44/40 Soft , vos avis .
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Re: 44/40 Soft , vos avis .
La jupe est propre et bien centrée .
Mieux vaudrait quand même que l'aloi ne soit pas en linotype ...
Quelle taille font ces gongs bousculés à chaque tir ? 25 m ?
Voila un alésoir bien amorti .
Mieux vaudrait quand même que l'aloi ne soit pas en linotype ...
Quelle taille font ces gongs bousculés à chaque tir ? 25 m ?
Voila un alésoir bien amorti .
deGuers- Pilier du forum
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Re: 44/40 Soft , vos avis .
Selon le gars qui les a coulees, ce serait du 2/3 plomb et 1/3 linotype. Je suppose que l'expansion de la jupe sera néanmoins possible.
Les gongs sont bien a 25m dans ma petite video, et leur diametre est a peu pres celui du noir de la C50...
(j'ai selectionné l'extrait ou ils tombaient à chaque coup, ce qui n'est pas systematique)
Les gongs sont bien a 25m dans ma petite video, et leur diametre est a peu pres celui du noir de la C50...
(j'ai selectionné l'extrait ou ils tombaient à chaque coup, ce qui n'est pas systematique)
Re: 44/40 Soft , vos avis .
A vérifier en piscine (ou à la rigueur dans la caisse à chiffons), s'il n'y a pas de traces de fusion le long de la jupe. Une balle trop dure semble bien pire qu'une balle pas assez dure...
Mais 1/3 linotype, c'est pas encore très dur.
A propos des discussions précédentes, relatives au diamètre des sorties de chambre, je n'avais pas pensé à une possibilité : le gonflement de la base de balles en plomb mou, dès la sortie du barillet et avant le cône de prise de rayures, sous l'effet du soufflage des gaz dans l'entrefer.
Rien vu à ce propos pour des revolvers, mais dans les années 1874 / 1885 ça avait été testé sur des fusils (canon coupé à ras de la sortie de chambre) ; chez nous en 11 mm Gras pour cerner les causes d'imprécision de la cartouche Mle 1874, puis semble-t'il en 8 mm durant les recherches de mise au point de la chemise.
Car j'ai un peu de mal à admettre que ces différences de cote entre barillet et canon ne soient pas délibérées, pour optimiser le fonctionnement dans des conditions bien précises (conditions que les tireurs actuels se refusent à reproduire). Elles sont en tous cas bien supérieures aux plus mauvaises tolérances d'usinage de l'époque, donc l'ancienneté de la fabrication n'est pas une explication (depuis les années 1875 on peut vérifier les alésoirs au micron près, et donc travailler au 1/100).**
Certes ce sont des armes de défense et de combat, où la fiabilité prime largement sur la précision (pour le tir de précision, ils avaient des pistolets de tir).
** C'est une ancienne règle : pour obtenir des pièces régulières, la tolérance sur l'outillage doit être 10 fois plus serrée que la tolérance exigée sur la pièce. Et le matériel de mesure doit être étalonné sur des calibres 10 fois plus précis que que la précision de mesure désirée.
Ce "10 fois" était peut-être un peu excessif, mais pour que l'usinage mécanique concurrence l'ajustage manuel, il fallait bien ça...
Mais 1/3 linotype, c'est pas encore très dur.
A propos des discussions précédentes, relatives au diamètre des sorties de chambre, je n'avais pas pensé à une possibilité : le gonflement de la base de balles en plomb mou, dès la sortie du barillet et avant le cône de prise de rayures, sous l'effet du soufflage des gaz dans l'entrefer.
Rien vu à ce propos pour des revolvers, mais dans les années 1874 / 1885 ça avait été testé sur des fusils (canon coupé à ras de la sortie de chambre) ; chez nous en 11 mm Gras pour cerner les causes d'imprécision de la cartouche Mle 1874, puis semble-t'il en 8 mm durant les recherches de mise au point de la chemise.
Car j'ai un peu de mal à admettre que ces différences de cote entre barillet et canon ne soient pas délibérées, pour optimiser le fonctionnement dans des conditions bien précises (conditions que les tireurs actuels se refusent à reproduire). Elles sont en tous cas bien supérieures aux plus mauvaises tolérances d'usinage de l'époque, donc l'ancienneté de la fabrication n'est pas une explication (depuis les années 1875 on peut vérifier les alésoirs au micron près, et donc travailler au 1/100).**
Certes ce sont des armes de défense et de combat, où la fiabilité prime largement sur la précision (pour le tir de précision, ils avaient des pistolets de tir).
** C'est une ancienne règle : pour obtenir des pièces régulières, la tolérance sur l'outillage doit être 10 fois plus serrée que la tolérance exigée sur la pièce. Et le matériel de mesure doit être étalonné sur des calibres 10 fois plus précis que que la précision de mesure désirée.
Ce "10 fois" était peut-être un peu excessif, mais pour que l'usinage mécanique concurrence l'ajustage manuel, il fallait bien ça...
Petite collection de documents anciens et récents : http://p.lacour.malvaux.free.fr/Arquebuses.htm
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