MG 42 Mauser

Sardanapale a écrit:Bonjour,
J'ai consulté ce post plusieurs fois, mais comme je n'avais rien de pertinent à écrire (si ce n'est que le marquage du couvre culasse semble être en partie fait à la main et par dessus une corrosion ancienne) je me suis abstenu.

Marquage couvre culasse ? 

konopka a écrit:

Marquage couvre culasse ? 

Celui-là j'imagine (qui, effectivement, m'a l'air assez douteux... ):

feder504 a écrit:J'ai eu une MG 42 de Borsigwalde (WaA26), mais de la série "d". Elle était neuve, 0 km, et était elle aussi couverte de codes de sous-traitants divers et variés : bpr, ehs, ghj, hvg, cra et hec, ainsi que de marques de contrôle.
Elle était comme celle-ci de 1944 (code D.F.) et les inscriptions étaient également gravées à la main.

Par contre, toutes celles que j'ai vues avaient un marquage situé à gauche des 3 lignes, à la hauteur de "ar", c'était le code "rea" avec à droite un aigle avec swastika surmontant le chiffre "1". Je ne le vois pas ici, mais je pense qu'il se peut que ce marquage peut ne pas figurer sur certaines ...
Sur la mienne, le n° de série figurait bien sûr sur la carcasse, et de manière complète sur le canon. On le trouvait sans la lettre, et au stylo électrique, sur le corps et la tête de culasse, et les 2 derniers chiffres figuraient sur la planchette de hausse. Très peu de WaA : le 26 de Mauser-Borsigwalde (3 fois sur la carcasse, 2 fois sur le corps de culasse), le 147 de Grossfuss (bpr) sur le levier d'armement, l'abaisseur et la poignée. C'est tout.
Sinon, pas mal de suites de chiffres et lettres de montage et de sous-traitance un peu partout ...

Sur la tienne, un poil plus "vieille" dans la même année, on voit des marquages de sous-traitants que je n'avais pas. Pour se faire une idée de la cohérence, il faut regarder les stades d'usure pour vérifier que les pièces ont vieilli ensemble ...

À noter que la mienne était d'une provenance indiscutable : prise neuve lors de la reddition de la poche de Royan en 1945, munie de sa bretelle, qui est d'un modèle jamais encore décrit dans un ouvrage ou vue sur le net !*
Il me semble l'avoir montrée ici, avec les autres armes trouvées dans la même maison (le coup du siècle pour moi !)

A+

* il s'agit d'une bretelle simplifiée, sans coussinets, portant un RBNr hélas en partie illisible (0/0250/0.../....) et un WaA 11? ... Je l'ai signalée à Bergflak et Rollanet, sans retour de leur part ...  :-(   ... je l'ai encore ...

Jäger a écrit:

feder504 a écrit:J'ai eu une MG 42 de Borsigwalde (WaA26), mais de la série "d". Elle était neuve, 0 km, et était elle aussi couverte de codes de sous-traitants divers et variés : bpr, ehs, ghj, hvg, cra et hec, ainsi que de marques de contrôle.
Elle était comme celle-ci de 1944 (code D.F.) et les inscriptions étaient également gravées à la main.

Par contre, toutes celles que j'ai vues avaient un marquage situé à gauche des 3 lignes, à la hauteur de "ar", c'était le code "rea" avec à droite un aigle avec swastika surmontant le chiffre "1". Je ne le vois pas ici, mais je pense qu'il se peut que ce marquage soit absent sur certaines ...
Sur la mienne, le n° de série figurait bien sûr sur la carcasse, et de manière complète sur le canon. On le trouvait sans la lettre, et au stylo électrique, sur le corps et la tête de culasse, et les 2 derniers chiffres figuraient sur la planchette de hausse. Très peu de WaA : le 26 de Mauser-Borsigwalde (3 fois sur la carcasse, 2 fois sur le corps de culasse), le 147 de Grossfuss (bpr) sur le levier d'armement, l'abaisseur et la poignée. C'est tout.
Sinon, pas mal de suites de chiffres et lettres de montage et de sous-traitance un peu partout ...

