder sur le web.....je n'ai pas ce type de fusil....
joselito- Modérateur
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