Sur la tienne, un poil plus "vieille" dans la même année, on voit des marquages de sous-traitants que je n'avais pas. Pour se faire une idée de la cohérence, il faut regarder les stades d'usure pour vérifier que les pièces ont vieilli ensemble ...

À noter que la mienne était d'une provenance indiscutable : prise neuve lors de la reddition de la poche de Royan en 1945, munie de sa bretelle, qui est d'un modèle jamais encore décrit dans un ouvrage ou vue sur le net !*
Il me semble l'avoir montrée ici, avec les autres armes trouvées dans la même maison (le coup du siècle pour moi !)

A+

* il s'agit d'une bretelle simplifiée, sans coussinets, portant un RBNr hélas en partie illisible (0/0250/0.../....) et un WaA 11? ... Je l'ai signalée à Bergflak et Rollanet, sans retour de leur part ...  :-(   ... je l'ai encore ...

Salut , 

Merci pour tes précisions. Je pense me déplacer sur place pour les détails. De quelle mois de 1944 une idée ? Dommage pour le code rea..

Cordialement

Jäger a écrit:

feder504 a écrit:J'ai eu une MG 42 de Borsigwalde (WaA26), mais de la série "d". Elle était neuve, 0 km, et était elle aussi couverte de codes de sous-traitants divers et variés : bpr, ehs, ghj, hvg, cra et hec, ainsi que de marques de contrôle.
Elle était comme celle-ci de 1944 (code D.F.) et les inscriptions étaient également gravées à la main.

Par contre, toutes celles que j'ai vues avaient un marquage situé à gauche des 3 lignes, à la hauteur de "ar", c'était le code "rea" avec à droite un aigle avec swastika surmontant le chiffre "1". Je ne le vois pas ici, mais je pense qu'il se peut que ce marquage soit absent sur certaines ...
Sur la mienne, le n° de série figurait bien sûr sur la carcasse, et de manière complète sur le canon. On le trouvait sans la lettre, et au stylo électrique, sur le corps et la tête de culasse, et les 2 derniers chiffres figuraient sur la planchette de hausse. Très peu de WaA : le 26 de Mauser-Borsigwalde (3 fois sur la carcasse, 2 fois sur le corps de culasse), le 147 de Grossfuss (bpr) sur le levier d'armement, l'abaisseur et la poignée. C'est tout.
Sinon, pas mal de suites de chiffres et lettres de montage et de sous-traitance un peu partout ...

Sur la tienne, un poil plus "vieille" dans la même année, on voit des marquages de sous-traitants que je n'avais pas. Pour se faire une idée de la cohérence, il faut regarder les stades d'usure pour vérifier que les pièces ont vieilli ensemble ...

À noter que la mienne était d'une provenance indiscutable : prise neuve lors de la reddition de la poche de Royan en 1945, munie de sa bretelle, qui est d'un modèle jamais encore décrit dans un ouvrage ou vue sur le net !*
Il me semble l'avoir montrée ici, avec les autres armes trouvées dans la même maison (le coup du siècle pour moi !)

A+

* il s'agit d'une bretelle simplifiée, sans coussinets, portant un RBNr hélas en partie illisible (0/0250/0.../....) et un WaA 11? ... Je l'ai signalée à Bergflak et Rollanet, sans retour de leur part ...  :-(   ... je l'ai encore ...

Salut , 

Merci pour tes précisions. Je pense me déplacer sur place pour les détails. De quelle mois de 1944 une idée ? Dommage pour le code rea..

Cordialement

feder504 a écrit:

Jäger a écrit:

feder504 a écrit:J'ai eu une MG 42 de Borsigwalde (WaA26), mais de la série "d". Elle était neuve, 0 km, et était elle aussi couverte de codes de sous-traitants divers et variés : bpr, ehs, ghj, hvg, cra et hec, ainsi que de marques de contrôle.
Elle était comme celle-ci de 1944 (code D.F.) et les inscriptions étaient également gravées à la main.

Par contre, toutes celles que j'ai vues avaient un marquage situé à gauche des 3 lignes, à la hauteur de "ar", c'était le code "rea" avec à droite un aigle avec swastika surmontant le chiffre "1". Je ne le vois pas ici, mais je pense qu'il se peut que ce marquage soit absent sur certaines ...
Sur la mienne, le n° de série figurait bien sûr sur la carcasse, et de manière complète sur le canon. On le trouvait sans la lettre, et au stylo électrique, sur le corps et la tête de culasse, et les 2 derniers chiffres figuraient sur la planchette de hausse. Très peu de WaA : le 26 de Mauser-Borsigwalde (3 fois sur la carcasse, 2 fois sur le corps de culasse), le 147 de Grossfuss (bpr) sur le levier d'armement, l'abaisseur et la poignée. C'est tout.
Sinon, pas mal de suites de chiffres et lettres de montage et de sous-traitance un peu partout ...

Sur la tienne, un poil plus "vieille" dans la même année, on voit des marquages de sous-traitants que je n'avais pas. Pour se faire une idée de la cohérence, il faut regarder les stades d'usure pour vérifier que les pièces ont vieilli ensemble ...

À noter que la mienne était d'une provenance indiscutable : prise neuve lors de la reddition de la poche de Royan en 1945, munie de sa bretelle, qui est d'un modèle jamais encore décrit dans un ouvrage ou vue sur le net !*
Il me semble l'avoir montrée ici, avec les autres armes trouvées dans la même maison (le coup du siècle pour moi !)

A+

* il s'agit d'une bretelle simplifiée, sans coussinets, portant un RBNr hélas en partie illisible (0/0250/0.../....) et un WaA 11? ... Je l'ai signalée à Bergflak et Rollanet, sans retour de leur part ...  :-(   ... je l'ai encore ...

Salut , 

Merci pour tes précisions. Je pense me déplacer sur place pour les détails. De quelle mois de 1944 une idée ? Dommage pour le code rea..

Cordialement

feder504 a écrit:J'ai eu une MG 42 de Borsigwalde (WaA26), mais de la série "d". Elle était neuve, 0 km, et était elle aussi couverte de codes de sous-traitants divers et variés : bpr, ehs, ghj, hvg, cra et hec, ainsi que de marques de contrôle.
Elle était comme celle-ci de 1944 (code D.F.) et les inscriptions étaient également gravées à la main.

Par contre, toutes celles que j'ai vues avaient un marquage situé à gauche des 3 lignes, à la hauteur de "ar", c'était le code "rea" avec à droite un aigle avec swastika surmontant le chiffre "1". Je ne le vois pas ici, mais je pense qu'il se peut que ce marquage soit absent sur certaines ...
Sur la mienne, le n° de série figurait bien sûr sur la carcasse, et de manière complète sur le canon. On le trouvait sans la lettre, et au stylo électrique, sur le corps et la tête de culasse, et les 2 derniers chiffres figuraient sur la planchette de hausse. Très peu de WaA : le 26 de Mauser-Borsigwalde (3 fois sur la carcasse, 2 fois sur le corps de culasse), le 147 de Grossfuss (bpr) sur le levier d'armement, l'abaisseur et la poignée. C'est tout.
Sinon, pas mal de suites de chiffres et lettres de montage et de sous-traitance un peu partout ...

Sur la tienne, un poil plus "vieille" dans la même année, on voit des marquages de sous-traitants que je n'avais pas. Pour se faire une idée de la cohérence, il faut regarder les stades d'usure pour vérifier que les pièces ont vieilli ensemble ...

À noter que la mienne était d'une provenance indiscutable : prise neuve lors de la reddition de la poche de Royan en 1945, munie de sa bretelle, qui est d'un modèle jamais encore décrit dans un ouvrage ou vue sur le net !*
Il me semble l'avoir montrée ici, avec les autres armes trouvées dans la même maison (le coup du siècle pour moi !)

A+

* il s'agit d'une bretelle simplifiée, sans coussinets, portant un RBNr hélas en partie illisible (0/0250/0.../....) et un WaA 11? ... Je l'ai signalée à Bergflak et Rollanet, sans retour de leur part ...  :-(   ... je l'ai encore ...

feder504 a écrit:Les WaA de "cof" pour les baïonnettes sont le 883 et le 519, qui est aussi répertorié chez Espeholt comme étant un WaA "cof" pour des pièces de MG 42 ...